Compte Les Bienfaits De Dieu Verset Bible? Quick Answer

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Quel est le rôle d’un dieu ?

Principe fondateur dans les religions monothéistes, Dieu est l’être suprême, unique, transcendant, universel, créateur de toutes choses, doté d’une perfection absolue, constituant le principe de salut pour l’humanité et qui se révèle dans le déroulement de l’histoire.

Compte les bienfaits de Dieu

Dieu (hérité du latin deus, lui-même issu d’une racine indo-européenne *deiwos, «divinité», de la base *dei-, «lueur, briller»; pronunciation: Écouter) désigne un être ou une force suprême structurant l’Univers ; il s’agit selon les croyances soit d’une personne, soit d’un concept philosophique ou religieux. Principe fondateur dans les religions monothéistes, Dieu est l’être suprême, unique, transcendant, universal, creator de toutes chooses, doté d’une perfection absolut, constituant le principe de salut pour l’humanité et qui se révèle dans le déroulement de l ‘story[2]. Comme Entité philosophique, Dieu est le “principe d’explication et d’unité de l’Univers”[3].

L’existence réelle d’un être suprême et les implications politiques, philosophiques, scientifiques, sociales et psychologiques qui en découlent font l’objet de nombreux débats à travers l’Histoire, les croyants monothéistes appellant à la foi, tandis qu’elle est Competition on philosophical and religious terrains by free penseurs, agnostiques, athées or croyants without Dieu.

La notion de Dieu revêt un considered impact culturel, notamment dans la musique, la littérature, le cinéma, la painting, et plus general dans les arts. La representation de Dieu et la façon de nommer Dieu varient en fonction des époques et des systèmes de croyances.

Etymologies and designations

etymology

Le mot «dieu» vient du latin deus, lui-même issu de la racine indo-européenne dei- «briller» qui, élargie en deiwo- et en dyew-, sert à désigner le ciel lumineux en tant que divinité ainsi que les êtres celestes by opposition aux êtres terrestres, les hommes[4]. Étroitement liée à cette notion de lumière, c’est la plus ancienne denomination indo-européenne de la divinité qui se retrouve dans le nom du dieu Greek Zeus dont le genitif est Dios. De la même racine est issue la désignation de la lumière du jour (diurne) et du jour, lui-même (dies en latin)[5].

Dans la langue française, le mot est attesté dès le all premier texte français[4], les Serments de Strasbourg, en 842 sous les formes Deo au cas régime et Deus au cas sujet[6],[7]. Dans ce texte, le terme designe avec une majuscule la divinité du monothéisme chrétien. On trouve ensuite Deu et Dieu aux XIe et XIIe siècles[4]. Il indique également une divinité du polytheisme à partir du XIIe siècle[4]. Considéré comme un nom propre, le nom “Dieu” prend alors une majuscule[8] ainsi que les metonymies ou les pronoms qui s’y substituent[9].

Les termes qui désignent Dieu dans les langues germaniques (𐌲𐌿𐌸 Guþ en gotique, Gott en allemand, God en anglais et en néerlandais, Gud dans les langues scandinaves, Guð en islandais) ont une autre origine, elle aussi indo-européenne, liée à la Concept d’« appel » ou d’« invocation »[10]. Sa plus ancienne mentions écrite se trouve dans le Codex Argenteus, au VIe siècle. Ce Codex is a copy of the translation of the Bible considered Selon l’alphabet inventé par l’évêque Wulfila deux siècles plus tôt.

Les termes qui désignent Dieu dans les langues slaves (Бог en biélorusse, bulgare, macedonia, russian, serb, ukrainien ; Bog en croate ; Bóg en polonais ; Bůh en tchèque) sont issus du proto-slave bogъ lui-même issu de l’ Indo-European bhag-[11].

Dans le Tanakh (la Bible hébraïque), le Nom sacré par excellence s’écrit YHWH et ne se prononce pas [note 1].

Le nom de “Dieu” en arabe est “Allah” (الله) issu de l’arabe préislamique ʾilāh-[12].

Dans le calendrier, le nom dimanche[13] vient du titre “Seigneur” donné dans la plupart des religions chrétiennes aussi bien à Dieu qu’à Jésus. It is also done indirectly, in plusieurs langues romanes, au jeudi, yes consacré à Jupiter[14].

Difficulté de definition

Le concept de Dieu possède des facts religieux et metaphysiques très divers, ce qui rend particulièrement difficile sa definition[15]. Certains auteurs estiment meme que Dieu ist si grand qu’il échappe à toute tentative de definition par des mots humains[16]. C’est en particulier le cas de Ceux qui s’incrivent dans une approche apophatique. Ainsi, par example, Jean Scot Erigène a pu écrire :

« Nous ne savons pas ce qu’est Dieu. Dieu lui-même ignore ce qu’il est parce qu’il n’est pas quelque choose. Litteralement Dieu n’est pas, parce qu’il transcende l’être. »

Et le Pseudo-Denys l’Aréopagite :

« Là, dans la théologie affirmative, notre discours descendait du supérieur à l’inférieur puis il allait s’élargissant au fur et à mesure de sa descente; Mais maintenant que nous remontons de l’inférieur jusqu’au Transcendant, notre discours se réduit à proportion de notre montée. Arrivés au terme nous serons totalement muets et entièrement unis à l’Indicible. »

— Pseudo-Denys l’Aréopagite, De la théologie mystique.

Elaboration de Dieu

Renaissance of Dieux

Fait religieux

Abordée au XIXe siècle, l’étude de l’évolution religieuse de l’humanité est un champ de recherche longtemps délaissé, victim d’une part de conceptions souvent “évolutionnistes” sous-tendant la démarche — presupposant un “sens” de l’ histoire jalonné d’étapes précises, ou fondé sur l’idée de l’accomplissement d’une rationalité immanente — et, paradoxallement, Victime de la specialization de la recherche au fil de l’accroissement de la connaissance des religions elles-mêmes. Certain great names in the sociology of religions, parmi lesquels Émile Durkheim, Marcel Mauss, Georg Simmel and Max Weber[17], ont cependant jeté les bases de cette étude. Le Sociologue des Religions Yves Lambert, Developpant une Grille d’Avancée Analysis by Karl Jaspers, suggest La Poursuite de Cette Approche Par la Soziologie Historique et Comparée des Religions afin de Présenter des clefs d’Analyse pour l’Appréhension du “fait” religieux , sans éluder la singularité de chacun des grands ensembles religieux. Jaspers is a Souligné of the contemporary Radicaux-Intervenus between the crossings of the great civilizations in Iran, Palestine, Greece, India or China between the VIIIe and IIIe siècle av. J.-C. (particulièrement au VIe siècle av. J.-C. ), permettant des innovations culturelles fondamentales — parmi lesquelles l’unicité et l’universalité de Dieu — lors d’une étape qualifiée par Jaspers de “période axiale”[18].

Suivant Yves Lambert[19], une religion est à considerer comme une “Organization supposant l’existence d’une réalité supra-empirique avec laquelle il est possible de Communiquer par des moyens symboliques (prière, rites, méditations, etc.) afin de Procurer une maîtrise et un accomplissement depassant les limits de la réalité object »[20]. Cinq types de religions peuvent être distinguished, qui correspondent à autant de moments “nouveaux” de l’histoire humaine, sans qu’il faille y voir pour autant une forme “évolutive”, les modèles émergents n’étant pas exclusifs des précédents: aux premières religions connues (celles des peuples de chasseurs-cueilleurs) succèdent les religions orales agraires correlatives à la sédentarisation, au développement de l’agriculture et de l’élevage. Les Grandes Civilizations Antiques s’accompagnent de l’Emergence des Polytheismes auxquels successèdent les Religions du salut, qui se transforment ensuite à partir du XVIe siècle. L’apparition du concept de “Dieu” s’opère à l’époque de l’âge axial” qui, suivant Jaspers, corresponds to “la naissance spiritual de l’homme”[21].

Appearance of Dieux

La religion mesopotamienne se distingue des religions orales agraires par différentes caractéristiques telles que l’apparition d’un panthéon, d’épopées, d’une caste sacerdotale nombreuse et hiérarchisée, de grands édifices religieux, de théodicée, etc. La plus ancienne liste de dieux connue figure sur des tablettes datant du XXVIIe siècle av. J.-C. et compte les noms de 560 dieux[22].

Les dieux locaux perdent peu à peu de leur prestige au fil de la domination étrangère pour constituer progressivement un “polythéisme au seuil du monothéisme”[21]. C’est à cette époque, verse le VIe siècle av. J.-C. qu’apparaît au be du peuple hebreu la mutation d’une monolâtrie — caractérisée par un aniconisme inédit — au monothéisme[23] et qu’émergent “l’Unicité et la Transcendance absolut de Dieu”[24].

Verse le(s) monothéisme(s)

Au XIVe siècle av. J.-C. , le regne d’Akhenaton est le cadre d’une brève révolution monotheiste fondée sur le culte d’Aton, dont la portée réelle est discutée. L’archéologue Alain Zivie souligne que les changements radicaux n’ont peut-être atteint que les élites, la cour royale et les grands temples, “avec de nettes limites géographiques aussi bien que thématiques et conceptuelles”[25]. Ce culte s’effondre des la disparition de ce pharaon[26]. On a long temps voulu y puiser l’origine du monothéisme biblique, ce qui est contesté par les historiens actuels[27] : le monothéisme juif n’apparaît que huit siècles plus tard et ne revêt sa forme “exclusive” actuelle qu’au cours du VIe siècle av. J.-C. [28], au retour du peuple juif de l’exil de Babylone[29],[27].

Pour Mireille Hadas-Lebel, l’idée du Dieu unique, à la fois creator, miséricordieux et all-puissant, s’est faite au terme d’une lente évolution dans le cas du monothéisme juif, qui était au contact de cultures et d ‘Empire Polytheistes[30]. Citant à ce propos Marcel Gauchet, l’historienne souligne la necessité d’une “exterritorialité” religieuse pour le peuple juif : celui-ci peut alors s’affranchir du pouvoir imperial et du “culte de sovereigns puissants aisément divinisés par leurs sujets”.

Le monothéisme Judaique s’élabore dans un contexte plus propice à de telles idées : le roi Babylonien Nabonide tente de faire du dieu lunaire Sîn le dieu unique de son empire, en Grèce, les présocratiques défendent l’unicité de la divinité contre le panthéon et les successeurs achéménides de Cyrus II le Grand — considered lui-même comme un messie de YHWH — impactnt le monothéisme judéen en faisant d’Ahura Mazda le dieu officiel de l’empire[31].

Zoroastrianism

Le zoroastrisme est la première religion attestée proposant un salut éternel[32]. Également appelé «mazdéisme», elle doit son nom à Zoroastre ou Zarathustra, apparaissant probablement à une époque que les spécialistes contemporains situent — malgré le silence des textes sacrés à ce sujet[33] — vers le IXe siècle av. J.-C. , avant qu’elle devienne la religion officielle du royaume de Darius Ier , verse 520 av. J.-C. [32]. La minceur des sources conservées, composées à peine d’une vingtaine de Gathâs[34], des hymnes en vieil-avestique longtemps transmis oralement[35], pose des problems d’interprétations considérables qui partagent les chercheurs entre deux types d’interprétations[ 36].

La première[32] fait du zoroastrisme la première religion monotheiste faisant état d’un salut dans un autre monde[37]. Ce point de vue se fonde sur deux observations, d’une part le rejet des daivas[38], les dieux traditionnels, et d’autre part l’omniprésence d’un seul dieu dans ces textes, une divinité unique dûment nommée, Ahura Mazda, le Maître attentif[39]. Celui-ci, don’t derive le terme mazdéisme, est le dieu unique et createur qui se révèle à Zoroastre et don’t le règne doit s’établir à l’issue de la lutte dualiste between le Bien et le Mal, personnifiés par deux agents divins jumeaux créés par Ahura Mazda qui est assisté par six «Immortels bienfaisants», six Entités[40] qu’il a suscitées pour aider l’homme à faire le bien[32].

La seconde[36] y voit le fruit de l’évolution religieuse d’un culte assez proche du Védisme, en réformant les dérives ritualistes et sacrificielles mais conservant sa nature polytheiste[41] ; toutefois, cette dernière position peut admettre un processus de monothéisation allant de pair avec un processus de théogenese qui continue de peupler le panthéon de divinités nouvelles[39].

Si Zoroastre a pu être monothéiste — ou monolâtre[42] —, il apparaît que ses héritiers inclined vers une re-polythéisation, divinisant les Entités et réintroduisant des divinités antérieures dans une évolution qui peut faire penser à l’Égypte et diverge radicalement de celle du yahwisme judaïque. Cette tendance s’accentue au be de l’empire perse[43], dans a processus de re-mythologisation qui conserve etaccentue le dualisme[44]. L’influence du zoroastrisme est debate mais il est possible qu’elle ait existé dans une certaine mesure sur le Judaisme à partir de la libération des Israélites de Babylone par Cyrus II en 539 av. J.-C. , à une époque où apparaissent les notions de résurrection, de jugement et de royaume de Dieu, sans qu’on puisse toutefois prouver formulament ces possibles emprunts[45].

Du Dieu national au Dieu exclusive

Quand un monothéisme accepte la coexistence avec le polythéisme ou conçoit sa divinité “nationale”[27],[46] comme simplement “supérieure” à d’autres, on parle plutôt de “monolatrie” ou d'”hénothéisme”[47], termes de creation récente[27].

Dans le judaïsme antique, si un premier yahvisme monôlatrique remonte probablement à la sortie d’Égypte, on ignore comment le dieu YHWH devient précisément le dieu national des deux royaumes de Juda et d’Israël[48]. Yahvé revêt alors de multiple forms, fonctions et attributes : il est vénéré comme a divinité de l’orage à travers une statue bovine dans les temples de Béthel et de Samarie[49] alors qu’à Jérusalem, il est plutôt vénéré comme un dieu de type solare[48].

Le Deutéronome — proposant toujours une formulation monolâtrique qui ne nie pas encore les autres dieux[50] — semble avoir été écrit vers quand le roi Josias entend faire de YHWH le seul Dieu de Judah et empêcher qu’il ne soit vénéré sous different manifestations comme cela semble être le cas à Samarie ou à Teman[51], dans l’idée de faire de Jérusalem le seul lieu saint légitime de la divinité national[52].

L’émergence du monothéisme Judaïque “exclusif” est liée à la crise de l’Exil. En , l’armée Babylonienne defeated le royaume de Judah, l’occupe et deporte en exil à Babylone la famille royale et les supérieures. Dix ans plus tard, les Babyloniens ruinent Jérusalem et detruisent son Temple; s’ensuit alors une deuxième deportation. C’est au sein de cette élite déportée et de sa descendance que l’on trouve la plupart des rédacteurs des textes vétérotestamentaires qui often apporter la réponse du monothéisme au terrible choc et la profonde remise en question de la religion officielle generation par cette succession de disasters[53].

Non seulement la défaite n’est pas due à l’abandon par YHWH, mais c’est au contraire l’occasion de le presenter comme seul et unique Dieu : dans les récits que les intellectuals judéens écrivent alors, laruption de Jérusalem, loin d ‘être un signe de faiblesse de YHWH, montre la puissance de celui qui a instrumentalisé les Babyloniens pour punir ses rois et son peuple qui n’ont pas respecté ses commandements. YHWH devient dès lors, au-delà de son peuple, le maître des ennemis de Juda[54].

Ainsi les rédacteurs du Deutéronome articulent leur reflexion théologique sur le thethème de l’« élection » qui permet de répondre à la question que pose la conception d’un dieu unique de l’Univers entier et de sa relation speciale avec le people d’Israël : c’est alors tout le peuple — se substituant au roi — qui devient l’élu de Dieu sur un mode d’exclusion, interdisant parfois le contact avec les peuples idolâtres[55]. Le concept de “communauté d’Israël” apparaît alors et le culte de YHWH devient le ciment de l’identité judéenne[56].

Dieu premier of the Greek philosopher

La philosophie antique, si elle a largement influencé les réflexions classiques et modernes sur Dieu, ne s’est paradoxalement qu’assez peu intéressée aux questions saids, considérant que le nombre important de dieux — les Grecs nourrissent le sentiment d’un monde tout entier habité par le divin[57] – ne méritait pas un chapitre singulier de la philosophie[58]. Par example, dans l’œuvre d’Aristote, qui alimente de manière considérable les reflexions théologiques tant juives que chrétiennes ou musulmanes[59], seule une portion tenue est consacrée à la question du divin[60]. Ainsi, contrairement à la plupart des reviews rétrospectives qui en seront faites, lorsque Aristote évoque le divin (to théon), il s’agit d’un “universe abstract”, un être primordial, autosuffisant mais qui n’est nullement un “Dieu » unique and transcendant in the world[57].

On trouve néanmoins chez Platon la première Occurrence connue du terme theologia en tant que «discours que l’on tient sur les dieux»[61]. Le philosophe apporte diverses réponses au fil de ses différents Dialogues[62]à la question de savoir quelle sorte d’être peut prétendre au titre de dieu[61], un principe divin exprimé parfois au singulier (theos), parfois au pluriel (theoi ). Ce n’est qu’au IIIe siècle, avec le neoplatonisme, lorsqu’une concurrence intellectual et morale se produit avec le christianisme émergent, que des philosophes comme Plotinus, Porphyre ou Proclus font des questions théologiques l’objet principal de leur réflexion intellectual. Plotinus (207-270) prompts l’idée du «Un» (en grec : to en), un principe premier transcendant qui domine la réalité[57] et qui n’est connaissable qu’au travers de ses attributes.

Dieu unique et Dieu d’Israël

Les religions abrahamiques [note 2] voient Dieu comme le principe créateur, selon l’analyse de Mireille Hadas-Lebel : « Chez les Grecs, l’idée d’un principe unique qui anime le monde relevait de la philosophie. Chez les Juifs, il n’y avait peut-être pas de philosophes, mais cette idée de principe unique, cette intuition que l’on appelle monothéisme, était commune à tous, du plus grand au plus humble, et s’accompagnait de l ‘Interdit de the representation of the divinity, ce qui, in an idolâtre environment, paraissait la choose la plus étrange du monde.

Ce Dieu n’était cependant pas un principe abstract, mais une force tutélaire : roi, père, juge qui veillait sur les Hommes et exigeait d’eux un conportement moral dont aucune divinité de l’Olympe ni de l’Orient antique ne pouvait thunder l’example. Tel est le Dieu que prient encore aujourd’hui les Juifs »[66].

Il se peut que le culte de YHWH ait été predominant parmi les Hébreux dès le Xe siècle av. J.-C. [67], opposed to a polythéisme des lors minoritaire. Cette hypothèse se fonde notamment sur l’étude statistique of the occurrence of the name Yahvistes[68]. Toutefois, suivant une partie de l’exégèse Moderne du début du XXIe siècle, l’idée de YHWH comme étant le Dieu unique apparaît pendant la période perse à la suite d’une reflexion monothéiste qui aboutit à l’affirmation — dans a polemique anti -idolâtrique — de cette unicité que l’on retrouve dans le Livre d’Isaïe[69] rédigé dans une période include between the Moitié du VIe and le début du Ve siècle av. J.-C. [70], le seul parmi les livres prophétiques bibliques à affirmer cette unicité[71]. Probablement influencée par les conceptions religieuses des Achéménides[72], cette conception devrait également beaucoup à l’approfondissement de la tradition aniconique, le rejet des images étant un trait fondamental du judaïsme qui semble remonter aux origines de celui-ci[73].

Dieu dans les religions abrahamiques

Les religions abrahamiques sont monothéistes, elles affirment l’existence d’un Dieu unique et transcendant.

Judaism

Au Moyen Âge, sous l’impulsion de la pensée arabe et grecque, la pensée juive élabore une théologie d’où ressort, entre autres, un principe énoncé par Saadia Gaon: «la pensée humaine, don de Dieu, est valide et source de vérité à l’égal de la Revélation ». Des lors, la rationalité pour appréhender Dieu est légitimée comme devoir religieux, ce qui trouve un meilleur accueil, à l’époque, que la seule foi. Toutefois des désaccords apparaissent sur la question de savoir si la reflexion rationnelleconcernant Dieu constitue ou non une forme suprême d’experience religieuse. Juda Halevi apporte une réponse negativ, affirmant que les preuves logiques ne permettent pas d’aboutir au Dieu d’Abraham, seule une “communication immédiate”, une “revelation divine” le permet[74].

Dans la Bible, Dieu est décrit en termes psychologiques: coléreux, content, triste, déçu, ayant de la pitié, aimant ou haïssant. Depuis Maimonïde, la tradition théologique hébraïque insists on the distinction between the littéral senses of the expression parlant de Dieu et ses qualités : une manière d’en parler convenablement serait de lui attribuer des œuvres et des actions, et non des intentions ou des émotions car l ‘Essence de Dieu est inconnaissable et dépasse l’entendement humain. Toutefois il parait assureé que Dieu et ses “attributes essentiels” ne forment qu’un[74].

La théologie judaïque s’attache à “fonder la croyance qu’il [Dieu] agit dans la nature et dans l’histoire, ce qui le met en relation avec l’homme de telle sorte que celui-ci se sente tenu de répondre » [74].

La Kabbale distinguishes le «Dieu en soi, caché dans la profondeur de son être» et le Dieu révélé qui se manifeste à travers sa creation et de qui, seulement, on peut dire quelque choose, tout en mettant l’accent sur l’unité de ces deux aspects. Dans cette tradition, insiste sur la presence de Dieu dans l’ensemble de sa creation, disant que la Torah est l’incarnation vivante de la sagesse Divine. The question « comment le monde peut-il exister si Dieu est partout ? » s’est alors posée. Pour y répondre, Isaac Louria a développé la Doktrin du tsimtsoum[74].

À la suite des oeuvres de David Hume et de Kant, les théologies judaïques se sont tournées vers la raison pratique et l’idealisme moral pour parler de Dieu. Au XXe siècle, ont été developed des problématiques déistes modernes: Samson Raphaël Hirsch, Mordecai Kaplan, Franz Rosenzweig, Abraham Joshua Heschel, etc. [74].

Christianism

Dieu and

Dès le debut la foi chrétienne s’appuie sur le Chema Israël: “Ecoute Israël, Yahvé notre Dieu est le seul” (Deutéronome 6, 4) le modifiant dans un sens chrétien en adjoignant au Père, le Fils et l’Esprit Saint. Pour defending the vision of Chrétienne de Dieu against the accusations d’athéisme, et la propagator dans les milieux érudits, Justin de Naplouse (mort verse 165) et les first apologistes s’inspirent de l’apologétique Judaïque et des tendances monothéistes hellénistiques[75] . The conception Chrétienne de Dieu s’élabore dans les premier siècles du Christianisme par une hybridation [réf. nécessaire] entre la pensée biblique et la pensée grecque notamment le neoplatonisme[76]. Athénagoras d’Athènes (133-190) and Théophile d’Antioche (mort en 183) developed chacun des arguments en faveur de l’existence de Dieu. Irénée de Lyon (130-202), Clément d’Alexandrie (150-215) and Origène (185-253) ont developed chacun les deux idéaux spirituels de la connaissance de Dieu, celle passant par l’amour de Dieu, et l’ other than contemplation[77]. En s’inspirant de la Doktrin philosophique du moyen platonisme, Clément d’Alexandrie, puis plus tard Grégoire de Nysse, (335-395) et plus tard encore le Pseudo-Denys l’Aréopagite qui vécut verse 500, ont proposed les 3 voies suivantes d’accès à Dieu: the affirmation, the negation and the voice d’éminence. Selon eux, on peut attribute à Dieu une perfection rencontrée dans la creation, à condition de préciser qu’elle ne se trouve pas en lui telle que nous la connaissons sur terre, mais de manière infiniment parfaite[78].Augustin d’Hippone ( 354-430) [source insufficient] a approfondi la difference between the foi procédant d’un témoignage auriculaire et la connaissance rationnelle de Dieu[79].

À la difference du Dieu impersonnel des neo-platoniciens, le Dieu chrétien est incarné[80], c’est un Dieu lumière intérieure qui “travaille” les humains au plus intime de leur être. Augustine insists on the point in his Confessions: “Mais Toi, tu étais plus profond que le tréfonds de moi et plus haut que le tréhaut de moi”[81],[82]. Dans le christianisme, deux conceptions de Dieu, celle de la religion et celle de la philosophie, tantôt cohabitent comme chez Augustin, tantôt sont séparées. Pour Goulven Madec, Blaise Pascal in his Mémorial instaure Interpretation abusive ? une césure quasi definitive between le Dieu des philosophes et le Dieu de la Bible en opposant nettement les deux: « Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob, non des philosophes et des savants »[83][pertinence contestée] .

La question du mal donne lieu à un certain nombre de théodicées. Pour Augustin, et le christianisme après lui avec des variations, Dieu ne crée pas les vices du genre humain mais il en prend acte et traite les pécheurs comme il convient[84]. The divine providence « en partie naturelle, en partie volontaire … gère la creation, les mouvements des astres, la naissance, la croissance, le vieillissement des vegétaux et des animaux … mais also les actions des hommes « qui échangent des signs, enseignent et s ‘instruisent, cultivent les champs, administrent les sociétés, s’adonnent aux arts » etc. »[85].

Selon B. Studer, “la conception patristique est dominée par la thèse universalement répandue selon laquelle Dieu est absolutely transcendant, tout en demeurant immanent à la creation et, spécialement, à l’âme humaine”[86]. Sur le Point de la Transcendance Divine, il existe des divergences. Pour Augustin et les pères cappadociens tels que Grégoire de Nysse ou Grégoire de Nazianze, Dieu est transcendant, c’est-à-dire bien au-dessus des hommes. La plupart des théologiens de l’Église d’Occident on a different optique et tentent selon l’expression de Lucien Jerphagnon de “donner de Dieu et de ses volontés l’idée claire et unmistakable s’imposant à tout le monde”[87] [pas clair], bref les desseins de Dieu are relatively accessible à la pensée humaine. Au contraire, Augustine insists on the Mystère de Dieu, sur la part insondable pour les hommes de la divine dimension, pensée résumée dans son dialog philosophique sur L’Ordre par la formule «Dieu tout-puissant, qui est mieux connu en ne l’ étant pas »[88].

Notamment by Selon Augustin, c’est pour sauver l’homme du péché que le Christ est descendu sur terre[89]. Dieu a également mis en place la dispensatio temporalis, ou “l’économie du salut”[90],[91]. Chez Augustin, la rédemption n’est pas systématique car elle est determinée par le mystere de la grace et la predestination. Reprenant le thème paulinien de l’homme temple de Dieu, il écrit que Dieu construit “sa Maison, régit sa Famille, rassemble son Peuple, prepare son Royaume, pour l’avènement de la Paix definitive en sa Cité, par laquelle s’accomplira sa promesse : « je serai leur Dieu et ils seront mon peuple (Lv 26,12) »[92].

Dieu trinitaire

Dès le début, le Christianisme primitif fait entrer les les convertis dans la communauté de Jésus Christ par le baptême au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit (Matthieu 28, 19 and Didachè 7). Ce faisant, on fait prévaloir la terminology Père, Fils, Esprit Saint, suggesting que les 3 appartiennent de la même manière à la sphere divine. Au cours des deux first siècles, On tend à mettre en relief la preexistence du Christ en lui attributant de noms indiquant au sein du judaïsme son origine céleste, et on manifeste un intérêt croissant pour la divinité du Christ que l’on appelle Dieu. En outre on ne semble pas douter de l’Origine Divine de l’Esprit Saint[93].

Les réactions anti-gnostic and certain courants judaïques ayant tendance à fondre le fils et l’esprit dans l’unité divine. Théophile d’Antioche (second siècle) réunit le Père, le fils et l’Esprit en une trias (Trinité) divine. Dans le Christianisme latin, Tertullien, (150-220), Hippolyte de Rome (170-235) et Novatien (220-258) cherchèrent à formuler la difference between le Père, le Fils et l’Esprit en se Servant de la Notion de Person. tandis que dans le monde de langue grecque, Origène d’Alexandrie (185-253) applique aux trois Personnes le terme d’Hypostase les considering toutes les trois comme distinges incorporelles et adorables. Toutefois, il ne formule clairement ni l’égalité ni l’union éternelle des trois personnes divine[94]

Arius qui excluait toute connaissance positive de Dieu, radicalized the positions d’Origène en ce quiconcere le Père en tant que principe et contesta pour cela la divinité du Christ, ce qui conduisit à la réunion du concile de Nicée (325) pour clarifier définitivement la ask. Celui-ci proclama la foi en Dieu unique, Père , Fils et Esprit Saint, affirmant que le Christ est de même substance que le Père, mais ne précisant rienconcernant l’Esprit Saint[95]. Concernant le Fils, il affirm “Jésus-Christ est le Fils unique de Dieu”, “Dieu né de Dieu, lumière née de la lumière, engdré et non pas créé, consubstantiel au Père”[96].

La question de l’Esprit Saint n’ayant pas été précisée, le courant issu d’Arius qui contestait les décisions de Nicée with en doute la divinité de l’Esprit Saint. Le concile d’Alexandrie de 362 enseigna qu’il y a en Dieu trois hypostase et une seule Substance (ousia)[97] Dans le prolongement les pères cappadociens Basile de Césarée, Grégoire de Nysse et Grégoire de Nazianze élaborerent la théologie de la Trinité qui for adopted by the Council of Constantinople in 381[98]. Concernant la troisième personne divine, le concile affirme la foi “en l’Esprit Saint qui est Seigneur et donne la vie, qui procède du Père, qui avec le Père et le Fils est co-adoré et co-glorifié, qui a parlé par les prophetes.”[99]

Quelques années plus tard, entre 400 et 418, Augustin d’Hippone écrit un ouvrage, De la Trinité, qui mark le christianisme latin et insiste sur l’unité de la Trinité «Unitas Trinitas, Deus Trinitas, Deus Trinitatis»[100], dont le mystère reste toutefois au-delà de ce qu’on peut en dire. Malgré tout la position niceenne a du mal à s’imposer. Vers 500, à la suite notamment des invasions menées par des peuples professant l’arianisme, seul le royaume franc de Clovis et de Clotilde (465-545) adhère au christianisme nicéen[101]. C’est à partir de cette base que le symbole de Nicée-Constantinople gagne l’Occident médiéval.

Au début de XXIe siècle, le symbole de Nicée-Constantinople est toujours considéré par la très grande majorité des chrétiens comme un des fondements de leur foi[98].

Dans l’iconographie chrétienne, il arrive qu’une colombe représentant le Saint-Esprit fasse le lien entre le Dieu le Père et Dieu le Fils[102]. D’une façon générale, François Bœspflug[103] distingue « six grandes périodes dans l’histoire iconique de Dieu et de la Trinité dans l’art ». La première période, celle du christianisme des deux premiers siècles, semble se refuser à la représentation de Dieu[103]. Durant la seconde, qui court jusqu’à à la fin du VIIIe siècle, le mystère trinitaire est peu représenté. La troisième période (du IXe siècle au XIe siècle) est dominée par l’image du Dieu-Christ en majesté[103]. La quatrième période voit l’apparition, à côté du Dieu-Christ de gloire, d’un « Christ de pitié »[103]. Durant la cinquième période, émergent des motifs nouveaux, tels que la « compassion du Père » et le couronnement de la Vierge[103] La sixième période voit le déclin de la représentation trinitaire, qui disparait pratiquement au XXe siècle[104] au profit du Christ seul.

Islam

Se lit de droite à gauche. Calligraphie du nom d’Allah en arabe Se lit de droite à gauche.

Dans l’islam, Dieu porte le nom d’Allah et constitue le cœur de la foi et de la pratique des croyants musulmans dont chaque aspect de la vie lui est ainsi relié à travers la religion[105].

Différentes sourates déclarent à propos de Dieu : ” Il est le premier et le Dernier, l’Extérieur et l’Intérieur” (57, 3). “Où que vous vous tourniez, là est la face de Dieu .” (2, 115). ” Dieu est unique et il n’a pas d’associé.” 6I, 63, 25, 2) “[106]

Le métaphysicien persan Ghazali (1058-1111) dit de Dieu que ” ‘l’existant est son visage seul “, et qu’il est l’Unique Réalité tandis que le soufi de Tlemcen Abou Madyane (1126-1198) originaire d’Andalousie affirme de Dieu dans son Diwan que “sans Lui, toute la création, toi compris se dissipe et s’efface. Celui qui n’a pas dans son essence la racine de son existence, est radicalement impossible sans Lui (…) C’est Lui leur créateur, qui tient en main toutes les choses” Quant au persan Djalâl ud-Dîn Rûmî (1207-1273), il s’adresse ainsi à Dieu : Nos existences ne sont que non existences; Tu es l’Être absolu (…) Ton souffle invisible nous déploie sur le monde.” (Mathnavî I, 598)[107].

Traditionnellement dépourvu de genre, c’est un créateur omnipotent, omniscient et omniprésent qui transcende toute sa création. Divinité centrale d’un monothéisme intégral et intransigeant, un et unique, maître des mondes et des destinées, juge du Jugement dernier, il s’est révélé à chaque prophète depuis Adam jusqu’à Mahomet. La sourate 112 — al-ikhlas — rassemble l’essentiel de la conception musulmane de Dieu : « Lui est Allah un, Allah l’impénétrable, Il n’engendre pas, il n’est pas engendré, et nul n’est égal à Lui »[108]. Le Coran affirme également le caractère absolument transcendant de Dieu qui est pourtant tout à la fois d’une grande proximité avec l’homme[109] et sa création dans et par laquelle il se manifeste[105]. Hallâj (858-922) écrit à propos de la manière dont Dieu se manifeste : “Alors que le saint indique Dieu du dedans, la création indique Dieu au-dehors.”[110] Et Mohammed Iqbal (1873-1938) commente la sourate (50 16, “Nous avons créé l’homme, et nous savons tout ce qui se passe dans son coeur, et nous sommes plus proches de lui que sa veine jugulaire” en traduisant ” En vérité, je suis prêt de toi.”[111] L’amour divin est également présent, comme l’atteste par exemple Fakr Irâqui (1211-1289) écrivant : “sais-tu les paroles que l’amour me murmura à l’oreille? Je suis l’amour (…) au ciel et sur terre rien n’est pareil à moi.” Et Ahmad al-Rifâ’i fait dire à Dieu s’adressant à lui :” C’est par moi qu’a eu lieu le pacte d’amour entre Moi et toi.”[112]

De nature indivisible, insécable, irréductible à une interprétation en termes de trinité à l’instar du christianisme trinitaire, Allah constitue une monade, seule vérité et seule réalité. L’islam insiste très fortement sur la foi en l’unicité d’Allah[113] — le tawhid — et condamne vivement toute atteinte à cette unicité en lui adjoignant des associés. Ainsi, dans l’islam, l’associationnisme (shirk) est la seule faute catégoriquement impardonnable[114].

Allah mène les hommes dans une destinée dont ils ignorent et le sens et l’issue ; il peut à la fois les guider et les égarer, les punir et les pardonner. Connaissant leurs moindres pensées, c’est le juge du Jugement dernier qui châtie les pécheurs et les incrédules et récompense les fidèles. Si sa fureur est régulièrement affirmée — il est parfois surnommé « le Terrible »[115] ou « le Redoutable »[116] — sa dimension la plus importante est la miséricorde dont il fait preuve, un trait caractéristique d’une grande intensité et universelle qui est rappelée au début de chaque sourate du Coran[105]. Il ne faut pas oublier la beauté divine que chanta Rabi’â bint Ismâil al-‘Adawiya (8ème siècle) qui fut vendue comme esclave dans son enfance, suppliant Dieu de nae pas la priver de Sa beauté éternelle,” et dont Abou Madyan dit qu’il s’est égaré dans son extraordinaire beauté.” (Diwwan)[117].

Le texte coranique donne 99 noms différents à Dieu[118] qui sont parfois répartis en deux catégories par la tradition entre ceux qui décrivent un Dieu proche de l’homme ou de la création et, d’autre part, ceux qui soulignent sa transcendance et son incompatibilité avec cette création[119].

Le Coran rapporte en outre des descriptions ou attributs anthropomorphiques de Dieu dont la portée sera disputée dès le début de l’islam[119] : le Coran mentionne sa face[120], ses yeux[121], ses mains[122] ou encore le trône sur lequel il siège[123]. Pour la révélation du texte sacré de l’islam, Dieu s’exprime à travers l’ange Gabriel et le prophète Mahomet qui entend la parole divine mais pas sa voix. Dès le Xe siècle, le théologien sunnite Al Ash’ari considère qu’avec la puissance, la science, la vie, la volonté, la vue, l’ouïe et la durée, cette parole fait partie des éléments anthropomorphiques attributs de l’essence divine là où les premiers mutazilites ne voyaient que des métaphores[124]. À la fois proche et lointain, humain et impénétrable, Dieu tel qu’il est décrit dans l’islam est — suivant le texte coranique — essentiellement un « mystère » (« ghayb »[125]) qui ne saurait être ramené ou comparé à rien de semblable dans la création. C’est la « matrice exclusive de tous les univers »[119] qui enjoint aux croyants, à travers Mahomet, de concentrer sur l’unicité de Dieu dans une affirmation qui devient le dogme fondamental de l’islam[119].

Eva de Vitray Meyerovitch cite un passage du Coran précisant la juste réponse de l’homme à Dieu : ” L’homme bon est celui qui croit en Dieu (…). Celui qui pour l’amour de Dieu, donne son bien à ses proches, aux orphelins, aux pauvres, aux voyageurs, aux mendiants et pour le rachat des captifs. Celui qui s’acquitte de la prière; celui qui fait l’aumône. Ceux qui remplissent leurs engagements; ceux qui sont patients dans l’adversité, le malheur, et au moment du danger, voilà ceux qui sont justes ! Voilà ceux qui craignent dieu ! ” (Sourate II, 177)[126].

Dieu en Asie

Hindouisme

Dans l’hindouisme, les Upanishads sont une méditation spéculative introvertie qui ouvre la voie de la découverte de Dieu ; ce qui permet de parvenir à la connaissance de l’unité ultime du soi authentique (Brahman). Le rapport personnel à Dieu laisse la place à une identité panthéiste avec une divinité impersonnelle, « le monisme absolu étant selon, Radhakrishnan, l’aboutissement du dualisme avec lequel commence la conscience pieuse ». Ce qui n’exclut pas qu’on trouve dans les Upanishads des formes théistes d’une vénération de Dieu.

Le Trimurti est une triplicité de dieux : Vishnou qui soutient et apporte le salut, Shiva réunissant en lui la mort et la vie, la destruction et la fertilité, qui s’offre à l’extase et à la méditation et Brahma, créateur du monde[127].

Bouddhisme

Gautama Bouddha a rejeté l’existence d’un dieu créateur[128], a refusé d’approuver de nombreux points de vue sur la création[129], et a déclaré que les questions sur l’origine du monde ne sont pas en fin de compte utiles pour mettre fin à la souffrance. La tradition bouddhiste ne nie pas pour autant l’existence d’un créateur mais ne s’y intéresse pas vraiment, ne cherchant pas, par ailleurs à savoir qui a créé l’univers, ce qui serait une perte de temps et risquerait de retarder l’abolition de la souffrance, ni à tenter de concilier un amour qui serait divin avec la masse des souffrances présentes dans l’univers[130].

Le Bouddha historique n’était pas un athée, même si on a qualifié sa voie de religion sans Dieu. Son inspiration est l’éveil à l’illumination et à la vraie réalité dans le cycle des choses et des existences. Selon le Bouddhisme, ce qui est la fin ultime est ineffable, le rien absolu, dépassant ce qui est et ce qui n’est pas. En outre, au sein du Bouddhisme, l’une de ses composantes, le Petit Véhicule (hinayana), parle du Nirvana en termes de détachement et d’évanouissement, tandis que sa seconde composante, le Grand Véhicule (mahayana), le fait en termes d’illumination et de libération[131].

Sikhisme

Inspirée entre autres des traditions religieuses hindoue et islamique, le sikhisme connaît lui aussi un Dieu « strictement monothéiste »[132]. Pour cette religion, le Dieu unique est créateur du monde[133], tout puissant[134], transcendant et immanent[133], infini et éternel[134], sans forme[133],[134], juste et plein d’amour[133]. Être personnel, il est inconnaissable dans son essence[133].

La Mul Mantra, qui marque le débute du Livre saint du sikhisme, le Guru Granth Sahib, énumère en une formule les attributs de la Divinité[134]. Cette prière commence ainsi : « Une, Énergie créatrice, Manifestée, Vérité est son nom[135]… »

Dieu et les attitudes spirituelles

Dieu des mystiques

Le mysticisme, mot qui vient du grec mystikos signifiant « caché »[136], postule que l’on peut acquérir une connaissance de réalités qui ne sont pas accessibles à la perception sensorielle ou à la pensée rationnelle. C’est un phénomène que l’on retrouve dans de nombreuses cultures, généralement associé à une tradition religieuse[137], caractérisé par une recherche de l’invisible et le témoignage de la présence de l’absolu (Dieu ou divinité), dont la révélation finale se fait au terme de dévoilements successifs[138]. L’expérience mystique, marquée par un profond impact émotionnel[139], est généralement le résultat d’un entraînement spirituel impliquant une combinaison de prières, de méditation, de jeûne, de discipline corporelle et de renoncement aux préoccupations terrestres.

Dans les monothéismes abrahamiques, à la différence du bouddhisme et certaines variétés de l’hindouisme où il n’y a pas à proprement parler de figure divine personnifiée, les mystiques décrivent l’expérience mystique comme accordée par Dieu lui-même dont ils affirment souvent ressentir la proximité. La mystique se présente comme une théologie de l’expérience, parallèlement à une connaissance de Dieu fondée sur les Écritures. Depuis les XVIe et XVIIe siècles, dans un univers culturel où s’affrontent la foi et la raison, la mystique reste l’objet de suspicions face aux théologies institutionnelles[140]. Selon Michel de Certeau, elle peut donc apparaître comme une « théologie humiliée[141] », rejetée comme inférieure[142].

Mais l’extase peut également révéler des éléments théologiques précis, comme chez certains mystiques chrétiens une vision de la Trinité[139]. La mystique propose une lecture intériorisée de l’indicible et exprime souvent Dieu en termes de négation : Dieu n’est pas dans le sens où les créatures sont et le seul moyen de s’approcher de son infinie transcendance est, dans un premier temps, d’éprouver ce qu’il n’est pas[143]. La révélation du Dieu invisible nécessite le recours aux images, à un langage métaphorique souvent proche de la poésie, éloigné des spéculations théologiques, et dont la lumière est un élément récurrent. On la retrouve par exemple dans le Sefer HaBahir – le Livre de la Clarté – un texte de la Kabbale du XIIe siècle mais aussi, vers la même époque, chez le grand maître du soufisme Ibn Arabi, dans Tardjumân al-ashwâq – L’interprète des désirs ardents[144].

Dieu du déisme

Article détaillé : Déisme

Le déisme — forgé sur le terme latin deus — désigne l’affirmation rationnelle de l’existence de Dieu, proposant une forme religieuse conforme à la raison, exclusive des religions révélées[145], proposant d’arriver à Dieu par des voies exclusivement humaines[146], sans pour autant pouvoir en déterminer les attributs[147]. C’est un Dieu du raisonnement plutôt qu’un Dieu de foi ou de culte, bien que Kant ait proposé « culte de Dieu » ramené à la pratique morale « en esprit et en vérité »[148]. Le concept se développe essentiellement en Angleterre et en France à partir du XVIIe siècle, mais est difficile d’accès et ambigu, car il réfère à plusieurs systèmes distincts[145]. On ne l’utilise plus guère en dehors de ses applications historiques[147].

À l’instar du terme « théisme » dont il est assez proche, le mot apparaît en France dans les violentes luttes théologiques et religieuses du XVIe siècle dans un usage péjoratif cherchant à discréditer l’adversaire. Il apparait en relation avec les antitrinitaires sociniens[149] et est attesté pour la première fois sous la plume du pasteur Pierre Viret en 1534 qui y voit des blasphémateurs, des « athéistes » qui s’ignorent. À partir du XVIIe siècle, lorsque, sous l’influence de la science nouvelle et de l’émergence de nouvelles manières de penser, la perception du concept de nature — fondamentale en théologie et en philosophie — se modifie, le déisme évolue vers une forme de religion naturelle[145].

Pour leurs critiques apologètes chrétiens, les déistes, prétendant arriver à Dieu sans l’aide de Dieu, en se passant de la Révélation, sont impies et pécheurs. Les déistes ne forment cependant pas un groupe homogène et il existe une grande variété de positions, suivant les auteurs déistes, par rapport à ce qui a trait tant à la nature de Dieu, qu’à la providence ou encore à l’immortalité de l’âme. John Locke développe ainsi un « christianisme raisonnable », tandis que Spinoza est classé ou non, selon les époques, dans leurs rangs. La question centrale est, plutôt que celle de l’existence de Dieu, celle de sa Révélation que les déistes rejettent avec l’immortalité de l’âme, à la différence des théistes[145].

Le XVIIIe siècle voit l’apparition d’une nouvelle logique des questions philosophiques, qui amène à l’effacement de Dieu comme le personnage central autour duquel s’articule la métaphysique : la question de son existence et de sa nature est désormais disputée, passant du stade de vérité première à celui d’hypothèse bientôt dispensable[150]. Rousseau, suivant lequel la nature est plus éloquente sur Dieu que les subtilités scolastiques, propose le Dieu de la foi déiste comme volontaire et intelligent, mouvant l’Univers et animant la nature, tandis que l’homme est libre dans ses actions et doté d’une âme immatérielle. À la différence de Kant, il associe la nature à l’ordre divin, tandis que ce dernier établit une différence ontologique entre les deux. Pour Kant, le déisme envisage Dieu comme la « cause du monde », un principe régulateur qui ne peut satisfaire complètement les attentes de l’homme ; pour le philosophe, le déisme « recourt à Dieu pour penser la science en tant qu’elle progresse »[151]. Plus tôt, Voltaire, admirateur de Newton et de sa mécanique rationnelle du monde, voit en Dieu l’« horloger de l’Univers » et tourne la providence en dérision[152].

La difficulté de donner des contours clairs au concept de Dieu et la fragilité et l’ambiguïté de celui-ci dans le déisme ont empêché ce dernier d’avoir une postérité réellement significative en tant que courant religieux. « Effort pour penser sans préjugé et sans dogmatisme le concept de Dieu », des éléments du déisme peuvent cependant être reconnus dans le cadre du renouveau de la théologie naturelle depuis la fin du XXe siècle[152]. Certaines enquêtes montrent d’ailleurs qu’en France, la religion naturelle est une option philosophique — souvent inconsciente — de certains croyants non pratiquants qui envisagent Dieu comme le créateur et le gouverneur du monde, jugeant les individus sur leur conduite morale et rétribuant les mérites, dans une attitude assez proche du déisme[145].

Théisme

Article détaillé : Théisme

Athéisme

En grec ancien, l’adjectif atheos (ἄθεος) composé du mot θεός (dieu) précédé d’un « ἀ- » privatif, signifie « sans-dieu ». La constitution étymologique des mots « athéisme » et « athée » n’est pas sans poser de problème chez les auteurs qui traitent de ce sujet : le « a- » privatif peut être compris de différentes manières, exprimant parfois la négation — l’affirmation que Dieu n’existe pas — parfois la privation — l’accusation de méconnaitre la divinité ou les divinités comme il le faudrait, ainsi que dans l’antiquité gréco-romaine, les Romains en faisaient le reproche aux chrétiens, puis, au Moyen Âge, les courants orthodoxes contre les christianismes hétérodoxes[153]. Ainsi, cette terminologie relativement pauvre pour définir un phénomène complexe est restée longtemps négative, les termes même enfermant les athées « dans la catégorie négative des négatifs négateurs »[154]. Il existe ainsi différents athéismes, variés « dans leurs expressions et dans leurs fondements »[153].

Dans l’antiquité grecque, le préfixe « a » indique une absence de dieu revendiquée dès le Ve siècle av. J.-C. et prend le sens de « rompre la relation avec les dieux » ou « nier les dieux » à la place de l’ancien sens asebēs (en grec : ἀσεβής), « impie ». Cette notion — qui suppose l’idée de divinité donc probablement postérieure aux religions[155], mais antérieure aux trois monothéismes — est présente chez les atomistes grecs — au rang desquels on compte Démocrite et Épicure — mais aussi chez les Indiens dès le VIe siècle av. J.-C. avec les Charvakas[156]. Mais il s’agit souvent davantage d’un type d’agnosticisme, voire de laïcité dont la portée est débattue par les chercheurs[155]. On peut identifier un penseur réellement irréligieux avec le poète et philosophe romain Lucrèce qui, prolongeant Épicure, explique au Ier siècle av. J.-C. que l’homme invente des dieux pour expliquer ce qu’il ne comprend pas[157].

On peut distinguer l’« athéisme pratique » consistant à vivre comme s’il n’y avait pas de dieu — ce qui n’empêche pas par ailleurs de se déclarer croyant, indifférent ou incroyant — et l’« athéisme théorique » qui se fonde sur des spéculations philosophiques, morales ou scientifiques[156].

Ce dernier processus a pris du temps et les bases de l’athéisme moderne puis contemporain se posent au cours des XVIe et XVIIe siècles[156]. On trouve notamment chez Baruch Spinoza (1632-1677) — qui ne se dit pas athée — une résurgence de l’inspiration critique et rationaliste de l’Antiquité : celui-ci identifie Dieu et la nature (Deus sive natura, « Dieu ou la nature ») ce d’où découle un naturalisme (la nature est tout, le surnaturel n’existant pas) ou un panthéisme (Dieu est tout)[157], qui sera d’ailleurs longtemps confondu avec l’athéisme[156]. À partir du XVIIIe siècle, l’athéisme — même très minoritaire[158] — se structure autour du refus radical de toute transcendance, de tout surnaturel et même de toute foi. D’Holbach (1723-1789) est ainsi l’auteur d’une œuvre philosophique profondément anticléricale et athée que précède une œuvre radicale mais longtemps peu connue, celle du curé Jean Meslier (1664-1729)[157]. Les arguments relèvent essentiellement de la notion de nature — qui n’obéirait qu’à ses propres lois et non à un créateur imaginaire — et à celle de matière, présentée comme éternelle dotée de son énergie propre. La réflexion porte également sur la notion de mal qui contredit l’existence d’un Dieu bon et omnipotent, un Dieu dont par ailleurs l’adoration et le service s’opposent à la liberté et à la dignité humaines[156].

Cette base humaniste de l’athéisme s’épanouit au cours du XIXe siècle — essentiellement dans le monde germanique — et celui-ci cesse d’être une exception philosophique, dans le sillage du philosophe hégélien Ludwig Feuerbach (1804-1872) qui publie en 1841 l’Essence du christianisme. Selon lui, le divin n’est que l’essence de l’homme objectivée et hypostasiée ; « l’homme a créé Dieu à son image » et en toute religion, c’est donc l’homme qu’on adore. L’athéisme devient une « religion de l’homme », postulant Homo homini deus (« L’homme est un dieu pour l’homme »)[159]. Karl Marx poursuit la démarche humaniste de Feuerbach mais en conteste bientôt la dimension religieuse en soulignant sa dimension politique, arguant que « l’essence humaine […] dans sa réalité effective, […] est l’ensemble des rapports sociaux » et non « une abstraction inhérente à l’individu isolé », ajoutant que tout élément poussant au mysticisme devrait trouver « [sa] solution rationnelle dans la pratique humaine ». Chez Marx, pour lequel critique de la religion et critique de la société vont de pair, il ne convient plus d’interpréter différemment le monde mais de le changer[156].

Un peu plus tard, Friedrich Nietzsche (1844-1900) — qui déteste le socialisme dont il considère qu’il prolonge le christianisme[159] — confère une radicalité nouvelle à l’athéisme en développant le thème de la « mort de Dieu »[156]. Il explique que l’homme cherche un principe au nom duquel mépriser l’homme, et s’invente un monde imaginaire qui lui permet de calomnier ce monde-ci, ne saisissant qu’un néant dont il fait un Dieu, dans lequel la religion projette toutes les valeurs, dévalorisant de ce fait le monde réel[160].

L’athéisme trouve une dimension supplémentaire avec les travaux de Sigmund Freud (1856-1939), notamment dans son ouvrage L’avenir d’une illusion, publié en 1927[156]. Celui qui considère la foi comme un symptôme exprimant la détresse, voit en Dieu un « père transfiguré » — meilleur et plus puissant que l’autre — et en la religion une « névrose obsessionnelle universelle », qui, si elle est souvent utile tant pour l’humanité que pour l’individu, n’en demeure pas moins une illusion : croire en Dieu, c’est prendre ses désirs pour des réalités[160].

New Age

Un trait commun aux divers courants du New Age est le rejet du dualisme au profit d’une recherche de l’harmonie. Ainsi les adeptes n’opposent pas la matière à l’esprit ou le visible à l’invisible et considèrent que l’ensemble de l’Univers est constitué de la même essence divine. Selon ce mouvement, il n’y a pas de véritable séparation entre la Création et son Créateur, dans une approche qui ne correspond pas à celle du Dieu personnel et transcendant des monothéismes : au contraire, cette vision immanente de la divinité se rapproche des conceptions panthéistes. Ainsi, pour certaines franges du New Age « Dieu est en tout et tout est en Dieu » ; Dieu s’apparente alors à un « Grand Être universel » qui n’appartient à aucune religion et qui vibre au plus profond des êtres, le salut passant essentiellement par la transformation de soi[161].

philosophy

Principe premier ou unique

Les philosophes ont conçu la divinité de manières très diverses. Chez certains, le polythéisme n’exclut pas un principe divin suprême à l’instar du logos ou « raison immanente de l’Univers » chez les stoïciens, mais il s’agit davantage de principe premier plutôt que de principe unique[57] dans un monde pour lequel, comme le rappelle Platon, « tout est plein de dieux »[162]. Platon voyait une divinité « bonne » et unique comme une cause première[57], créatrice ou démiurge[163] assistée de dieux subalternes, ordonnateur d’une matière qu’il n’a pas créée, et Aristote comme la fin de toutes choses. Descartes le voit comme transcendant infiniment le monde qu’il a créé, Spinoza le pense immanent (Deus sive Natura), une tradition néo-platonicienne avance que Dieu n’est pas car il est au-delà de l’Être (théologie négative), etc. [164].

Principe explicatif ou être actif

Dans le Vocabulaire technique et critique de la philosophie[165], sous la direction d’André Lalande, Dieu est analysé suivant deux axes principaux :

Dieu considéré comme un principe explicatif : Au point de vue ontologique : principe unique et suprême de l’existence et de l’activité universelle, résumé par la phrase « Dieu est l’être des êtres, la cause des causes, la Fin des fins : voilà comment il est le véritable absolu ». Au point de vue logique : principe suprême de l’ordre dans le monde, de la raison dans l’homme et de la correspondance entre la pensée et les choses.

Dieu considéré comme un être actif : Au point de vue physique : être personnel, supérieur à l’humanité, qui donne des ordres et fait des promesses, auquel on adresse des prières et qui les exauce s’il le juge bon. Généralement allié et protecteur d’un groupe social, il peut être un dieu parmi d’autres avec lesquels il entre en conflit, dans la mythologie. Au point de vue moral : être personnel tel qu’il soit, par son intelligence et sa volonté, le principe suprême et la garantie de la moralité.

Kant est alors un exemple d’une vision de Dieu principalement comme principe explicatif : Dieu existe comme « Idéal de la Raison pure ». La définition de Dieu par Descartes, « Dieu est l’être parfait », malgré son équivoque peut être comprise comme une identification de l’ordre ontologique et de l’ordre moral. La monadologie de Leibniz est un effort de synthèse de toutes ces facettes[166].

Arguments sur l’existence de Dieu

Au cours de l’histoire de la philosophie de nombreux arguments ont été fournis en faveur et en défaveur de l’existence de Dieu ou de la croyance en cette existence. Les arguments sur l’existence même de Dieu peuvent être des arguments métaphysiques ou empiriques, ceux portant sur la croyance en Dieu sont dits arguments épistémiques.

De nombreuses positions existent aussi bien chez les défenseurs de l’existence de Dieu que chez leurs adversaires. On peut les regrouper et distinguer schématiquement les grandes positions suivantes :

Une discussion détaillée des arguments soutenant ces différentes positions se trouve dans l’article arguments sur l’existence de Dieu. Voici une présentation volontairement limitée des principaux arguments en faveur de l’existence de Dieu et de leur réfutation par Emmanuel Kant.

Arguments classiques en faveur de l’existence de Dieu

Trois arguments classiques sont a posteriori : partant de l’expérience prise comme conséquence pour remonter à son principe[169].

Ces trois arguments sont, comme tous les autres, l’objet d’une vive controverse depuis leur premier énoncé, et de l’avis de la majeure partie des commentateurs aucun ne peut emporter l’adhésion à lui seul. Pascal qui n’acceptait comme arguments en faveur de l’existence de Dieu que les prophéties et les miracles (le pari pascalien n’étant pas présenté comme une preuve)[164], en parle en ces termes : « Les preuves de Dieu métaphysiques sont si éloignées du raisonnement des hommes et si compliquées, qu’elles frappent peu, et quand cela servirait à quelques-uns, cela ne servirait que pendant l’instant qu’ils voient cette démonstration, mais une heure après, ils craignent de s’être trompés »[175].

Anselme de Cantorbéry, le premier[169] proposa un argument a priori : l’idée de Dieu, et ses conséquences, rend nécessaire l’existence de Dieu sans qui il ne saurait y avoir d’idée de Dieu. Cet argument se retrouve aussi chez Descartes et Leibniz[169].

Kant (dans Critique de la raison pratique) et Nédoncelle ont développé des preuves, dites morales, où l’existence de Dieu est seule capable d’expliquer la conscience morale, chez le premier, ou l’ordre des personnes humaines, chez le second[169].

Position des grandes religions

L’Église catholique, depuis l’encyclique Æterni Patris (1879), réaffirme la validité des Quinque viae, les « cinq voies » de Thomas d’Aquin qui reposent sur l’analogie métaphysique de l’être et s’inspirent du « Je suis celui qui suis » du Livre de l’Exode[176].

Ce point de doctrine a été rappelé par le pape Jean-Paul II dans l’encyclique Fides et Ratio et plusieurs déclarations[177]. Il déclare aussi que “quand on parle de preuves de l’existence de Dieu, il faut souligner qu’il ne s’agit pas de preuves scientifico-expérimentales.” Mais plutôt d’une façon pour l’intelligence humaine de ne pas abdiquer face à la complexité du monde et une stimulation pour la réflexion. Elles sont d’abord un soutien de l’intelligence à la foi des croyants, et non destinée à la conversion des sceptiques[178].

Dans le judaïsme, la question ne se pose pas, non par tabou mais du fait même de la conception de la transcendance : Dieu dépasse totalement l’entendement humain. Vouloir cerner son concept de manière analytique est voué à l’échec par sa nature même. Certains auteurs juifs n’hésitent pas à nier toute possibilité de « parler » de Dieu[179].

Critique de la preuve ontologique

Au livre II de la Critique de la raison pure, Emmanuel Kant montre que l’argument cosmologique et l’argument téléologique (qu’il nomme argument physico-théologique) se fondent sur l’argument ontologique. En effet, après avoir observé la contingence du monde, l’argument cosmologique doit poser l’existence d’un être nécessaire ; il est alors obligé de recourir à l’argument ontologique, qui déduit du concept de Dieu qu’il existe. Quant à l’argument physico-théologique, à partir de l’observation de fins dans la nature, il en conclut qu’il a fallu un créateur pour que le monde existe (argument cosmologique), et que ce créateur doit exister nécessairement (argument ontologique).

Si l’argument ontologique est réfuté, l’argument cosmologique et l’argument téléologique tombent avec d’après Kant. Kant propose donc une réfutation de l’argument ontologique dans l’espoir de ruiner toutes preuves de l’existence de Dieu. Pour Kant, l’existence n’est pas une propriété intrinsèque, on ne peut pas légitimement dire que l’existence appartienne au concept de Dieu : c’est confondre le contenu conceptuel et le prédicat existentiel d’une chose. Ainsi, pour Kant, le concept de Dieu demeure le même, qu’il existe ou pas : ce « concept de Dieu » ne prouve rien, n’indiquant qu’une possibilité[180],[181]. Afin de l’illustrer, Kant prend l’exemple suivant : « Cent thalers réels ne contiennent rien de plus que cent thalers possibles. Car, comme les thalers possibles expriment le concept et les thalers réels, l’objet et sa position en lui-même, au cas où celui-ci contiendrait plus que celui-là, mon concept n’en serait pas le concept adéquat. Mais je suis plus riche avec cent thalers réels qu’avec leur simple concept (c’est-à-dire avec leur possibilité). »

En bref : la conséquence du raisonnement ontologique est que l’« idée de Dieu » existe, mais l’existence elle-même de Dieu n’est pas une idée[169].

Question repensée à nouveaux frais

La philosophie des religions, et la question des preuves de l’existence de Dieu, ont connu un grand renouveau dans le sillage de la tradition analytique. Des auteurs tels que Peter Geach, Richard Swinburne[182], Alvin Plantinga, Antony Flew, John Leslie Mackie[183], et Jordan Howard Sobel se demandent quelles raisons nous avons d’affirmer ou de contester l’existence d’un être surnaturel dont dépendrait l’existence du monde.

Tandis que les autres philosophes sont soit catholiques, soit protestants, soit anglicans, la caractéristique d’Antony Flew, qui lui a assuré un surcroit de notoriété ces cinq dernières années, consiste à avoir été, des années durant, un éminent philosophe des religions et d’avoir revendiqué son athéisme. Il a fini par considérer, autour de sa 81e année, que non seulement la question de l’existence de Dieu était importante mais encore que l’existence de Dieu[184] était possible selon une variante de l’argument téléologique, que les Anglo-Saxons nomment fine tuning[note 3], en quelque sorte, l’argument du meilleur des mondes possibles[185]. Il considère que, plus la complexité du monde apparaît dans les connaissances humaines, plus cet argument est puissant pour fonder le théisme[note 4],[186]. Quelques militants de la cause de l’athéisme s’en sont trouvés gênés et ont déclaré pour les uns, que cette conversion était un vœu pieux des croyants, en dépit de la lettre de Flew à Philosophy Now et pour les autres que l’auteur était déjà âgé[réf. necessary].

Philosophies contemporaines

Maîtres du soupçon et « mort de Dieu »

Depuis Paul Ricœur[187], on nomme habituellement « maîtres du soupçon »[188] les penseurs Marx, Nietzsche et Freud[189].

En Occident, à partir de René Descartes, Blaise Pascal et Grotius notamment, l’existence de Dieu est devenue sujette à la démonstration, et de plus en plus exposée à la critique, concomitante à la crise de la religion chrétienne et l’apparition du protestantisme. Les philosophes du XVIIIe siècle sont critiques mais pas athées[note 5].

On doit à Friedrich Nietzsche la formule « Dieu est mort », mais c’est Feuerbach qui ouvre le feu. La théologie de la mort de Dieu le prendra au mot[190]. Ce courant de pensée n’est, d’ailleurs, étranger ni à l’islam[191] ni au judaïsme[192].

« Dieu est mort ! Dieu reste mort ! Et c’est nous qui l’avons tué ! Comment nous consoler, nous les meurtriers des meurtriers ? Ce que le monde a possédé jusqu’à présent de plus sacré et de plus puissant a perdu son sang sous notre couteau. — Qui nous lavera de ce sang ? Avec quelle eau pourrions-nous nous purifier ? Quelles expiations, quels jeux sacrés serons-nous forcés d’inventer ? La grandeur de cet acte n’est-elle pas trop grande pour nous ? Ne sommes-nous pas forcés de devenir nous-mêmes des dieux simplement — ne fût-ce que pour paraître dignes d’eux ? »

— Friedrich Nietzsche, Le Gai Savoir[193]

Feuerbach, l’essence du christianisme, 1841

Ludwig Feuerbach fait écho aux mutations de la société occidentale moderne que sont le scientisme, la théorie de l’évolution de Darwin, le socialisme, partageant, entre autres, une critique des dogmes religieux[note 6], qui ouvre la voie à l’athéisme en considérant la notion de Dieu comme un construct social étranger à la réalité. Le concept principalement développé dans l’Essence du christianisme[194] peut se résumer en deux points, à savoir, d’une part, Dieu comme aliénation et, d’autre part, l’athéisme comme religion de l’homme.

Ce n’est plus l’homme qui dépend du divin mais le divin qui dépend de l’homme[195] : « le progrès historique des religions consiste en ceci : ce qui dans la religion plus ancienne valait comme objectif, est reconnu comme subjectif, c’est-à-dire, ce qui était contemplé et adoré comme Dieu, est à présent reconnu comme humain […]. Ce que l’homme affirme de Dieu, il l’affirme en vérité de lui-même »[196]. Feuerbach voit ainsi la théologie comme une anthropologie renversée et Dieu comme une sorte de surmoi social, relevant de la sociologie des religions ou de la psychologie individuelle ou collective, en aucun cas de la philosophie[197].

Philosophie et théologies du process

La théologie du process est le nom sous lequel on rassemble les œuvres de cette métaphysique sur la nature de Dieu[198]. Cette métaphysique, au contraire des précédentes, transcende les frontières des dénominations religieuses. Même si les penseurs chrétiens (protestants avec John B. Cobb ou catholiques avec, d’une certaine façon, Pierre Teilhard de Chardin et Jean-Luc Marion[199], ou encore laïcs avec Henri Bergson) ont publié plus d’ouvrages, on trouve aussi des penseurs du Process dans le judaïsme[200], dans l’hindouisme et dans une moindre mesure dans l’islam. Elle s’est développée autour de deux pôles :

Toutefois, le chef de file de cette théologie est le mathématicien Alfred North Whitehead dont le livre Procès et réalité[note 7],[205] semble constituer la théologie systématique qui demeure peu connue en Europe[206] faute de traduction de son œuvre théologique alors que, aux États-Unis, ses textes sont au programme des études secondaires.

Si la théologie du process est plus particulièrement développée aux États-Unis, elle trouve néanmoins un certain écho en Europe grâce aux travaux d’André Gounelle qui a donné une introduction aux diverses théologies du process sous le titre Le Dynamisme créateur de Dieu[207].

Whitehead ne donne aucune définition[note 8] de Dieu. Il en décrit les trois fonctionnalités[207] :

injecter du possible dans le réel et, par là, lui ouvrir des potentialités, du devenir [ note 9 ] ,

, trier entre le potentiel et le possible et, par là, permettre efficacement le libre arbitre,

à défaut de donner un sens, donner une direction au possible. En cela les philosophes du process apportent une relecture de la prédestination chère à Augustin d’Hippone puis aux théologiens protestants. Cette direction est proposée (et non imposée) en sorte de favoriser la meilleure réalisation de chaque entité actuelle [ 208 ] et de tendre vers un monde harmonieux [ 207 ] .

Phénoménologie chrétienne

Pour le philosophe chrétien Michel Henry, Dieu n’est rien d’autre que la vie phénoménologique absolue qui donne en permanence chaque ego à lui-même et qui se révèle à nous dans la souffrance comme dans la jouissance de soi[209],[210] :

« Dieu est Vie, il est l’essence de la Vie, ou, si l’on préfère, l’essence de la vie est Dieu. Disant cela, nous savons déjà ce qu’est Dieu, nous ne le savons pas par l’effet d’un savoir ou d’une connaissance quelconque, nous ne le savons pas par la pensée, sur le fond de la vérité du monde ; nous le savons et ne pouvons le savoir que dans et par la Vie elle-même. Nous ne pouvons le savoir qu’en Dieu[211]. »

Psychanalyse

Sigmund Freud

Freud considère que la foi est un symptôme qui exprime un besoin d’être protégé et la détresse qui prolonge celle de l’enfant : Dieu représente un père transfiguré, supérieur au vrai père et meilleur que lui[212] : Dieu a été inventé par l’homme comme « substitut psychotique de la protection parentale que l’homme perçoit comme défaillante », inventant un Dieu bon ainsi que la croyance en la vie éternelle[213]. Même s’il considère que la religion a rendu de grands services à la civilisation[214], Freud ne pense pas qu’il faille croire à ce qu’il estime être une « névrose obsessionnelle universelle », croire en Dieu revenant par ailleurs à prendre ses désirs pour des réalités[212]. En 1927, dans L’Avenir d’une illusion, Freud écrit : « Il serait certes très beau qu’il y eût un Dieu créateur du monde et une providence pleine de bonté, un ordre moral de l’Univers et une vie après la mort; mais il est cependant très curieux que tout cela soit exactement ce que nous pourrions nous souhaiter à nous-même »[215].

Karl Gustav Jung

Carl Gustav Jung, pour qui un symbole est quelque chose qui « renvoie toujours à un contenu plus vaste que son sens immédiat et évident »[216], dit de Dieu qu’il est « le symbole des symboles »[217]. C’est une expression qui ne se veut pas révolutionnaire, mais au contraire dans la continuité des diverses expressions du divin. Les recherches de Jung, dans l’alchimie ou la philosophie chinoise, tentent de relier ce qui est universel dans le ressenti de Dieu[218]. Ces archétypes communs (qui constituent l’inconscient collectif), seraient exprimés par chaque religion de façon différente, mais toujours pour exprimer cette même symbolisation.

Analyse scientifique

Le mathématicien et logicien Kurt Gödel (1906-1978) qui a ruiné définitivement le grand projet de David Hilbert d’axiomatisation des mathématiques, par son théorème d’incomplétude, adhérait à un Dieu personnel non panthéiste proche de celui de Leibniz, tout en récusant la spécificité des différentes religions. Il a par ailleurs tenté d’établir à Princeton, vers la fin de sa vie, une preuve formelle de l’existence de Dieu utilisant la méthode axiomatique connue sous le nom de Preuve ontologique de Gödel : partant de différents postulats et définitions, elle débouche par voie déductive sur les théorèmes régissant l’existence de Dieu. Ajoutons qu’elle procède dans la ligne de la preuve ontologique d’Anselme de Canterbury[219] . Précisons en outre, que la preuve de Gödel a été depuis remise en question par Jordan Sobel[220].

Incompatibilité avec la science ?

La question de l’incompatibilité entre les magistères de la religion et la science a été théorisée par l’agnostique Stephen Jay Gould co-inventeur avec Niles Eldredge de la théorie des équilibres ponctués, dans son concept de non-recouvrement des magistères. Il y ” prône le respect mutuel sans empiètement quant aux matières traitées, entre deux composantes de la sagesse dans une vie de plénitude : notre tendance à comprendre le caractère factuel de la nature (c’est le magistère de la science) et notre besoin de trouver du sens à notre propre existence et une base morale pour notre action (le magistère de la religion) : “[221].

Des théologiens, tels qu’Alister Edgar McGrath, font également valoir que l’existence de Dieu ne peut être statuée sur le pour ou le contre à l’aide de la méthode scientifique[222]. C’est ainsi que Georges Lemaître, étant prêtre catholique, fut très attentif à tenir soigneusement à l’écart de sa foi catholique ses travaux concernant la théorie du Big Bang dont il fut l’un des premiers initiateurs[223].

Association avec la science

Selon le biologiste athée Richard Dawkins, un scientifique peut porter un regard scientifique sur l’éventuelle gouvernance d’un dieu sur la nature en ce sens qu’un astronome est plus qualifié qu’un théologien à propos des questions cosmologiques[224]. À l’argument qu’on lui oppose de n’être pas suffisamment formé dans les matières qu’il critique, il explique qu’il n’est pas besoin d’étudier la théologie pastafarienne pour ne pas croire au Monstre en Spaghettis volant ni d’être dépositaire d’une particulière érudition pour désavouer les contes de fée ou l’astrologie[225]. Son ouvrage a suscité une controverse nourrissant des critiques souvent issues de milieux confessionnels chrétiens[226] tandis que certains estiment que les publications de Dawkins ouvrent l’ère d’un fondamentalisme athée[227].

Exposant son approche de l’argument cosmologique au cours d’un débat sur la science et Dieu avec John Lennox au Musée d’histoire naturelle de l’université d’Oxford en octobre 2008 [228], Dawkins explique que, selon lui, il existe un aspect « inconnaissable » à la création de l’Univers que l’on pourrait attribuer à un dieu si on entend par là une « singularité qui aurait donné naissance à son existence ». Selon lui, s’opposant à la vision théiste des miracles auxquels croit John Lennox, un plaidoyer sérieux pourrait être élaboré en faveur d’une explication déiste de l’Univers, auquel lui-même ne souscrirait cependant pas[229]. Explicitant Stephen Hawking et la notion d’« esprit de Dieu » qu’il rapproche de la conception d’Albert Einstein, Dawkins voit le terme comme une métaphore, une manière poétique d’exprimer un état ou un moment où les physiciens auraient unifié leurs théories et auraient l’explication et la compréhension de tout. Dieu est ainsi une manière de désigner « ce que nous ne comprenons pas »[230]. Néanmoins, pas plus Hawking qu’Einstein n’ont foi en un Dieu personnel : suivant Dawkins qui partage le même point de vue, ce qu’Einstein appelle « Dieu » correspond aux lois de la nature dont le mystère inspire un sentiment de révérence, que Dawkins se refuse pour sa part à nommer de la sorte[231].

Philippe Quentin, professeur de physique à l’université de Bordeaux, rapporte qu’Einstein a soutenu que la science ne peut pas contredire sa conception de la religion, au sujet de laquelle le célèbre savant a écrit dans son ouvrage Out of my later year[232]: ” Je ne peux pas concevoir un Dieu personnel qui pourrait influencer directement les actions des individus (…). Ma religion consiste en une humble admiration pour l’esprit infiniment supérieur qui se révèle lui même dans le peu que (…) nous pouvons comprendre de la réalité “[233].

À côté du renouveau de la philosophie thomiste (le néothomisme) il s’est développé au tout début du XXe siècle une métaphysique contemporaine qui tient compte du progrès scientifique tel que le représentent la physique quantique, les théories de l’évolution, la psychanalyse[réf. necessary]. C’est ainsi, par exemple que l’espagnol Mariano Artigas (1938-2006), membre de l’Académie pontificale saint Thomas d’Aquin, à la fois théologien et physicien a travaillé en épistémologie de manière à distinguer mais sans dissocier l’ontologie métaphysique qui traite de Dieu, et les démarches scientifiques qui sont autonomes. Il a écrit en particulier: Ciencia, Razon y Fe (2004), Filosofia de la naturaleza (2003), Filosofia de la Scientia (1999). En outre il a collaboré avec Karl W. Giberson à un ouvrage visant à répondre aux critiques visant Dieu provenant de divers savants athées, dont le prix Nobel de physique Steven Weinberg, Stephen Hawking et Richard Dawking[234][source secondaire nécessaire].

Théologies

gender

Sur les attributs féminins du Dieu judaïque, voir Thomas Römer, Dieu obscur : le sexe, la cruauté et la violence dans l’Ancien Testament[235].

Si Dieu est souvent représenté comme un homme, cette question est objet de débats, notamment chez les philosophes, voir, par exemple, sous la direction de Jacques Maître, Religion et sexualité[236].

Noms de Dieu

C’est une difficulté si le Dieu dont on parle relève de la transcendance et si l’on souhaite dépasser le cadre confessionnel.

Selon John Hick : « Au premier cercle, nous rencontrons un problème de terminologie auquel aucune solution satisfaisante ne peut être proposée. Comment devons-nous nommer cette réalité transcendante à laquelle nous supposons que la religion constitue la réponse humaine ? On peut pencher initialement pour le rejet de « Dieu », parce que trop théiste – si l’on retient que l’éventail des religions inclut les plus grandes traditions non-théistes comme les théistes – et considérer des alternatives telles que « Le Transcendant », « Le Divin », « Le Dharma », « l’Absolu », « Le Tao », « L’Être en soi-même », « Brahman », « L’ultime réalité divine ». Le fait est que nous ne disposons pas d’un terme parfaitement libre vis-à-vis d’une quelconque tradition ou susceptible de les transcender. C’est pourquoi on en vient à utiliser le terme fourni par l’une de ces traditions, toutefois l’utilisant (ou ayant conscience de mal l’utiliser) d’une façon qui force ses frontières. Comme chrétien, je serais assez d’accord pour utiliser « Dieu » mais je ne l’utiliserais pas dans son sens absolument théiste. C’est donc un danger pour l’auteur comme pour le lecteur de passer sans l’avoir remarqué et de régresser au sens strict et standard de ce terme ; tous deux doivent demeurer vigilants contre cela. Je parlerai donc de Dieu dans ce qui suit, avec cette restriction importante que c’est une question ouverte de savoir, à ce moment du propos, si Dieu est personnel. Nous serons conduits, je le présume, à distinguer Dieu de « Dieu comme il est conçu et perçu par les hommes ». Dieu n’est ni une personne ni un objet mais la réalité transcendante telle qu’elle est conçue et expérimentée par diverses mentalités humaines, notamment soit de façon personnelle, soit de façon non-personnelle »[237]. Dieu peut avoir un nom défini, comme YHWH[note 10] ou Allah, nom que les croyants énoncent souvent avec réserve et déférence, préférant l’usage de ses surnoms ou attributs, qui tendent à approximer son ineffabilité foncière. Certaines religions demandent ou édictent qu’on ne prononce jamais son nom hors d’un contexte rituel et sacré[note 1].

André Chouraqui décrit Moïse au Buisson Ardent en face à face avec « Celui qui n’a pas de nom », également appelé El ou Allah[238].

media

art

Lors de la mutation du monolâtrisme — ou de l’hénotéisme — yahviste vers le début du VIe siècle, le Dieu unique, transcendant, devient « un souverain invisible plus puissant encore » et par là frôle l’idolâtrie[pas clair][239]. On en vient donc à ne pas le représenter, même au moyen d’un objet ou d’un symbole.

Ainsi, les trois monothéismes dits abrahamiques s’accordent pour déclarer Dieu irreprésentable[240], qu’il ne peut exister aucune représentation qui lui ressemble, de par sa nature transcendante. Cependant, la foi en l’Incarnation du Verbe de Dieu en Jésus de Nazareth a singularisé sur ce plan le christianisme : croire que Jésus est Dieu fait homme permet d’affirmer la représentativité de Dieu en Jésus-Christ[241]. Le christianisme, particulièrement latin – est ainsi le seul des trois monothéismes abrahamiques « qui ait toléré, puis accepté, légitimé, suscité et pratiqué une formidable galerie de portraits du Dieu unique »[242].

Littérature de fiction

Romans / nouvelles

Théâtre

Musique

Cinéma et télévision

En tant que concept majeur et personnage universel, ainsi que sujet controversé et justification à des deus ex machina, Dieu est un personnage récurrent dans le cinéma et plus largement la pop culture. Il peut servir d’antagoniste (Le Tout Nouveau Testament), d’intervenant en faveur des héros voire de sujet central (Dogma), ou de ressort comique (South Park). Cependant, il occupe rarement le rôle principal, et a le plus souvent une apparence masculine.

La redondance de Dieu comme personnage, thème ou référence est telle qu’en recenser toutes les occurrences semble impossible.

La série télévisée Code Quantum (1993), 5 e saison, épisode 22 (« Le grand voyage »)

(1993), saison, (« Le grand voyage ») Dans la série South Park, Dieu apparaît à plusieurs reprises. Il confirme Jésus comme son fils et conseille Satan quand ce dernier est tiraillé entre deux histoires d’amour (dans les épisodes 9 et 10 de la saison 4). Dans l’épisode 16 de la saison 3, il descend sur Terre pour l’an 2000 et les croyants et curieux sont surpris de son apparence [ 243 ] : une créature à tête d’hippopotame, pattes avants de chiens, corps de singe, debout sur ses pattes arrières d’éléphant. La religion est un concept récurrent de la série, occasion d’irrévérence et de satire qui caractérise celle-ci.

Notes et références

Remarks

a et b D.ieu ou simplement D. Les contestataires de cet usage, comme en vain : « Tu n’invoqueras pas le Nom de YHWH ton Dieu en vain » (Ex 20:7). En revanche, l’usage, dans le préservation de la Loi qui consiste à aller un peu plus loin que l’exigence biblique, pour être certain de l’accomplir sans erreur. |(Dieu et l’art de la pêche à la ligne, éd. Bayard, 2001). On peut noter que la loi juive interdisant de prononcer le nom de Dieu en vain ou de blasphémer, certains religieux de cette confession (contestés par d’autres) écrivent le mot ainsi :ou simplementLes contestataires de cet usage, comme Armand Abécassis , indiquent que cette interdiction de la Bible hébraïque ne concerne que le nom de YHWH (yod, he, waw, he), pas le mot vernaculaire d’une langue étrangère. Par ailleurs, la Bible n’interdit pas de prononcer le nom de Dieu, elle interdit seulement de le prononcer: « Tu n’invoqueras pas le Nom de YHWH ton Dieu en vain » (Ex 20:7). En revanche, l’usage, dans le judaïsme s’établit néanmoins autour de l’idée dequi consiste à aller un peu plus loin que l’exigence biblique, pour être certain de l’accomplir sans erreur. |( Marc-Alain Ouaknin Bayard, 2001). ↑ On nomme depuis quelques années « religions abrahamiques » les religions qui se reconnaissent Abraham pour ancêtre symbolique. Ce sont le judaïsme , le christianisme et l’ islam ↑ de la cohérence du monde et de la vie humaine. ↑ Il ne s’agit pas d’une conversion à une religion, par exemple chrétienne, mais de la conviction que Dieu est possible. ↑ les philosophes athées, Le Monde des religions, mars-avril 2009. Cette section doit beaucoup à l’article de André Comte-Sponville , mars-avril 2009. ↑ En cela, ils sont une critique des christianismes mais pas des autres religions. En effet, le christianisme est la seule religion qui s’est dotée d’un corpus de doctrines obligatoires. ↑ Process and Reality sa traduction par Procès et Réalité ne rend pas justice à la pensée de l’auteur, en ce sens que le mot procès en français s’est spécialisé dans le domaine juridique alors qu’en anglais il garde son sens de processus, comme l’indique Dynamisme créateur de Dieu dans l’édition de 1975. Le titre exact estsa traduction parne rend pas justice à la pensée de l’auteur, en ce sens que le moten français s’est spécialisé dans le domaine juridique alors qu’en anglais il garde son sens de, comme l’indique André Gounelle dans sa préface audans l’édition de 1975. ↑ limites. il s’agirait d’enfermer Dieu dans la limite de paroles humaines comme le fait le parce que qui dit définition dit. il s’agirait d’enfermer Dieu dans la limite de paroles humaines comme le fait le dogme ↑ se reporter à la note concernant Exode 3:14. ↑ Yahweh dans la אֶהְיֶה אֲשֶׁר אֶהְיֶה ce qui se traduit mot à mot, selon le théologien A. LaCocque, par « je serai qui serai » (Exode 3:14). L’je serais qui je serais que dans une forme alliant le subjonctif au futur que je sois qui je serai. D’une manière pseudo hébraïsante, ce nom est introduit sous la formedans la Bible de Jérusalem , grande traduction dominicaine de 1956. YHWH est une simple translittération de l’hébreu, qui ne note pas les voyelles : « Je suis celui qui est », ou encore plus précisémentce qui se traduit mot à mot, selon le théologien A. LaCocque, par « je serai qui serai » (Exode 3:14). L’ inaccompli est un aspect qui donne au verbe l’expression de toutes les potentialités comme l’indique la grammaire Weingreen éditée chez Beauchesne ; il en résulte que d’autres traductions sont possibles aussi bien au conditionnelque dans une forme alliant le subjonctif au futur

references

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bibliography

Historiens, exégètes et chercheurs contemporains

Philosophes classiques

Philosophes contemporains

Théologiens contemporains

Essais

Revues

20 clés pour comprendre Dieu, multiples auteurs, Le Monde des religions, hors série no 11, Paris, 2009.

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Principaux noms de Dieu ou du Divin

Concepts connexes

Pourquoi célébrer ?

Célébrer un succès nourrit le sentiment de fierté. Lorsqu’on symbolise un succès, on peut plus facilement ancrer la fierté qui elle, nous servira de moteur, de propulseur, lorsque la fatigue se pointera le bout du nez. La fierté permettra aussi d’éclipser le découragement et le syndrome de l’imposteur.

Compte les bienfaits de Dieu

Pourquoi prendre le temps de celebrer les success

À l’aube du 5e anniversaire d’Iceberg Management, l’équipe est habitée par two sentiments : la fierté et la tired. Devrions-nous avoir honte de nommer un des deux sentiments ? Si oui, lequel ?

Il est bien normal qu’après plusieurs années de dur labour, l’esprit et le corps ressentent de la tired. Et avec le rhythme effréné du monde des affaires, l’économie toujours en croissance et les exigences toujours rehaussées, je suis certaine que ce sentiment de résonne dans plusieurs d’entre vous. A raison de plus pour prendre le temps. A raison de plus pour celebrer le success.

Celebrity and success nourrit le sentiment de fierté. Lorsqu’on symbolizes un successès, on peut plus facilement ancrer la fierté qui elle, nous servira de moteur, de propulseur, lorsque la effort se pointera le bout du nez. La fierté permettra also d’éclipser le découragement et le syndrome de l’imposteur. C’est un cycle, un équilibre qu’il faut se thunder, entre la müdigkeit du du dur labour et prendre le temps de se récompenser, de nourrir sa fierté.

Is it compensated for the night that you are fighting and fighting the tired days-vous ? J’en Imagine plusieurs monter aux barricades. Le lien de cause à effet semble difficile à faire? Le combat sur la fierté n’est pas gagné d’avance. Culturellement au Québec, on aime mieux dire qu’on est fatigués de travailler fort plutôt que d’être fiers de ce qu’on a accomplit. Comme si d’être fier de quelque chose enlevait une fierté aux autres. Martin Matte parle d’ailleurs ouvertement de ce combat qu’il mène contre cette culture Québécoise qui a tendance à avoir honte des success[1].

Or prendre le temps de célébrer, de se féliciter, de se récompenser, c’est justement une question de santé mentale. En plus d’élever Notre Dialog intérieur qui a parfois tendance à être “négatif”, ancrer des sentiments de fierté redonne de l’énergie, permet de ne pas que voir les défis à relever, donne de la place aux complissements et change le respect de façon positive sur son parcours, ses compétences et ses capacités.

Quand on invitation les entreprises à célébrer leur successès, d’organiser une fête, on entend souvent “on n’a pas le temps”, “on n’a pas eu le temps” or “on n’a pas l’argent” . Parfois, ces memes personnes ont le temps de s’entrainer pour des triathlons ou de faire plus d’un voyage par année. Si ces activités permettent de se récompenser individualment, il serait bienveillant d’élargir le cercle de la fierté à l’équipe qui est cosponsable du success de l’entreprise.

Et vous, comment célébrez-vous et symbolizez-vous les success ? On s’en parle à notre fête le 5 février prochain ? Cliquez ici pour more de details et pour vous write !

By Julie Tardif, CRHA

[1] Martin Matte reflects the culture of Québécoise de la honte des successes. Extrait de 2 minutes qui résume toout: https://ici.artv.ca/videos/video/pour-emporter-martin-matte-vantardise%20/

Qui a inventé le mot Dieu ?

Il provient de la racine hébraïque HWH/HYH, verbe qui signifie « être » ou « devenir ». La tradition de la Kabbale lui associe 72 noms d’anges pour obtenir le vrai nom de Dieu, le Schem-hamephorash.

Compte les bienfaits de Dieu

La denomination de Dieu, dans les religions abrahamiques, est variable selon les religions mais aussi selon les origines linguistiques des Termes qu’elles emploient.

Le nom du Dieu d’Israël et de Judah apparaît près de 6800 fois dans la Bible hebrïque sous la forme du Tétragramme יהוה, c’est-à-dire YHWH[1]. Ce nom est also attesté, sous une forme incomplète (Yah), dans un grand nombre d’anthroponymes. Il provide de la racine hebraïque HWH/HYH, verb means “être” or “devenir”. La tradition de la Kabbale lui associate 72 noms d’anges pour obtenir le vrai nom de Dieu, le Schem-hamephorash.

Dans le Judaisme, le Tetragramme ne doit pas être prononcé, in respect for le Nom divin. Pour le christianisme, the question of the transcription s’est posée. En effet, l’écriture semitique est, à l’origine, purement consonantique et plusieurs hypotheses ont été proposées pour reconstituer les voyelles du Tétragramme. A pronunciation du Tétragramme reconstituée à partir des Transcriptions Grecques de Gesenius a conduit à lire Yahwêh ou bien Yahvé. This transcription was given in 2008 by the Catholic Church, by the Fois par Respect envers le Judaïsme, by Souci des règles philologiques and by the Tradition instaurée par la Vulgate[2], by Jérôme de Stridon traduit «YHWH» par une périphrase: “Le Seigneur” (Dominus)[3].

Une autre hypotheses, jusqu’au XIXe siècle, a donné le nom Jéhovah. Elle n’a plus cours aujourd’hui, pour des raisons philologiques, et n’est plus utilisée que par les Témoins de Jéhovah[4] ou plus rarement chez les mormons.

Le Dieu de la Bible hebraïque porte différents titres. Les deux plus connus sont “Adonai” and “Elohim”. “Adonaï” is a pluriel de Adon, with a suffix possessed by the 1st person of the singulier: “mon Seigneur”[1]. “Elohim”, cité plus de 2 500 fois, est un pluriel de majesté du nom “Eloah”, qui vient lui-même du nom “El”[5]. Celui-ci corresponds to “nom donné par l’ensemble des Sémites à la divinité en général et au Dieu suprême en particulier[5]”. Dieu est also appelé El Shaddai, et ce terme semble signifier «de la monagne[6]». Il est également “le Saint”, “le Rocher”, “l’Eternel”[1]

Item detail : Christogram

Dieu le Père [ Modifier | modifier code ]

Le Nouveau Testament, en grec, emploie le mot Θεος (Théos) pour designer Dieu, parallel au mot Κυριος (Curious), traduit en français par “Seigneur”. Les deux vocables s’appliquent à Dieu le Père ainsi qu’à Jésus de Nazareth, dans les deux cas avec ou sans article (Acts 14:15; Jn 1:1; Jn 20:28).

Jesus of Nazareth [ modifier | modifier code ]

Jésus de Nazareth a revendiqué pour lui le Tétragramme de l’Ancien Testament dans Jean 8.56-58 : “Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu’il verrait mon jour: il l’a vu, et il s’est rejoui. 57 Les Juifs lui dirent: Tu n’as pas encore cinquante ans, et tu as vu Abraham ! 58 Jésus leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, je suis. »

Le Prologue de l’évangile selon Jean designe Jésus comme Λογος (Logos), c’est-à-dire d’un mot qui est traduit habituellement par “Verbe” et qui signifie parole, raison, pensée. Il est principe d’une essence essence, preexistant au monde et identifié à Dieu: “Au beginning était le Verbe et le Verbe était avec Dieu et le Verbe était Dieu” [Joh 1,1] (“La Sainte Bible traduite en français sous la direction de l’École biblique de Jérusalem»).

Paul declare que «Dieu l’a sovereignty élevé, et lui a donné le Nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue Confess, à la gloire de Dieu le Père, que Jésus-Christ est Seigneur ». (Ph 2. 10) Reprenant is 45. 23).

Dans l’évangile de Jean, Jésus de Nazareth demande au Père de les garder en son nom YHWH, ce nom qu’il lui a donné. Afin qu’ils soient un comme Jésus de Nazareth et YHWH sont un. (John 17:11).

Le Saint-Esprit, en grec Πνευμα, Pneuma, c’est-à-dire le “Souffle”, est appelé Παρακλητος, Paraclet, d’un mot qui mean “intercessor, consolation” (John 14:26). About trouve aussi une référence “Le défenseur” (John 16:13).

Dans la tradition musulmane, Dieu (Allah) has 99 attributes that serve the designer.

Une courte nouvelle de 1953 d’Arthur C. Clarke envisage les consequences de l’utilisation par des moines buddhistes d’un ordinateur pour la réalisation d’un travail énorme : écrire Les neuf billions de noms de Dieu (nouvelle Les neuf billions de noms from Dieu).

Le but du monastère est en effet de faire l’inventaire des noms de Dieu : c’est la raison d’être de l’espèce humaine, du monde et de l’Univers, qui disparaîtront ensuite. Or cette tâche prend trop longtemps de manière artisanale. For Contourner cet obstacle, les Bonzes Font Appel à des Ingénieurs en calcul, qui viennent installer et programr un supercalculator à la lamaserie ; l’appareil mettra seulement quelques jours à chercher, parmi des billions de billions de combinaisons de lettres, celles qui constituent les Noms de Dieu. Les techniciens, en bons Occidentaux cartésiens, croient les moines fous et s’empressent d’accomplir leur mission pour rentrer chez eux avec leur paye.

Qui est le vrai nom de Dieu ?

Ce nom on le connaît par la Bible et par les documents profanes. Il est composé de quatre consonnes dans les langues sémitiques : YHWH. C’est par suite d’une vocalisation factice que naquit ” le vocable hybride Jéhovah “.

Compte les bienfaits de Dieu

C’est pour les besoins de la rime, chacun le sait aujourd’hui, que Victor Hugo forgea de toutes pièces le nom de Jérimadeth dans le verse célèbre de la Légende des siècles: “Tout reposait dans Ur et dans Jérimadeth.” Le nom de Jéhovah, en honor chez les romantiques du siècle dernier, est tout aussi fantaisiste, bien qu’il soit adopté par tous les dictionnaires, à beginner par Littré. C’est ce que démontre en passant M. Edouard Dhorme dans une étude qu’il a consacrée au nom du dieu d’Israël, et dont il donne presentation cet après-midi vendredi au cours de la séance publique annuelle que tient sous la coupole l’Académie des inscriptions et belles-lettres.

C’est du jour où les “fils d’Israël”, contraints de quitter l’Égypte, se mirent en route vers la Terre promise qu’ils éprouvèrent le besoin d’avoir un dieu qui leur fût propre. A leur demande Moïse leur révéla le nom de ce dieu qui à travers les siècles resta l’apanage d’Israël.

Ce nom on le connaît par la Bible et par les documents profanes. Il est composed de quatre consonnes dans les langues semitiques: YHWH. C’est par suite d’une vocalisation factice que naquit “le vocable hybride Jéhovah”.

A tradition sérieuse, dit M. Dhorme, qu’on peut verifier chez Certain pères de l’Église et dans les papyrus magiques, a sauvegardé la veritable Lecture du fameux tétragramme, qui se prononçait Yaliweh. Ce mot est un decalque hebreu d’un verbe communément employee chez les Sémites en general, chez les Araméens ou les Syrias en particulier. Il represent une forme verbal et signifie simplement: Il est.

La séance comporte en outre le discours d’usage du president, M. Charles Virolleaud, et a notice du secretaire perpétuel, M. Alfred Merlin, sur la vie et les travaux d’Henri Maspero, qui était president de l’Académie lors de Arrest of the son by the Gestapo in July 1944. Deporté en Allemagne, il y mourut en mars 1945. M. Alfred Merlin en rendant un “hommage fervent et fidèle” à la mémoire de ce savant orientaliste lui a associé celle de son frère, Jean Maspero, tombé à Vauquois, et celle de son propre fils, engaged volontaire dans l’armée américaine, tué par un obus sur la Meuse, “trinité dont le sang et le Opfer ont auréolé d’heroïsme et de gloire un nom déjà illustre dans la science “.

Quels sont les 7 noms de Dieu ?

Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.

Compte les bienfaits de Dieu

La denomination de Dieu dans le Judaisme se fait par le nom de quatre lettres, YHWH, qui le designe le plus souvent dans la Torah, mais aussi par de nombreuses metonymies qualifiant les attributs et qualités Gottes, car le Tétragramme est réputé ineffable en raison du Troisième commandment: “Tu n’invoqueras pas le nom YHWH ton Dieu en vain” (Ex 20:7[1]).

La tradition juive considers sept de ces noms comme sacrés, devant faire l’objet de règles précises de transcription par les scribes et ne pouvant, une fois écrits, être effacés. Pour l’école de pensée juive qui consider que rien ne peut en définitive être dit de Dieu, ces différentes appellations font référence aux différents rapports de Dieu avec l’homme, au contexte dans lequel on se réfère à YHWH, aux différents facts qu’ on veut mettre en évidence.

La critique académique, et en particulier l’hypothèse documentaire ou ses dérivées, voient derrière cette multiplicité de noms une multiplicité de sources ou de dieux dans l’Israël antique que les auteurs de la Bible se seraient employee à obliterer.

Les noms de Dieu dans la Bible hébraïque [ Modifier | modifier code ]

Les premiers et principaux noms de Dieu apparaissant dans la Bible hebraïque sont Elohim, en Genèse 1:1[2], et YHWH (hebreu : י-ה-ו-ה), en Genèse 2:4[3].

Noms en ʾEl [ Modifier | modifier code ]

El (hébreu: אֵל‎) est un terme sémitique ancien, construit sur la racine ʾ-L, et se retrouvant dans l’ilū akkadien, l’El ou Il ougaritique et l’ʾIlāh arabe; il dénote la puissance (cf. Genesis 31:29: yesh lè-el yadi “Il est au pouvoir de ma main de vous faire du mal”) et, par extension, la divinité[4]. Contrairement aux textes ougaritiques où El est le nom du dieu suprême de leur panthéon, la Bible emploie le plus souvent el comme nom commun pour « un dieu », tant le dieu (Psaumes 18:31, 33 & 48; 57:3) qu ‘«un dieu étrange» (Psaumes 44:21; 81:10) ou «étranger» (Deuteronomy 32:12; Malachi 2:11) voire «les dieux» (Exode 15:11). Lorsqu’El est employee seul, il s’agit donc le plus souvent d’un terme générique pour mettre par exemple le divin et l’humain en contrate (Nombres 23:19; Isaïe 31:3; Ézéchiel 28:9; Osée 11 :9 ; Job 25:4) ; il ne désigne que rarement, et le plus souvent dans les livres et passages poétiques, le Dieu d’Israël (Genesis 33:20 “El, l’Elohim d’Israël” & Psaumes 146:5). En revanche, à l’état construit, c’est-à-dire modifié par une épithète ou combiné à un autre titre, il est préféré à Elohim et il en est de même lorsqu’il apparaît comme élément de noms théophores (Elihou, Eliyahou, Elkanah et Ismael, Israel, Samuel, Emmanuel)[5].

Eloha et Elohim [ Modifier | modifier code ]

Detail article: Elohim

Eloha (Hébreu : אֱלוֹהַּ‎) et Elohim (Hébreu : אֱלֹהִים‎) sont une forme allongée d’El. Certains considèrent Elohim comme la forme plurielle d’Eloha[5] mais selon d’autres, Eloha serait la forme «particulière» d’Elohim, lequel serait le pluriel d’El avec intercalation d’un he[4],[6] .

Eloha apparaît une soixantaine de fois dans la Hebraïque Bible, généralement dans ses textes poétiques, la plupart des events se trouvant dans le livre de Job[7]. À l’exception de quelques events dans le livre de Daniel et dans les Chroniques, il designe généralement le Dieu d’Israël. Elohim is au contraire l’un des noms divins les plus courants, apparaissant plus de deux mille fois. Il semble, à l’instar d’El, être un nom générique et polysémique qui, s’il designe le plus souvent l’Elohim d’Israël, est également Employé pour des dieux païens (Exode 12:12, 18:11, 20:3 etc.) voire une déesse (I Rois 11:5) ou des hommes considérés comme supérieurs (Exode 4:16, I Samuel 28:13, Zechariah 12:8)[5].

El Elyôn («Dieu Très-Haut») is one of the first noms divins rencontrés in the Livre de la Genese.

Noms dérivés du tetragramme [ modifier | modifier code ]

• Élie (Eliyahou) : el (Dieu) et Yah (Jah en français, diminutif de Yahvé ou Jéhovah) mean donc «Mon Dieu est Jah»

• Hanania, Ananias (Hananyahou): hanan (la compassion, la faveur) and Yah donc mean “La compassion, la faveur de Jah”

• Jean du vieux français Jehan, dérivé de Johan de l’hébreu Yohan lui même dérivé de Yehohanan (ou jéhohanan en français) : Yeho (diminutif de Jéhovah ou Yahvé) et hanan ( la pity, la faveur) mean donc « Jéhovah, ou Yahvé, a témoigné de la faveur, a été compatissant »

List of the name de Dieu [ modifier | modifier code ]

Item Details: YHWH

Le nom le plus important de Dieu dans le Judaisme est le Tétragramme, le nom à quatre lettres de Dieu, Youd-Heh-Waw-Heh, יהוה (l’hébreu se lisant de droite à gauche). Il apparaît dans le second chapter de Genese (ou, selon Certains, à la fin du premier en notarikon : Yom Hashishi Vaykhoulou Hashamaïm – le sixième jour. Furent achevés les cieux) et est habituellement rendu par «le Seigneur». Le judaïsme interdisant de prononcer ce nom en dehors de l’enceinte du Temple, la prononciation correcte du nom fut perdue — l’hébreu n’utilisant pas de voyelles. Si Certains biblistes pensent qu’il se prononçait Yahweh, l’hébraïste Joel M. Hoffman suggests qu’il n’eut jamais de prononciation. En effet, Certains textes antiques, notamment les Manuscrits de Qumran, portent le Tétragramme en caractères paleo-hebraïques, contraantant avec le reste du texte, écrit en caractères carrés, et on pense que, meme à cette période, on le lisait Adonaï, « Sir “.

Il s’agit du cas le plus connu de qeri-ketiv (“lu-écrit”, flagrante difference between l’écrit and the pronunciation), YHWH se lisant Adonaï. Le plus souvent, les religieux disent “Le Nom” (haShem) pour éviter de prononcer ce qui selon eux est interdit: “le nom de Dieu”.

YHWH contains the letters de WeHaYaH, HoweH, YHYeH (le Waw and le Yod are interchangeable): Il fut, Il est, Il sera. En un mot, l’Eternel.

Selon une autre tradition, YHWH serait la troisième personne du singulier de la forme imparfaite du verbe être — YHWH signifierait donc «Dieu est», «Dieu sera», ou peut-être «Dieu est», au sens de vit. Cette tradition s’accorde avec le fait que, dans le verset Ex 3,14, Dieu parle, se référant à lui-même à la première personne – « Je Suis ». Le Tragramme signifierait alor “Lui qui Est par Lui-même”, or simply “Lui qui Est”, le principe d’existence étant étranger à la pensée juive classique. YHWH serait donc l’expression de la conception hebraïque du monothéisme : Dieu Est par Lui-même, Créateur incréé dont l’Existence (ou l’Essence) ne dépend de rien ni personne d’autre, et sa réponse à Moïse, Je suis Celui que Je suis ou Je serai Celui qui sera (Ehye asher Ehye) serait la definition de Dieu par Lui-même.

A hypothesis, savante et non-traditionnelle, est rapportée by Martin Buber dans son Moïse : YHWH serait une emphase de la troisième personne du singulier, Hou en hebreu — « Ô Lui », Ya Hou, le Wah (Ya HouWah) étant une emphase Majesty.

L’idée de vie a été liée au Tétragramme depuis le Haut Moyen Âge. Dieu est présenté comme le “Dieu vivant”, ce qui ne signifie pas qu'” Il vit comme nous”, mais qu’Il est non-mort, par opposition aux divinités païennes, sans vie et inanimées.

Dieu, sous son nom en quatre lettres, est presenté dans la Bible elle-même comme la source et l’auteur de la vie[8].

Recomposé en français comme Yahweh (plus rarement Yawho ou Yawha), parfois Jéhovah, le Tetragramme est vraisemblabelment à l’origine du Yao des gnostiques et, peut-être, du dieu Yaw mentioned dans les sources ugaritiques. En effet, si on take que les lettres Heh (H) du Tétragramme servent d’augmentation sacrée au nom divin, comme le Heh d’Abram devenant AbraHam et de Saraï devenant SaraH, l’association devient évidente. Et, bien que le Heh final de YHWH ait sûrement été muet en hébreu classique, le Heh entre le Yod et le Waw était, lui, presque Certainement prononcé.

Verbaliser le tetragrams [ modifier | modifier code ]

Le Tétragramme en phénicien (1100 AEC – 300 EC), cananéen (1000 AEC ver le début de l’EC) et en écriture hebraïque modern (carrée).

L’interdiction de blasphémer, c’est-à-dire de prononcer le nom de Dieu en vain, crime passible de la peine capitale dans la loi juive, ne se rapporte qu’au Tétragramme (traité Soferim iv.; cf. Sanh. 66a).

Tous les courants actuels du Judaism enseignent que le Tetragramme, nom de Dieu en quatre lettres, ne peut être prononcé que par le Grand Prêtre dans le Temple. Selon une tradition, celui-ci ne le prononçait généralement qu’à Yom Kippour, et l’orchestre liturgique jouait plus fort à ce moment, de sorte que le Grand Prêtre ne soit pas entendu.

Le Temple de Jérusalem ayant été détruit, ce nom n’est jamais prononcé par les Juifs lors de rituels religieux, ni lors de conversations privées. Certain Juifs réformés le prononcent parfois, à titre éducatif uniquement, et avec grand respect.

Dans la prière, the tetragramme is replaced by “אֲדֹנָי” Adonaï, and in the conversation courante by Hashem.

Certain biblical passages, comme Rt 2:4, tendent tout de même à indiquer que, fut un temps où ce nom était d’usage courant. De même, le fait que beaucoup de noms hebraïques compportent une partie des lettres du Tétragramme, mais pas toutes, sauf «יְהוּדָה» Yehoudah (YHWDH), suggest que les gens connaissaient la verbalisation du Tétragramme, afin de pouvoir établir la connexion .

Dans Certaines traductions de la Bible, le Tetragramme est replaced by “le S EIGNEUR”.

On pense également que Sabbataï Tsevi recruta ses first pupils en leur «révélant» la verbalisation du Tétragramme.

La Loi juive, se basant sur une set talmudique (Pirke Avot 1:1), établit des «haies» autour de la Torah, c’est-à-dire des règles secondaires afin d’éloigner le risque de transgresser les règles primaires.

C’est pourquoi le terme Adonaï lui-même n’est employee qu’au cours de la prière. Lors des Conversations, on s’y référera comme HaShem[9], “Le Nom” (voir Lévitique 24:11) or Schem-hamephorash, “Le Nom dévoilé”.

Beaucoup de Juifs pratiquants poussent le scrupule à étendre cette interdiction à la plupart des noms listés ci-dessous, et Certains les assortissent d’un k (kel pour El, elokim pour Elohim, …) en dehors de l’usage religieux. Cet Usage est toutefois vivement critiqué par Certaines autorités rabbiniques, surtout sépharades, comme le Rav Messas zatsa’l, qui rapprochent ces kel de lekalkel (« détruire », en hebreu).

C’est dans le même esprit que beaucoup de Juifs préféreront écrire D.ieu, D-ieu, D’ieu ou D.eu que «Dieu» car, bien que cette traduction n’ait rien de sacré à première vue, elle se refer to Lui, and acquire a value par là meme. Là aussi, cette pratique n’est pas du goût de tout le monde, et le Rav Shlomo Ganzfried (ashkénaze), estime qu’aucun des noms de Dieu ne devrait être effacé, tronqué ou déformé, même en traduction. D’autres penseurs et philosophes considered qu’il est inutile de considered le substantif français Dieu comme un terme divin de près ou de loin étant donné que son étymologie provient du latin dies qui désigne le jour. Or, le jour ne peut être considered comme une divinité pour le Judaisme. This means donc le jour mais il désigne aussi l’ancien Zeus des Grecs, c’est donc une divinité païenne, si par respect, l’on écrit D… ainsi en pensant évoquer Le Maître du monde, c’est selon Ariane Kalfa, philosophe du judaïsme et psychanalyste, une grave erreur, car l’on respecte par là-même Zeus et Dies, au lieu de verser dans le monothéisme dont les juifs sont les premiers héritiers.

Hadavar (hébreu: הדבר‎), signifier “la parole” (le “verbe”) or “l’occurrence qu’on ne peut décrire”, est d’un use equivalent, surtout aux États-Unis.

Autres noms de Dieu (par ordre alphabétique) [ Modifier | modifier code ]

Adonaï (Hébreu: אֲדֹנָי‎), est la forme plurielle d’Adon, un terme qui signifie “mon maître”, Bien que pluriel, Adonaï se conjugue au singulier (voir aussi le pluriel Elohim). La forme singulière, Adoni «אֲדֹנִי» («mon maître»), n’est jamais utilisée dans la Bible pour se référer à Dieu. Elle était par contre en use chez les Phéniciens pour leur dieu Tammouz, et est à l’origine du nom grec d’Adonis. Les Juifs n’utilisent le singulier que pour se référer à une personne éminente ou, en hebreu modern, comme equivalent de monsieur. On peut y voir une évolution analogous to français, de monseigneur à monsieur.

Pour les critiques, Adonaï et d’autres noms pourraient être écrits au pluriel afin de mettre en exergue que ce Dieu “Un” englobe toutes les divinités qu’auraient adorées les ances des Israélites ainsi que les peuplades avoisinantes. C’est un raisonnement analogous to mais d’origine et à finalité différentes que tenait le rabbin Léon Ashkénasi lorsqu’il parlait de “Lui-les dieux”, Lui qui représente toutes les divinités que les hommes auraient pu Imaginer, mais dont les Israélites ne These are the days that are shown, for the dialogue of Abraham with Melchisédek.

The pronunciation du Tetragramme étant interdite depuis que le Temple de Jérusalem a été détruit, les Juifs s’dressent à Lui par Adonaï dans leurs prières, et dans la vie de tous les jours, HaShem (Le Nom). Lorsque les Massorètes ajoutèrent la ponctuation (nikkoud) au texte de la Bible hebraïque au Ier siècle, ils donnèrent au Tétragramme les voyelles d’Adonaï, afin de rappeler au lecteur qu’il faut le lire Adonaï (ce procédé est appelé keri-ketiv) . Les traducteurs sépharades de la Bible de Ferrare (en) vont encore plus loin, en substituant un simple A. à Adonaï.

Ehyeh Acher Ehyeh [ Modifier | modifier code ]

Ehyeh Acher Ehyeh (Hébreu: אֶֽהְיֶ֖ה אֲשֶׁ֣ר אֶֽהְיֶ֑ה): Telle est la réponse que fait dieu à moïse, lorsque celui-ci lui danacht quel est son nom, celui qu’il Devra Donner aux d’israël qui Narron in demand 3: 14).

Ehyeh est la première personne singulier de la forme imparfaite, also appelée la forme inaccomplie (à ne pas confondre avec la forme accomplie Haya, utilisée en hébreu modern pour rendre le passé et notamment l’imparfait). Ehyeh denote de la puissance Divine en cours de réalisation, dans le present et le futur immédiat, c’est-à-dire comme advenir.

Certaines autorités l’interprètent comme “Je Serai celui qui Sera (près de Son peuple)” or “Je Serai car Je Serai”, en se basant sur le verset voisin (Ex 3,12) “Je Serai [ehyeh] avec toi” , auquel ferait reference le second ehyeh.

D’autres pensent que cette phrase entière forme un seul nom. Le Targoum Onkelos et le Talmud (Baba Batra 73a) retranscrivent cette phrase sans la traduire. C’est sur cette base que la traduction la plus communément acceptée is “Je Suis qui Je Suis”. A frequent interpretation is also “J’adviens tel que J’adviens”, mais on pourrait tout aussi bien la traduire par “J’adviens tel que J’adviens”.

Le Tetragramme lui-même pourrait deriver de cette racine verbale.

Elohim (et Eloah) [ Modifier | modifier code ]

Detail article: Elohim

Elohim (Hebrew: אֱלֹהִים‎) is the name le plus couramment utilisé de Dieu dans la Bible hebraïque, et le premier à y apparaître (Gn 1:1). Contrairement aux autres noms mentioned in this article, il est also utilisé pour designer les divinités des autres religions (ex : Ex 9,1, Ex 12,12, Ex 20,3) .

En dépit du -im, terminaison habituelle de nombreux pluriels en hebreu, le mot Elohim, lorsqu’il se réfère au Dieu d’Israël, est grammaticalement singulier, le verbe qui le suit l’étant aussi. Les critiques y voient une preuve d’un polytheisme originel, ne manquant pas de souligner, par example, que le verset Gn 1,25 porte le pluriel, comme le verset Ex 20,2, qui parle des elohim des nations. Joël M. Hoffman suggests qu’אֱלֹהִים dérive d’אֵילִם, «elim» (dieux), avec un heh inséré à dessein.1

Toutefois, l’hébreu admet l’existence de mots exclusivement pluriels (de forme), comme Behemoth ou, en hebreu modern, be’alim (« propriétaire »), qui se conjuguent au singulier malgré leur apparence.

Pour les savants juifs et chrétiens, ce pluriel evident n’a jamais posé problem : à propos du fameux verset Gen. 1:25, un midrash rapporté par Rachi met en scene Moïse attirant l’attention de Dieu sur le fait que les adversaires du monothéisme pourraient entirer quelque argument. “Écris!, lui est-il répondu, ceux qui veulent errer erreront”.

Beaucoup y voient non pas un nom, mais un attribut (l’Elohim, le Tétragramme qui Est Elohim). Le Ramban rapporte une tradition expliquant Elohim comme El hem, “Puissance d’eux”, c’est-à-dire Puissance de tout et tous, sur tout et tous ou, simplement, le Tout-puissant.

Elohim, le Tetragrams Elohim). Le Ramban rapporte une tradition expliquant Elohim comme, “Puissance d’eux”, c’est-à-dire Puissance de tout et tous, sur tout et tous ou, simplement, le Tout-puissant. D’autres interpret le -im comme l’expression de la majesté (pluralis majestatis) or de l’excellence (pluralis excellentiae), marque de grandeur et de dignité. Cf. l’usage similaire du pluriel pour ba’al (maître) et adon (seigneur). Cette position traditionalnelle a été révisée par les exégètes chrétiens Modernes, qui considered cette interpretation comme fallacieuse: pour eux, l’usage du pluriel de majesté n’est venu que bien plus tard. Selon Richard Toporoski, une autorité en matière de classiques, il apparaît pour la première fois sous Diocletien (284-305 EC)² [source insuffisante]. Gesenius écrit dans sa Grammaire hebrïque ³ que :

« Les grammairiens Juifs appellent ces pluriels … plur. virium or virtutum; les grammairiens plus tardifs les nahmet plur. excellentiae, magnitudinis, or plur. maiestaticus.Ce nom a été suggéré par le Nous utilisé par les rois parlant d’eux-mêmes. (cf. 10:19 and 11:31); and le pluriel utilisé par Dieu in Gn 1,26 and 11,;7; 6.8 a également été correctement interpreted de la sorte. Il est pendant soit communicatif (incluant les anges présents, ce qui est le cas d’Isaïe 6:8 et Gen. 3:22), soit, selon d’autres, unedication de la plénitude de force et pouvoir implicite.

La meilleure explication est celle d’un pluriel d’auto-deliberation.

L’utilisation d’un pluriel comme mark de respect est assez étrangère à l’hébreu. »

Dans la perspective chrétienne, ce nom au pluriel mais toujours associé à un verbe au singulier, transcrit en mots humains la plénitude de Dieu, être unique composé de trois « personnes » ou hypostases : Dieu-le Père, Dieu-le Fils (Jésus) , Saint Dieu-l’Esprit. À noter que cette conception des trois personnes de la divinité se trouve présentée dès le troisième mot de la Bible «Berechit bara Elohim (…)» = litt: «En un beginning, Dieux créa (…)».

personnes de la divinité se trouve présentée dès le mot de la Bible «Berechit bara Elohim (…)» = suffered: «En un beginning, Dieux créa (…)». La forme plurielle -im peut également être include comme une dénotation d’abstraction, cf. en hébreu hayim («vie») ou betoulim («virginité», mais peut aussi se comprendre comme signes de virginité). Dans ce sens, Elohim means “Divinité” or “Déité”. Le mot hayim est assez similairement, syntaxiquement singulier lorsqu’il est utilisé comme nom, mais pluriel sinon.

La forme Eloah (אֱלוֹהַּ), qui peut sembler être la forme singulière d’Elohim) est beaucoup plus rare, utilisée dans des œuvres poétiques and prosaïques beaucoup plus tardives (41 occurrences in the Livre de Job).

Le terme Eloah est used in six endroits pour designer des divinités étrangères (ex: 32,15 et Da 11,37-38) . Il y designe une divinité locale.

C’est sur cette base que Certains pensent qu’Eloah est la forme non pas singulière, mais particulière d'”Elohim” : on peut dire de Lui qu’Il fut l’Eloah d’Abraham, l’Eloah d’Isaac, l’Eloah de Jacob à une époque où ils étaient les seuls à le penser, mais dès l’instant où une communauté comprend l’idée de Son existence, le terme d’Eloah devient impropre, car « si mon Dieu est effetivation mon Dieu , Il ne pourrait être le Dieu de quelqu’un d’autre ».

On retrouve l’equivalent d’Eloah en Arabe (Ilah, singulier – « un dieu », opposé à Allah – « le Dieu ») et en Araméen (Elaha).

La racine d’Elohim et Eloah est inconnue.

Selon les Sages juifs (cf. above), ils dérivent de El, “puissance”, ce qui expliquerait son emploi dans Ex 21.6 pour designer des “juges et hommes puissants”, et l’obscur chapter 6 de Genese, où il est question de “fils d’Elohim” : anges ou simples fils de puissants ?

Une autre hypothèse les fait provenir d’un verbe evidenté à l’arabe alih (être égaré, effrayé, chercher refuge against the Peur) — Eloah et Elohim signifieraient as “Lui qui inspire la crainte et la révérence” or “Lui en Qui l’on trouve refuge contre la peur ».

1Hoffman Joel M., 2004. In the Beginning: A Brief History of the Hebrew Language NYU Press.

²R. Traduction à partir de Toporoski, “What was the origin of the royal ‘we’ and why is it no longer used?” », (Times of London, 29 May 2002. Ed. F1, p. 32)

³ Traduction à partir de Gesenius’ Hebrew Grammar (A.E. Cowley, ed., Oxford, 1976, p. 398)

Detail article: Elyôn

Le nom `Elyôn (Hebreu: עֶלְיוֹן‎) est utilized avec El, YHWH ou Elohim, rarement seul ( 14:14). It is also used in the passages poetic data of the final composition of the Bible. Le terme est encore utilisé en Hébreu modern, et signifie «suprême», cf. «cour suprême».

Étymologiquement, le terme provient de עַל, « sur », « au-dessus de » — עֶלְיוֹן en est la forme superlative, le très-haut, le plus-haut.

Les Phéniciens used un nom assez similaire pour Dieu, rendu en grec par Έλιον. Il est également evidenté à l’arabe `Aliyy.

Maqom – littéralement, “le Lieu”, cf. “Le monde est Son lieu” – l’Omniprésent. Concept used in term of Tzimtzoum.

El Shaddai, also spelled El Shadday, is a traditional lore in Dieu Tout-Puissant. Le nom Shaddaï (Hébreu: שַׁדַּי‎), qui apparaît aussi bien en combinaison avec “El” qu’indépendamment de lui, est utilisé comme nom divin, particulièrement dans le Livre de Job.

The nombreuses hypotheses are not proposed for expliquer l’origine de ce mot.

Detail article: Shalom

On traduit généralement Shalom par paix (Hébreu: שלום). Bien que juste, le terme choisi est un peu limitatif. En realité, ce mot, evidenté à shalem (שלם, plein), representing l’état atteint dans la plenitude, tel que rapporté par Isaïe: « Il forme la lumière, crée la tenèbre, et fait la shalom ». Il concilie les extremes et les opposés, qui vivent en bonne entente de son fait.

C’est le Talmud (Shab. 10b) qui dit que «le nom de Dieu est ‘Shalom’», en se basant sur 6,23. En conséquence, il est interdit, pour cause d’inconvenance, de saluer quelqu’un par shalom (qui est utilisé pour dire “bonjour” ou “au revoir”, en hebreu modern day comme en hebreu biblique) en des lieux impurs, comme une hall de bain ou des latrines.

Si Shalom n’est pastellement répandu comme prénom, il n’en va pas de même de Sh’lomo (שלמה, Solomon), littéralement Sa paix, faisant référence au Dieu de Shalom.

Detail article: Shekhina

La Shekhinah (Hebrew: שכינה‎, «La Présente», «La Résidente») is the presence or manifestation of the Dieu descendue au sein de l’humanité. Ce terme, qui n’apparaît pas dans le Tanakh, fut utilisé par les rabbanim pour parler de la presence de Dieu ressentie dans le Tabernacle oder au sein du peuple d’Israël.

Des noms principaux de Dieu, c’est le seul qui soit feminine dans la grammaire Hebraïque.

Detail article: Yes

Le nom Yah (YH) is the composition of the two premieres of Lettres du Tétragramme. Selon Certains, il s’agit d’une abréviation, selon d’autres d’une forme primitive du Tétragramme. C’est en tout cas ce nom qui est employee dans Alléluia (Hallelou Yah, Rendez louange à Yah).

Les religions rastafari et African Hebrew Israelites of Jerusalem, deux religions nationalistes noires originaires du continent américain, utilisent toutes deux le terms pour designer Dieu, la première sous la grafie latine Jah, la seconde sous la grafie Yah.

Les noms YHWH et Elohim s’accompagnent fréquemment du mot tzevaot (« armées », Hébreu: צבאות‎) : YHWH Elohei Tzevaot (« YHWH, Dieu des armées »), Elohei Tzevaot (« Dieu des armées »), Adonaï YHWH Tzevaot (« Seigneur YHWH des armées ») ou, le plus souvent mais improprement[10], YHWH Tzevaot (« YHVH des armées »). La transliteration habitual est Sabaoth en latin, Cébaoth en français.

Ce nom qui peut être rapproché du dieu Reshep (il se retrouve dans la littérature ougaritique dans l’expression ršp ṣb’i « Reshep, l’armée »[11]) n’apparaît pas dans la Torah, ni dans Josué, ni dans Juges, mais il est souvent utilisé dans les livres prophecies.

Le sens premier de tzevaot se trouve dans 17.45, or it is interpreted as “le Dieu des armées d’Israël”. Le mot tzevaot isolé signifie toujours « armées » ou « groups » [d’hommes armés] ( voir Ex 6,26, Ex 7,4, Ex 12,41 ), alors que le singulier désigne souvent lamultiple céleste (ou terrestre) , cf. Gen 2:4 : ‘les cieux et la terre, et toutes leurs armées/multitudes. C’est donc au sens second qu’El Tzevaot a désigné Dieu comme le Maître des armées célestes (les anges), etc.

La transliteration latine Sabaoth, ainsi que les grandsmotives dorés de vigne sur les portes du temple constructed by Herode, induisit les Romains à identifier Sabaoth avec le dieu du vin Sabazios.

On retrouve également le nom Sabaoth associé à un demi-dieu dans les textes gnostiques de Bibliothèque de Nag Hammadi – Sabaoth le fils de Yaltabaoth.

Ces deux Identifications, portant sur Sabaoth et non Tzevaot sont doncaccinelles et sans rapport avec ce nom.

Other names, formulas or denominations of Dieu [ modifier | modifier code ]

Il s’agit soit d’usages moins frequents, soit de noms little mentioned dans la Torah, soit encore de metonymies.

Abir—Mighty.

– Powerful. Adon Olam, Ribon Olam or Ribbono shel Olam – Maître du monde.

, ou – Maître du monde. Aibishter (du Yiddish אײבערשטער) – Le Plus Haut.

(du Yiddish אײבערשטער) — Le Plus Haut. Boreh – [le] Créateur.

— [le] Créateur. Avinou Malkeinou — Notre Pere notre Roi.

— Notre Pere notre Roi. Melekh ha-Melakhim – Le Roi des rois.

— Le Roi des Rois. Ehiyeh ch’Ehiyeh — Je Suis ce que Je Suis: une forme hebraïque modern de Ehyeh acher Ehyeh.

— Je Suis ce que Je Suis : une forme hebraïque modern de . Elohei Avraham , Elohei Yitzchak ve Elohei Ya’aqov – Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob.

, — Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob. Magen Avraham — Protecteur d’Abraham.

— Protecteur d’Abraham. El haGuibor — Dieu le Puissant.

— Dieu le Puissant. Emet—Verite.

— Verite. E’in Sof — Infini, plutôt utilisé par la Kabbale.

— Infini, plutôt utilisé par la Kabbale. Ro’è Israel — Berger d’Israël. cf. * YHWH-Ra-ah – Le Seigneur mon Berger (Psaumes 23:1)

— Berger d’Israël. HaKaddosh, Baroukh Hou – Le Saint, beni soit-Il.

— Le Saint, beni soit-Il. Kaddosh Israel – Saint d’Israël.

— Saint d’Israël. YHWH-Yireh—Dieu pourvoira (Genesis 22:13, 14).

— Dieu pourvoira (Genesis 22:13, 14). YHWH-Rapha—Dieu guérisseur (Exodus 15:26).

— Dieu guérisseur (Exodus 15:26). YHWH-Niss’i – Dieu ma/notre bannière (Exodus 17:8-15).

— Dieu ma/notre bannière (Exode 17:8-15). YHWH-Shalom – Dieu [est] Paix (Juges 6:24).

— Dieu [est] Paix (Juges 6:24). YHWH-Tsidkenou – Seigneur-notre Justice (Jérémie 23:6).

— Seigneur-notre Justice (Jérémie 23:6). YHWH-Shama – Dieu [Est] là (Ezekiel 48:35).

— Dieu [Est] là (Ezekiel 48:35). Tzour Israel — Roc d’Israël.

Les wonders des noms divins [ Modifier | modifier code ]

Il est écrit dans la Haggadah (le livre traditionnellement lu à Pessa’h) que les noms divins pouvaient être utilisés pour faire des wonders, si l’on connaît la combinaison[12].

Usage dans la Kabbale [ Modifier | modifier code ]

Le système cosmologique de la Kabbale explains the meaning and importance of the name. L’un des plus importants est celui de Ein Sof אין סוף (“Sans fin”), qui est au-dessus des Sefirot.

Le nom à 42 letters comporte les noms combinés de יהוה ,אדוני ,הויה et אהיה.

Le nom à 45 letters a une valeur équivalente au tetragrams dont la valeur numérique est de 45 (יו”ד ה”א ו”ו ה”א).

Le nom à 72 letters est basé sur trois versets d’Exode (Ex 14:19-21), which begins with «Vayissa», «Vayavo», «Vayet», respectively. Chacun de ces versets comporte 72 lettres, et lorsqu’ils sont combinés, ils forment 72 noms.

Le Sefer Yetzira explains how the creation of the world is fut réalisée par manipulation des quatre lettres formant le Tétragramme[13].

Lois sur l’écriture des noms divins [ Modifier | modifier code ]

Selon la tradition juive, le caractère sacré des noms divins doit être reconnu par le sofer, le scribe professionnel qui retranscrit les Écritures et les fragments insérés dans les tefillin et les mezouzot. Avant d’écrire l’un des noms, il se prepare mentalement à les sanctifier. Une fois la transcription commencée, il ne s’interrompt pas, même pour saluer un roi. S’il comet une erreur, il ne peut effacer le nom, mais doit l’entourer d’une ligne signifiant que le travail est annulé, et placer la page entière dans une gueniza (endroit où l’on place les texts sacrés devenus p ‘soulim, impropres à l’usage). A new page is commencée.

La tradition des sept noms divins [ Modifier | modifier code ]

Tous les noms ne necessitent pas ces soins. Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.

Cependant, Rabbi Yosse considérait Tzevaot comme un nom commun (Soferim 4:1; Yer. R.H. 1:1; Av. R.N. 34), et Rabbi Ishmaël estimait que même Elohim était un nom commun (Sanh. 66a).

Tous les autres noms, comme Miséricordieux, Gracieux, etc. represent the seulement of the attribute, également communs aux êtres humains (Sheb. 35a).

Beaucoup de Juifs n’écrivent jamais le nom de Dieu sur papier (sur ordinateur, c’est plus ou moins autorisé, voir les responses de rabbins à ce sujet), ni ne le prononcent, afin d’éviter de le profaner. Ils disent “Hashem”, “Lui”, or simply “Dieu”. En Israël, Elohim, dont « Dieu » est la traduction consacrée, se prononce informellement, mais en diaspora, le terme Dieu existant, on préfère prononcer Elokim si on ne prie pas.

Notes and references [ modifier | modifier code ]

Qu’est-ce que le travail dans la Bible ?

Le travail est le mode de vie sur terre depuis qu‘Adam et Ève ont quitté le jardin d’Éden. Le Seigneur a dit à Adam : « C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain » (Genèse 3:19). Adam et Ève ont travaillé aux champs afin de subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs enfants (voir Moïse 5:1).

Compte les bienfaits de Dieu

Image Joseph Smith period, 1820-1844

Le travail est un principe éternel Quelles expériences vous ont montré l’importance du travail ? Notre Père Céleste et Jésus-Christ nous ont montré par leur exemple et par leurs enseignements que le travail est important dans les cieux et sur la terre. Dieu a travaille pour créer les cieux et la terre. Il a rassemblé les eaux en un endroit et a fait apparaître la terre sèche. Il a fait pousser sur la terre l’herbe, les plants et les arbres. Il a créé le soleil, la lune et les étoiles. Il a créé tous les êtres vivants dans la mer ou sur la terre. Puis il a place Adam et Ève sur la terre pour qu’ils en prennent soin et dominant sur all les autres êtres vivants. (Voir Genesis 1:1-28.) Jésus a dit : « Mon Père agit jusqu’à présent ; moi aussi, j’agis » (Jean 5:17). Il a ajouté: “Il faut que je fasse… les oeuvres de celui qui m’a envoyé” (Jean 9:4). Pour les instructeurs : Essayez d’aider tous les élèves ou les membres de la famille à participer à la leçon. Chacun peut aider en mettant les chaises, en faisant la prière d’ouverture ou de clôture, en écrivant au tableau, en lisant les Écritures à voix haute, en répondant aux questions, en rendant témoignage ou en résumant la leçon.

Il nous est commandé de travailler Le travail est le mode de vie sur terre depuis qu’Adam et Ève ont quitté le jardin d’Éden. Le Seigneur a dit à Adam: “C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain” (Gen 3:19). Adam et Ève ont travaillé aux champs afin de subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs enfants (voir Moses 5:1). Le Seigneur a dit au peuple d’Israël: “Tu travailleras six jours” (Exodus 20:9). Au début du rétablissement de l’Église, le Seigneur a dit aux saints des derniers jours: “Or, les habitants de Sion ne me sont pas agréables, à moi, le Seigneur, car il y a des paresseux parmi eux” (D&A 68: 31). Un prophète de Dieu a dit: “Le travail doit être remis à l’honneur comme principe directeur de la vie des membres de notre Église” (voir Heber J. Grant, Enseignements des présidents de l’Église, Heber J. Grant, 2002 , p. 120).

The responsabilité familiale Quellen sont les responsabilités des pères, des mères et des enfantsconcernant la tenue du foyer ? Que peuvent faire les membres de la famille pour se partager le travail? Les Eltern travaillent ensemble pour assurancer le bien-être physique, spirituel et émotionnel de leurs enfants. Ils ne doivent jamais Attendre que quelqu’un se charge de cette responsabilité à leur place. L’apôtre Paul a écrit: “Si quelqu’un n’a pas soin des siens, et principalement de ceux de sa famille, il a renié la foi” (1 Timothy 5:8). Les couples doivent researcher l’inspiration du Seigneur et suivre les recommendations des prophètes lorsqu’ils fixent les responsabilités de chacun. Édifier un foyer où les principes de l’Évangile sont enseignés quotidiennement et où règnent l’amour et l’ordre est also important que de subvenir aux besoins fondamentaux en nourriture et en vêtements. Les enfants doivent faire leur part du travail de la famille. Il est necessaire que les enfants reçoivent des tâches adaptées à leurs capacités. Ils ont besoin d’être Complimentés pour leurs réussites. Les bonnes attitudes, habititudes et compétences de travail s’acquièrent par des expériences réussies au foyer. • Les gens rencontrent parfois des difficés dans leurs efforts pour subvenir aux besoins de leur famille. Une maladie chronique, le décès du conjoint ou la charge d’un parent âgé peuvent ajouter aux responsabilités du foyer. Notre Père celeste se souvient des familles qui se trouvent dans ces situations et leur donne la force de s’acquitter de leurs devoirs. Il les benit toujours si elles le lui demandent avec foi.

Nous pouvons aimer notre travail Comment notre état d’esprit impact-t-il notre travail ? Certaines personnes consider le travail comme une corvée. Pour d’autres, c’est an aspect passionnant de la vie. L’une des manières de profiter pleinement de la vie est d’apprendre à aimer le travail. Nous ne pouvons pas tous choisir le genre de travail que nous faisons. Certains d’entre nous travaillent de longues heures pour subvenir aux besoins élémentaires. Il est difficile d’aimer ce genre de travail. Cependant, les gens les plus heureux ont appris à aimer leur travail, quel qu’il soit. Nous pouvons nous aider mutuellement dans notre travail. Le fardeau le plus lourd s’allège quand quelqu’un d’autre en porte une partie. Notre façon de considerer le travail est très importante. L’histoire suivante montre un homme qui voyait au-delà de ses tâches quotidiennes. A voyageur est passé devant une careere et a vu trois hommes au travail. Il a demandé à chacun ce qu’il faisait. The answer to the question of the man is revealed and the difference between the spirit and the spirit is different. Le premier a répondu: “Je taille les pierres. » Le deuxième a répliqué : « Je gagne trois pièces d’or par jour. » Le troisième a souri et a dit : « J’aide à construct une maison de Dieu. » Nous pouvons serve Dieu dans all travail honnête. Le roi Benjamin, prophète nephite, a dit: “Lorsque vous êtes au service de vos semblables, vous êtes simplement au service de votre Dieu” (Mosiah 2:17). Si notre travail ne permet que de subvenir aux besoins élémentaires de notre famille et de nous-mêmes, nous aidons quand meme une partie des enfants de Dieu. Comment pouvons-nous améliorer notre état d’espritconcernant le travail ?

Dieu condamne l’oisiveté Le Seigneur n’est pas satisfait des paresseux ou des oisifs. Il a dit: “Le paresseux n’aura pas de place dans l’Église, à moins qu’il ne se repente et ne s’amende” (D&A 75:29). Il a aussi commandé: “Tu ne seras pas paresseux, car le paresseux ne mangera pas le pain et ne portera pas les vêtements du travailleur” (D&A 42:42). Depuis les premier jours de l’Église, les prophètes ont enseigné aux saints des derniers jours à être indépendants, à subvenir à leurs propres besoins et à éviter l’oisiveté. Les vrais saints des derniers jours ne feront pas volontairement porter à quelqu’un d’autre la charge de subvenir à leurs besoins. Tant qu’ils en seront Capabilities, ils pourvoiront à leurs besoins vitaux et à ceux de leur famille. Autant que possible, tous les membres de l’Église doivent accepter la responsabilité de prendre soin des membres de leur famille qui ne sont pas en mesure de subvenir à leurs besoins. Quels effets l’oisiveté a-t-elle sur une personne, une famille ou une collectivité?

Le travail, les loisirs et le repos Pourquoi est-il important de garder un equilibre between le travail, les loisirs et le repos ? Chacun de nous doit trouver le bon equilibre entre le travail, les loisirs et le repos. Comme le dit un vieux dicton: “Il n’y a rien de plus fatiguant que de ne rien faire car on ne peut jamais s’arrêter pour se reposer. » Sans le travail, le repos et la détente n’ont aucun sens. Non seulement il est agréable et necessaire de se reposer, mais il nous est commandé de nous reposer le jour du sabbat (voir Exode 20:10 ; D&A 59:9-12). Ce jour de repos, après six jours de travail, nous redonne de l’energie pour les jours qui suivent. Le Seigneur promet également la “plénitude de la terre” aux personnes qui respectent le jour du sabbat (voir D&A 59:16-20; voir aussi le chapter 24 de ce livre). Les other jours de la semaine, en plus de travailler, nous pouvons passer du temps à cultiver nos talents, nous adonner à nos loisirs préférés, nous distraire ou faire d’autres activités qui nous détendent. Que pouvons-nous faire pour garder un bon équilibre between le travail, les loisirs et le repos? Comment les parent peuvent-ils aider leurs enfants à garder cet équilibre ?

Quels sont les bienfaits du travail ?

Outre le fait que le travail fournit un revenu et permet de subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille, il donne la possibilité de s’accomplir, procure le sentiment d’être utile, contribue à la valorisation et favorise le développement de l’estime de soi.

Compte les bienfaits de Dieu

Le travail a ses vertus

Le sujet de cette chronique a été suggested par un ami producteur qui souhaitait en apprendre plus sur les bienfaits du travail.

Nous avons d’abord cru qu’il tentait de justifier le fait qu’il travaille toujours, même sur son lit d’hôpital après une operation, au risque d’avoir des complications. Mais nous avons dû reconnaître qu’il est vrai que le travail est benéfique.

La preuve, c’est que les persons qui travaillent sont généralement en meilleure santé psychologique que celles qui n’exercent aucune activité professionnelle. Pourquoi? Outre le fait que le travail fournit un revenue et permet de subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille, il donne la possibilité de s’accomplir, procure le sentiment d’être utile, contribute à la valorisation et favorise le développement de l ‘estime de soi.

Le travail nous donne aussi l’opportunité de nous construire une identité et de nous identifier à d’autres personnes qui pratiquent les memes fonctions. Il nous occupe l’esprit et permet de ne pas penser à nos problèmes. Certains d’entre vous diront que l’on there vraiment bien après une great journée de travail.

Par contre, lorsqu’il devient une dependance, le travail peut conduire à l’épuisement professionnel et à l’isolement. Même si le “gros” travailleur a souvent été fortement valorisé en Agriculture, l’excès de travail peut être très dommageable, surtout s’il n’entraîne aucune reconnaissance. Plusieurs exprimment leur fierté de ne pas s’accorder de temps d’arrêt, même malades ou après avoir subi unaccident.

Il n’y a pas que le travail dans la vie. Mettre tous ses oeufs dans le meme panier peut endanger des risques. Il faut de l’équilibre pour récupérer des force, entretir sa machine corporelle. Vous ne devez pas Attendre que votre corps soit trop use avant de penser à en prendre soin. Vous connaissez sûrement des agriculteurs qui ont grandement souffert de la détérioration de leur santé et de la diminution de leur condition physique. Pour reprendre and the slogan connu, « la moderation a bien meilleur goût ».

Q Est-ce que vous savez Comment on apprend à dire non? Je me fais souvent manger la laine sur le dos.

R Lorsque nous avons de la Difficulty à nous affirmer et qu’une autre personne ne veut jamais nous écouter ou tenir compte de nos arguments, une bonne technique à mettre en pratique est celle du «disque rayé». L’appellation fait reference aux vieux disques en vinyle qui “sautaient” et répétaient toujours la même sequence. Nous devons donc simplement répéter nos propos, autant de fois que necessaire, et sous different forms. Par example, vous pouvez dire: “J’ai bien compris ce que tu as dit, mais c’est non. » On répète avec calme jusqu’à ce que l’autre entende vraiment notre point de vue et nos besoins. La semaine prochaine, nous vous presenterons une mise en situation illustrant encore plus clairement cette technique du “disque rayé”.

Quel sont les 10 commandements de la Bible ?

Livre de l’Exode
20.2 Je suis l’Éternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison de servitude.
20.13 Tu ne tueras point.
20.14 Tu ne commettras point d’adultère.
20.15 Tu ne déroberas point.
20.16 Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain.

Compte les bienfaits de Dieu

Le décalogue (en Hébreu: הַדִּבְּרוֹת הַדִּבְּרוֹת, ASSERETH HA-DIBROTH; en arabe: الوصايا العشر, alwasāyā al’ashr; en Latin: Decalogus; en Grec Ancien: δεκάλογος / decálogos; en russe: декалог, decalog; en turc: on emir ) — les Dix Paroles pour le Judaisme, traduit par les Dix Commandements pour le christianisme — est un court ensemble écrit d’instructions morales et religieuses reçues, selon les traditiones bibliques, de Dieu par Moïse au mont Sinaï.

Dans la Torah, il est écrit que la Transmission de ces Instructions Morales sous la Forme de Tables Gravées Provient “du doigt de Dieu”. La Bible parle de « dix paroles » (Ex 34:28 ; Dt 4:13), ce que la version des Septante rend par le mot δεκάλογος / dekálogos, d’où le terme français de « Décalogue ».

Les deux énoncés du Décalog [ Modifier | modifier code ]

These instructions are given separately in the Pentateuque (la Torah): in the Livre de l’Exode (Ex 20:2-17), and in the Deutéronome (Dt 5:6-21). The differences mineures exist between the two texts.

Le texte de l’Exode est, selon la traduction de Louis Segond, le suivant (Ex 20,2-17) :

20.2 Je suis l’Eternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Egypte, de la maison de servitude. 20.3 Tu n’auras pas d’autres dieux face à moi. 20.4 Tu ne te feras point d’image taillée, ni de representation quelconque des chooses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. 20.5 Tu ne te prosterneras pas devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punit l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième generation de ceux qui me haïssent 20.6 et qui fais miséricorde jusqu’en mille generations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commands. 20.7 Tu n’invoqueras point le nom de l’Éternel, ton Dieu, en vain ; car l’Éternel ne laissera point impuni celui qui invoque son nom en vain. 20.8 Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. 20.9 Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. 20.10 May le septième jour est le jour du repos de l’Éternel, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta server, ni ton bétail, ni l’ étranger qui est dans tes portes. 20.11 Car en six jours l’Éternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est content, et il s’est reposé le septième jour : C’est pourquoi l’Éternel a béni le jour du repos et l’a sanctifié. 20.12 Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent dans le pays que l’Éternel, ton Dieu, te donne. 20.13 Tu ne tueras point. 20.14 Tu ne commettras point d’adultère. 20.15 Di ne déroberas point. 20.16 Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain. 20.17 Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain ; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa serviteur, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chooses qui appartienne à ton prochain.

Le second énoncé, en Dt 5:6-21, est presque identique. A difference bien connueconcern le commandement sur le Chabbat. Dans l’Exode, il est écrit “souviens-toi (zakhor) du jour du Chabbat” et dans le Deutéronome “watch”, ou “garde” (chamor) le jour du chabbat”. La tradition, rappelée à chaque entrée de chabbat[N 1], à l’office du vendredi soir, dans le Lekha Dodi, veut que les deux mots aient été prononcés en même temps.

Sept commandements sur dix begins par la negation «lo», ne pas. Seuls les premier (Je suis l’Éternel), quatrième (Souviens-toi du sabbat) et cinquième (Honore ton père et ta mère) are positive.

Le texte du Deutéronome est, selon la traduction de Louis Segond, le suivant (Dt 5,6-21) :

5.6 Je suis l’Éternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison de servitude. 5.7 Tu n’auras point d’autres dieux devant ma face. 5.8 Tu ne te feras point d’image taillée, de representation quelconque des chooses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. 5.9 Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et à la quatrième generation de ceux qui me haïssent, 5.10 et qui fais miséricorde jusqu’en Mille Generations à Ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements. 5.11 Tu ne prendras point le nom de l’Éternel, ton Dieu, en vain ; car l’Éternel ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain. 5.12 Note le jour du repos, pour le sanctifier, comme l’Éternel, ton Dieu, te l’a ordonné. 5.13 Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. 5.14 Mai le septième jour est le jour du repos de l’Éternel, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta server, ni ton bœuf, ni ton âne , ni aucune de tes bêtes, ni l’étranger qui est dans tes portes, afin que ton serviteur et ta servede se reposent comme toi. 5.15 Tu te souviendras que tu as été esclave au pays d’Égypte, et que l’Éternel, ton Dieu, t’en a fait sortir à main forte et à bras étendu : c’est pourquoi l’Éternel, ton Dieu, t ‘a ordonné d’observer le jour du repos. 5.16 Honore ton père et ta mère, comme l’Éternel, ton Dieu, te l’a ordonné, afin que tes jours se prolongent et que tu sois heureux dans le pays que l’Éternel, ton Dieu, te donne. 5.17 Tu ne tueras point. 5.18 Tu ne commettras point d’adultère. 5.19 Tu ne déroberas point. 5.20 Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain. 5.21 Tu ne convoiteras point la femme de ton prochain ; tu ne désireras point la maison de ton prochain, ni son champ, ni son serviteur, ni sa served, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chooses qui appartienne à ton prochain.

La version des Samaritains [ modifier | modifier code ]

Les dix commandements de la Torah samaritaine intègrent en dixième commandement le respect du mont Garizim comme center du culte[1].

Les deux versions of the dix Commandements exist in le Tanakh Hebraïque (celle du Livre de l’Exode et celle du Deutéronome) ont été uniformisées[1].

Afin de conserver le nombre des commandements (dix), le 1er commandement juif (« Je suis l’Éternel (Ado-nāï), ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison de servitude ») est considered is a simple presentation, le premier commandement samaritain étant donc le second commandement juif: “Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face”. Pour les Samaritains, «les sages juifs ont fait de la presentation un commandement pour maintenir le nombre de ceux-ci à dix (le nombre de commandements est mention dans l’Exode, 34.28), après qu’ils ont corrigé leur version en en retirant le dixième »[2] relatif au mont Gerizim.

À la fin du Ier siècle, dans les Antiquités Judaïques, Flavius ​​​​Joseph Resume ainsi les Dix Paroles[3] :

Tous tendendent une voix locations d’en haut, elle leur parvient à tous, de manière qu’ils ne perdent aucune de ces dix paroles que Moïse a laissées écrites sur les deux tables. Ces paroles, il ne nous est plus permis de les dire explicitement, en toutes lettres, mais nous en indquerons read sens.

La première parole nous enseigne que Dieu est Un, qu’il ne faut vénérer que lui seul. La deuxième nous commande de ne faire aucune image d’animal pour l’adorer, la troisième de ne pas invoquer Dieu en vain, la quatrième d’observer chaque septième jour en nous abstenant de tout travail, la cinquième d’honorer nos parents, la sixieme de nous garder du meurtre, la septieme de ne point commettre d’adultère, la huitième de ne point voler, la neuvième de ne pas rendre de faux témoignages, la dixième de ne rien convoiter qui appartienne à autrui.

Dans the habitual representation of the Tables de la Loi des synagogues, les cinq first commands sont en général presentés de haut en bas sur la table de droite, les commands 6 to 10 sur celle de gauche. On les symbolize souvent par leurs deux premiers mots hébreux, en observant que les commandements 6, 7 and 8 n’ont que deux mots.

Lecture des Dix Paroles [ Modifier | modifier code ]

Les Dix Paroles étant deux fois écrites dans la Torah, elles appartiennent à deux section hebdomadaires (parachioth) distinctes, Yitro et Va’et’hanan, et sont donc lues à l’office synagogal lorsque viennent les semaines de presentation de ces deux parachioth[ 4]. Elles sont also énoncées lors de l’office de Chavouoth[4], fete qui celebre depuis les rabbiniques le don de la Torah sur le mont Sinaï. Une controverse a parfois été soulevée quant à savoir si les fidèles doivent se lever ou non durant la presentation des Dix Paroles[4] Cela pourrait signifier que les fidèles coincidentally a plus great meaning à ces Dix Paroles qu’au reste de la Torah. Also, souvent est-ce le rabbin et non le hazan ni un fidèle qui lit les Dix Paroles. Ainsi, l’assemblée se lève en signe de respect pour le rabbin et non pour montrer la supériorité des Dix Paroles sur le reste de la Torah[5].

De meme, il est attesté que dans les temps pré-talmudiques, l’usage était d’énoncer quotidiennement les Dix Paroles dans la prière quotidienne. Toutefois, cet Usage a été interdit de peur que des hérétiques disent que seules ces Dix Paroles (et non la Torah tout entière) ont été données à Moïse[6].

Même s’il reste des incertitudes sur le rôle que les Dix Commandements ont joué dans le Christianisme primitif, il semble qu’ils étaient récités au cours de Certains office et utilisés dans l’instruction religieuse car ils étaient considérés comme un résumé de la Loi de Dieu[7].

Detail article: Doctrine catholique sur le Décalog

Moïse Tenant les Tables de la Loi, par, par José Ribera (1638).

Le Catéchisme de l’Église catholique[8] reprend la tradition de l’Ancien Testament en enseignant tout aussi bien la version de l’Exode, 20, 2-17 que celle issue du Deutéronome, 5, 6-21. Seuls les troisième, quatrième et dixième commands different legèrement sur la forme mais implicit precisionement la meme choose.

Les Dix Commandements font partie des règles qui n’ont pas change with the Avènement de la Nouvelle Alliance apportée par le Christ. Le quatrième commandement fait l’objet de précisions car mal mis en pratique (Matthew 12:8, Colossians 2:16, Mark 2:27 et 28).

L’Église catholique souligne que le Décalog “se comprend d’abord dans le contexte de l’Exode qui est le grand événement libérateur de Dieu au center de l’Ancienne Alliance[9]”. Ces “dix paroles” permettent aux hommes de construire une vie libérée de l’esclavage, selon le précepte fondamental de l’amour de Dieu et du prochain[9]. Le Décalogue (la Loi) definitely une éthique parallel aux Béatitudes du Sermon sur la montagne (la promesse), ces deux enseignements étant complémentaires l’un de l’autre, et non pas opposés[9].

Le théologien et exégète Paul Beauchamp notes que le Décalogue accorde a great importance aux commandements négatifs, puis ajoute : « Mais tout change si l’on comprend que dire ce qu’il faut faire emprisonne plus que dire ce qu’il ne faut pas faire . En lisant le Décalog, on entend ce que Dieu interdit. Mais l’autre face, correlative de la première, c’est le fait que Dieu n’oblige pas. Que ne pas faire? Ces powers qui s’appellent meurtre, adultère, vol, faux témoignage. Par elles, tu prives autrui et te prives toi-même de liberté […]. Les interdits du Décalogue font le vide devant un espace où Dieu ne demande rien. Il ne demande meme pas d’être adoré. Et pourtant, l’espace qui s’ouvre ainsi est un espace d’adoration, un appel silencieux vers le don de soi à Dieu[10]. »

Les protestants correspond to a great importance aux dix commandements, considérant d’une part qu’ils occupent a place centrale dans l’Ancien Testament et d’autre part que Jésus s’est abondamment appuyé sur eux, les commentant et les actualisant, notamment dans Son Sermon sur la Montagne (Evangile selon Saint Matthieu, chapter 5, évangile selon Saint Marc, chapter 10). Les protestants regroupent en deux sous-ensembles les dix commandements, les quatre firsts étant relatives à notre relation à Dieu, et les six suivants s’interessant à notre relation au prochain[11].

Logiquement, les catéchismes protestants inspirés par la Réforme protestante commentent et expliquent les dix commandements, qu’ils considered comme des éléments fondamentaux de la foi chrétienne ; c’est le cas des catéchismes rédigés par Luther (notamment le Petit Catéchisme, 1529) or Calvin (« le catéchisme de Genève »[12], 1541), or par d’autres comme le Catéchisme de Heidelberg (1563)[13] .

Les protestants s’appuient exclusivement sur les traductions des textes de l’Exode et du Deuteronome precisionement comme les catholiques.

Les archéologues Israel Finkelstein et Neil Asher Silberman soutiennent que “la Composition étonnante s’assembla… au septième siècle avant notre ère”[14]. Une date plus tardive (après 586 avant notre ère) is suggested by David H. Aaron[15].

Paul Beauchamp, D’une montagne à l’autre: La Loi de Dieu, Seuil, 1999 (ISBN 2020366878)

, Seuil, 1999 Rabbin AvroHom Chaim Feuer, הַדִּבְּרוֹת הַדִּבְּרוֹת, ASSERETH HADIBBEROTH, LES DIX Commandements, Traduction et commentaires Fondés Sur Les Sources Talmudiques, Midrachiques et Rabbiniques, Intr. Rabbin Nosson Sherman, Ed. Colbo, 2003 (ISBN 2-8532-075 -8th)

Quel est le nom de célébrer ?

Louer, vanter, faire l’éloge de.

Compte les bienfaits de Dieu

“Pour celebrer la mémoire de tous les écrivains passés je suggest un siècle de silence.” Paul Claudel

“Cato n’estoit jamais chiche de celebrer et prescher les louanges…” Jacques Amyot

“Il fit celebrer des jeux de toutes sortes, et des somptueux sacrifices aux dieux.” Jacques Amyot

“L’héroïsme, c’est encore la meilleure façon devenir celebre quand on n’a pas de talent.” Pierre Desproges

“Je suis aussi célèbre que Marilyn Monroe et Elvis, mais à cause de mes croyances staffs, je n’ai pas évolué comme eux. John Travolta

“Il y a des gens qui apparaissent dans les magazines alors que je ne sais même pas qui ils sont. Je n’ai aucune connaissance de ce qu’ils ont fait dans leur vie et leur carrière est déjà prête. Ils deviennent célèbres pendant, quoi , dix minutes. Je pense que les véritables careers prennent un sacré bout de temps avant de se révéler.” Matt Damon

“Ce n’est pas pour s’amuser qu’il joue aux échecs: il celebre un culte.” Vladimir Nabokov

“Ce sera ma loi d’avoir vécu celebre et ignoré. Je ne suis connu que de l’Inconnu.” Victor Hugo

“Homère était celebre par sa façon de rire.” Gustave Flaubert

Quels sont les commandements de l’Église catholique ?

DÉCALOGUE
  • Un seul Dieu tu adoreras et aimeras parfaitement.
  • Son saint nom tu respecteras, fuyant blasphème et faux serment.
  • Le jour du Seigneur garderas, en servant Dieu dévotement.
  • Tes père et mère honoreras, tes supérieurs pareillement.
  • Tu ne tueras pas.
  • Tu ne commettras pas d’adultère.
  • Tu ne voleras pas.

Compte les bienfaits de Dieu

DECALOGUE

(Bible de Jerusalem, Old Testament)

Exode (20, 12 ff.), puis Deutéronome (5, 16 ff.)

Un seul Dieu tu adoreras et aimeras parfaitement

Son Saint nom tu respecteras, fuyant blaspheme et faux serment

Le jour du Seigneur garderas, en servant Dieu devotement

Tes père et mère honoreras, tes supérieurs pareillement

Tu ne dooras pas.

Tu ne commettras pas d’adultère.

Do ne voleras pas

Do ne porteras pas de témoignage mensonger contre ton prochain.

Do ne convoiteras pas la maison ou la femme de ton prochain

Tu ne convoiteras rien de ce qui est à ton prochain

* *

*

LES DIX COMMANDMENTS

Selon le Catéchisme de l’Église catholique)

(text from the edition Mame/Plon de 1992)

C’est à partir du quatrième commandement

que begins les Recipes Servant de Fondement au droit Criminel.

top priority

Il est écrit : C’est le Seigneur, ton Dieu, que tu adoreras, et à Luis seul tu rendras un culte (Matthew 4:10).

Le premier des préceptes embrasse la foi, l’espérance et la charité Le premier commandement proscrit la superstition et l’irréligion l’idolâtrie, la divination et la magic, la sorcellerie, le satanisme

Short :

2137 – L’homme doit pouvoir professor librement la religion en privé et en public.

2138 – La superstition is a deviation from the cult, which is nous rendons au vrai Dieu. Elle éclate dans l’idolâtrie, ainsi que dans les diverse forms de divination et de magic

Second Commandment

Tu ne prononceras le nom du Seigneur ton Dieu à faux (Exod 20:7)

Il a été dit aux anciens: «Tu ne parjureras pas» Eh bien! moi je vous dis de ne pas jurer du tout (Matthieu, 5, 33-34)

Le deuxième commandement prescrit de respecter le nom du seigneur. Il relève, comme le premier commandement de la vertu de la religion et règle plus particulièrement notre usage de la parole dans les chooses saintes Il proscrit le faux serment Est parjure celui qui, sous serment, fait une promesse qu’il n’a pas l ‘intention de tenir

Short :

2163 – Le faux serment appelle Dieu à témoigner d’un mensonge. Le parjure est un manquement grave envers le Seigneur, toujours fidèle à ses promesses

Troisième commandment

Souviens-toi du jour du sabbat pour le sanctifier (Exode 20, 8-10)

L’Écriture fait à ce propos mémoire de la creation Le sabbat été fait pour l’homme et non l’homme pour le sabbat “Le jour du sabbat, le Christ s’autorise de faire du bien plutôt que du mal, de sauver une vie plutôt que de la tuer » (Marc, 3,4).

Short :

2194 – L’institution du dimanche contribue à ce que “tous jouissent du temps de repos et de loisir suffisant qui leur permette de cultiver leur vie familiale, culturelle, sociale et religieuse”

Quatrième commandment

Honore ton père et ta mère afin d’avoir longue vie sur la terre que le Seigneur ton Dieu te donne (Exode, 20:12).

Le quatrième commandement ouvre la seconde table. Il indique l’ordre de la Charité. Dieu a voulu qu’après Lui, nous honorions nos parentes à qui nous devons la vie il concere également les rapports de parenté avec les membres du groupe familial il s’étend aux devoirs des élèves à l’égard du maître, des Employés à l ‘égard des Employeurs, des subordonnés à l’égard de leurs chefs, des citoyens à l’égard de leur patrie, de ceux qui l’administrent ou la gouvernent.

Ce commandement implicitly and sous-entend les devoirs of parents, educators, maîtres, cooks, magistrates, governors, et tous ceux qui exercent une autorité sur autrui ou sur une communauté de personnes

Short :

2248 – Selon le quatrième commandement, Dieu a voulu qu’après Lui nous honorions nos parent et ceux qu’il a, pour notre bien, revêtus d’autorité.

2249 – La communauté conjugale est établie sur l’alliance et le consentement des époux. Le mariage et la famille sont ordonnés au bien des conjoints, à la procreation et à l’education des enfants.

2250 – Le bien humain et chrétien de la personne et de la société est étroitement lié a la bonne santé de la communauté conjugale et familiale.

2251 – Les enfants doivent à leurs parents respect, gratitude, juste obéissance et aide. Le respect filial favorise l’harmonie de toute la vie familiale.

2252 – Les parents sont les premiers responsables de l’education de leurs enfants à la foi, à la prière et à toutes les vertus. Ils ont le devoir de pourvoir dans toute la measure du possible aux besoins physiques et spirituels de leurs enfants.

2253 – Les parents doivent respecter et favoriser la vocation de leurs enfants. Ils se rappelleront et enseigneront que le premier appel du chrétien, c’est de suivre Jésus.

2254 – L’autorité publique est tenue de respecter les droits fondamentaux de la personne humaine et les conditions d’exercice de sa liberté.

2255 – Le devoir des citoyens est de travailler avec les pouvoirs civils à l’édification de la society dans un esprit de vérité, de justice, de solidarité et de liberté.

2256 – Le citoyen est obligé en conscience de ne pas suivre les reviews des autorités civiles quand ces préceptes sont contraires aux exigences de l’ordre moral. “Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes”.

2257 – Toute société réfère ses jugements et sa circuite à une vision de l’homme et de sa destinée. Hors des lumières de l’évangile sur Dieu et sur l’homme, les sociétés deviennent aisément totalitaires.

Cinquième imperative

Do ne commettras pas de meurtre (Exod 20:13)

Vous avez appris qu’il a été dit aux anciens: « Tu ne tueras pas. Celui qui doora sera passible du jugement ». Et Moi, je vous dis que quiconque se mettra en colère contre son frère sera passible du jugement (Matthieu 5, 21-22)

La vie humaine est sacrée parce que, dès son origine, elle comporte l’action creatrice de Dieu et demeure pour toujours dans a relation spéciale avec le Créateur, son unique fin. Dieu seul est maître de la vie de son beginning à son terme: personne en aucune circonstance ne peut revendiquer pour soi le droit de détruire directement un être humain innocent

Le meurtre volontaire d’un innocent est gravement contraire à la dignité de l’être humain, à la règle d’or et à la sainteté du Créateur. La loi qui le proscrit est universalement valid: elle oblige tous et chacun, toujours et partout

La defense légitime des personnes et des sociétés n’est pas une exception à l’interdit du meurtre de l’innocent que constitue l’homicide volontaire Qui défend sa vie n’est pas coupable d’homicide même s’il est contraint de porter à son aggresseur un coup mortel La légitime defense peut être non seulement un droit, mais un devoir grave, pour celui qui est responsable de la vie d’autrui, du bien commun de la famille ou de la cité

Préserver le bien commun de la société exige la mise hors d’état de nuire de l’aggresseur. À ce titre l’enseignement traditionnel de l’Église a reconnu le bien fondé du droit et du devoir de l’authorité publique légitime de sévir par des peines proportionnées à la gravité du délit, sans exclure dans des cas d’une extreme gravité la pain de mort. Pour des raisons analogs les détenteurs de l’autorite ont le droit de repousser par les arms les aggresseurs de la cité dont ils ont la charge.

La pain a pour premier effet de compenser le desordre introduced par la faute. Quand cette peine est volontairement acceptée par le coupable, elle a valeur d’expiation. De plus la pain a pour effet de préserver l’ordre public et la sécurité des personsnes. Enfin la peine a une valeur medicinale; elle doit, dans la measure du possible, contribuer à l’amendement du coupable

Short :

2319 – Toute vie humaine, dès le moment de la conception jusqu’à la mort, est sacrée parce que le personne humaine a été voulue pour elle-même à l’image et à la ressemblance du Dieu vivant et saint.

2320 – Le meurtre d’un être humain est gravement contraire à la dignité de la personne et à la sainteté du Créateur.

2321- L’interdit du meurtre n’abroge pas le droit de mettre hors d’état de nuire un injuste agresseur. La legitimate defense est un devoir grave pour qui est responsable de la vie d’autrui ou du bien commun.

2322 – Dès sa conception, l’enfant a le droit à la vie. L’avorment direct, c’est-à-dire voulu comme une fin ou comme un moyen, est une “pratique infâme” gravement contraire à la loi morale. L’Église sanctionne d’une peine canonique d’excommunication ce delit contre la vie humaine.

2323 – Puisqu’il doit être traité comme a personne dès sa conception, l’embryon doit être défendu dans son intégrité, soigné et guéri comme tout autre être humain.

2324 – L’euthanasia volontaire, quels qu’en soient les forms et les motives, constitue un meurtre. Elle est gravement contraire à la dignité de la personne humaine et au respect du Dieu vivant, son Créateur.

2325 – Le Suicide est Gravement Contraire à la Justice, à l’Espérance et à la Charité. Il est interdit par le cinquième commandement.

2326 – Le scandale constitue une faute grave quand par action ou par omission il entraîne délibérément autrui à pécher.

2327 – A cause des maux et des injustices qu’entraîne toute guerre nous devons faire tout ce qui est raisonnablement possible pour l’éviter. L’Église prie: “De la famine, de la peste et de la guerre délivre-nous, Seigneur. »

2328 – L’Église et la raison humaine declarent la validité permanente de la loi morale durant les conflits armés. Les pratiques delibérément contraires au droit des genes et à ses principes universels sont des crimes.

2329 – La course aux armements est une plaie extreme grave de l’humanité et lèse les pauvres d’une manière inlérable. »

2340 – “Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu” (Matthieu 5, 9).

Sixth Commandment

Tu ne commettras pas d’adultère (Exode 20:14 ; Deutéronome, 5:17)

L’adultère. Ce mot définit l’infidélité conjugale. Lorsque deux partenaires, don’t l’un au moins est marié, nouent a sexual relation, meme éphémère, ils commettent un adultère. Le Christ condamne l’adultère meme de simple désir

Short :

2392 – L’amour est la vocation fondamentale et innée de tout être humain.

2393 – En créant l’être humain homme et femme, Dieu donne la dignité personalle d’une manière égale à l’un et à l’autre. Il revient à chacun, homme et femme, de reconnaître et d’accepter son identité sexual.

2394 – Le Christ is the model of chastity. All baptisé est appelé à mener une vie chaste, chacun selon son propre état de vie.

2395 – La chasteté means l’integration de la sexualité dans la personne. Elle comporte l’apprentissage de la maîtrise personalle.

2396 – Parmi les péchés gravement contraires à la chasteté, il faut citer la masturbation, lahurication, la pornographie et les pratiques homosexuales.

2397 – L’alliance que les époux ont librement contractée implicitly un amour fidèle. Elle leur confère l’obligation de garder indissoluble leur mariage.

2398 – La fécondité est un bien, un don, une fin du mariage. En donnant la vie, les époux participent à la paternity de Dieu.

2399 – The regulation of the naissances represented and the aspect of the paternity and the maternity responsables. La legitimité des intentions des époux ne justifie pas le recours à des moyens moralement irrecevables (par example la sterilization directe ou la contraception).

2400 – The adult and divorce, polygamy and free union of grave offenses à la dignité du mariage.

Seventh bid

Tu ne commettras pas de vol (Exodus 20:15).

Tu ne voleras pas (Matthew 19:18).

Le septième commandement défend de prendre ou de retenir le bien du prochain injustement et de faire du tort au prochain en ses biens de quelque manière que ce soit. The prescribing of the justice and the charity in the management of the land and destinies of the home. Il demande en vue you bien commun le respect de the universal destination des biens et you droit de propriété privée. La vie chrétienne s’efforce d’ordonner à Dieu et à la charité fraternelle les biens de ce monde.

Short :

2450 – “Tu ne voleras pas” (Deuteronomy 5:19). “Ni voleurs, ni cupides (…) ni rapaces n’hériteront du Royaume de Dieu” (1 Co 6, 10).

2451 – Le septième commandement prescrit la pratique de la justice et de la charité dans la management des biens terrestres et desfruits du travail des hommes.

2452 – Les biens de la creation sont destinés au genre human tout entier. Le droit à la propriété privée n’abolit pas la destinationuniversale des biens.

2453 – Le septième commandement proscrit le vol. Le vol est l’usurpation du bien d’autrui, contre la volunté raisonnable du propriétaire.

2454 – Toute manière de prendre et d’user injustement du bien d’autrui est contraire au septième commandement. L’injustice commise exige reparation. La Justice Commutative exige la Restitution du bien derobé.

2455 – La loi morale proscrit les acts qui, à des fins mercantiles ou totalitaires, conduisent à asservir des êtres humains, à les acheter, à les vendre et à les échanger comme des marchandises.

2456 – La domination accordée par le Créateur sur les ressources minérales, vegetales et animales de l’univers ne peut être séparée du respect des engagements morales, y includes envers les generations à venir.

2457 – Les animaux sontconfés à la gérance de l’homme qui leur doit bienveillance. Ils peuvent servir à la juste Satisfaction des Besoins de l’homme.

2458 – L’Église porte un jugement en matière économique et sociale quand les droits fondamentaux de la personne ou le salut des âmes l’exigent. Elle se soucie du bien commun temporel des hommes en raison de leur ordination au sovereign Bien, notre fin ultime.

2459 – L’homme est lui-même l’auteur, le center et le but de toute la vie économique et sociale. Le point décisif de la question sociale est que les biens créés par Dieu pour tous arrivalnt en fait à tous, suivant la justice et avec l’aide de la charité.

2460 – La valeur primordiale du travail tient à l’homme meme, qui en est l’auteur et le destinataire. Moyennant son travail, l’homme participe à l’oeuvre de la creation. Uni au Christ le travail peut être rédempteur.

2461 – Le développement véritable est celui de l’homme tout entier. Il s’agit de faire croître la capacité de chaque personne de répondre à sa vocation, donc à l’appel de Dieu.

2462 – L’aumône faite aux pauvres est un témoignage de Charité fraternelle : elle est also une pratique de justice qui plait à Dieu.

2463 – Dans la Multitude d’êtres humains sans pain, sans toit, sans lieu, comment ne pas reconnaître Lazare, mendiant affamé de la parabole ? Comment ne pas entender Jésus “A Moi non plus vous ne L’avez pas fait” (Mt 25, 45) ?

Huitième bid

Tu ne témoigneras pas faussement contre ton prochain (Exod 20:16).

Le huitième commandement interdit de travestir la vérité dans les relations avec autrui. Cette prescription moral découle de la vocation du peuple saint à être témoin de son Dieu qui est et qui veut la vérité. Les Offensives à la vérité exprimment, par des paroles ou des actes, un refus de s’engager dans la rectitude morale; elles sont des infidélités foncières à Dieu et, en ce sens, sapent les bases de l’alliance.

Short :

2504 – “Tu ne témoigneras pas faussement contre ton prochain” (Ex 20, 16). Les disciples du Christ ont “revêtu l’homme nouveau créé selon Dieu dans la justice et la sainteté qui viennent de la vérité” (episode 4, 24).

2505 – La vérité ou véracité est la vertu qui existe à se montrer vrai en ses actes et à dire vrai en ses paroles, se gardant de la duplicité, de la simulation et de l’hypocrisie.

2506 – Le chrétien n’a pas à “rougir de rendre témoignage au Seigneur” (2 Tm 1, 8) en acte et en parole. Le martyre est le supreme témoignage rendu à la vérité de la foi.

2507 – Le respect de la réputation et de l’honneur des personnes interdit toute attitude ou toute parole de médisance ou de calomnie.

2508 – Le mensonge contains à dire le faux avec l’intention de tromper le prochain qui a droit à la vérité.

2509 – Une faute commise à l’encontre de la vérité demande réparation.

2510 – La règle d’or aide à discerner, dans les concrete situations, s’il convient ou non de révéler la vérité à celui qui la demande.

2511 – “The secret Sacramentel is untouchable”. Les secrets professionnels doivent être gardés. Les confidentiale préjudiciables à autrui n ‘ont pas à être divulguées.

2512 – La société a droit à une information fondée sur la vérité, la liberté, la justice. Il convient de s’imposer moderation et discipline dans l’usage des moyens de communication sociale.

2513 – Les beaux-arts, mais surtout l’art sacré «visent, par nature, à expresser de quelque façon dans les oeuvres humaines la beauté infinie de Dieu, et ils se consacrent d’autant plus à accroître sa louange et sa gloire qu ‘ils n’ont pas d’autre propos que de contribuer le plus possible à tourner les âmes humaines vers Dieu ».

Neuvième commandment

Do ne convoiteras pas la maison de ton prochain. Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa serveur, ni son bœuf, ni son âne, rien de ce qui est à ton prochain (Exod. 20:17).

Suivant la tradition catéchétique catholique, le neuvième commandement proscrit la concupiscence charnelle, le dixième interdit la convoitise du bien d’autrui. From sens étymologique, la “concupiscence” means the designer toute forme véhémente de désir humain. La théologie chrétienne lui a donné le sens particulier du mouvement de l’appetit sensitive qui contrarie l’oeuvre de la raison humaine.

Short :

2528 – “Quiconque respecte une femme avec convoitise a déjà commis dans son coeur l’adultère avec elle” (Mt 5, 28).

2529 – Le neuvieme commandment met en garde against la convoitise ou concupiscence charnelle.

2530 – La lutte contre la convoitise charnelle passe par la cleaning du coeur et la pratique de la tempérance.

2531 – La pureté du coeur nous donnera de voir Dieu : elle nous donne dès maintenant de voir toute chooses selon Dieu.

2532 – La cleaning du coeur exige la prière, la pratique de la chasteté, la pureté de l’intention et du viewer.

2533 – La pureté du coeur demands la pudeur qui est patient, modest and discreet. La pudeur preserve l’intimité de la personne.

Dixième bid

Tu ne convoiteras rien de ce qui est à ton prochain (Exodus 20:17). Tu ne désireras ni sa maison, ni son champ, ni son serviteur ou sa servede, ni son bœuf ou son âne : rien de ce qui est à lui (Deuteronomy 5:21).

Le dixième commandement proscrit l’avidité et le désir d’une appropriation sans mesure des biens terrestres ; il defending the cupidité déréglée née de la passion immodérée des richesses et de leur puissance. Il interdit encore le désir de commettre une injustice par laquelle on nuirait au prochain dans ses biens temporels.

Short :

2528 – Le dixième commandement defending la cupidité déréglée, born de la passion immodérée des richesses et de leur puissance.

2253 – L’envie est la tristesse éprouvée devant le bien d’autrui et le désir immodéré de se l’appproprier. Elle is a vice capital.

2554 – Le baptisé combat l’envie par la bienveillance, l’humilité et l’abandon à la Providence de Dieu.

2555 – Les fidèles du Christ «ont crucifié la chair avec ses passions et ses convoitises» (Ga 5, 24); ils Sont Conduits par l’Esprit et suivent ses désirs.

2556 – Le détachement des richesses est necessaire pour enter dans le Royaume des Cieux. “Bienheureux les pauvres de coeur”.

2557 – L’homme de désir dit: “Je veux voir Dieu. » La soif de Dieu est étanchée par l’eau de la vie éternelle.

*

PS No. 2070: Les dix commandements appartiennet à la révélation de Dieu. Ils nous enseignent en meme temps la véritable humanité de l’homme. Ils mettent en lumière les devoirs essentials et donc, indirectement, les droits fondamentaux inherents à la nature de la personne humaine. Le Décalog contains a privileged expression of the “loi naturelle”.

COMPTE LES BIENFAITS (Fast Forward Session) Sebastian Demrey \u0026 Jimmy Lahaie

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Psaum 103: “Mon âme, bénis l’Éternel, et n’oublie aucun de ses bienfaits! C’est lui qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes maladies ; c’est lui qui rassasie de biens ta vieillesse, qui te fait rajeunir comme l’aigle ». «Compte les bienfaits de Dieu, met les tous devant tes yeux, et tu verras en adorant, combien le nombre en est grand ! »

Nous sommes invites très fréquemment à nous remémorer ce que le seigneur a fait pour nous dans le passé. En le faisant, nous glorifions Dieu et nous affermissons dans notre esprit l’assurance que l’Eternel est fidèle et able de nous benir demain, comme Il l’a fait hier ! Be a souvenir and compter les bienfaits de Dieu!..

Il nous a beni de toutes benédictions en Christ dans les lieux celestes! (Ephésiens 1.3) Vous avez vu la fidélité de Dieu, vous l’avez vu vous garder, vous guérir, et vous révéler des chooses nouvelles, vous tendre la main au travers de vos amis…

Jésus est notre cadeau du ciel et il dispens ses bienfaits sur nous constamment. Ouvrons les yeux, nous sommes les enfants cheris du Seigneur. Comptez, enumérez ! Souvenez-vous des victoires, comptez et réalisez ce que vous avez appris et la manière dont le seigneur vous a utilisé, les guérisons, les provisions, les révélations, les protections, les défis qu’Il vous a amené à entreprendre. Tout cela, ce sont des cadeaux, des graces de Dieu.

Très souvent la Bible nous commande de nous appliquer à faire des efforts pour nous souvenir des actions de Dieu qui ont eu lieu dans le passé. Avant de rentrer dans la terre Promise, là où le people de Dieu va s’installer dans les bénédictions prévues, le Seigneur l’avertit : Deutéronome 7: 18-19 : “Ne les crains point, rappelle à ton souvenir ce que l’ Éternel ton Dieu a fait à Pharaon et à toute l’Égypte, les grandes épreuves que tes yeux ont vues, les wonders et les prodiges, la main forte et le bras étendu, quand l’Éternel, ton Dieu, t’a fait sortir : ainsi fera l’Éternel, ton Dieu, à tous les peuples que tu redoutes.”

L’Ennemi fait tout son possible pour nous voler la joie du Salut. L’Ennemi est un voleur, il vient pour détruire. Rien de tel que de viewer ce qui ne va pas dans le monde, ce qui nous semble nous manquer pour décourager notre foi et voler la reconnaissance qui revient à Jésus. Mais la Parole de Dieu declared: “L’Eternel est mon berger, je ne manque de rien ! ». «Compte les bienfaits de Dieu, met les all devant tes yeux, et tu verras combien le nombre en est grand ! ». Grand oui, à la ressemblance du donateur ! Ces graces parlent de Lui! The stratégie de l’Ennemi existe à nous amener à viewer à ce qui nous manque et nous conduire dans la plainte, l’apitoiement et le desespoir.

Effectiveness, les examples autour de nous ne manquent pas. L’Ennemi comes ainsi à nous voler notre notre foi et notre joie car il sait que si nous gardons les yeux fixés sur Jésus et gardons en mémoire les leçons d’hier, nous pourrons vivre des wonders et nous développerons la foi pour les épreuves de stay.

Si tu vis un échec ou un blocage dans un domaine, souviens-toi de la fois où Dieu t’as donné de la force, lorsqu’il est venu à ton aide et t’a donné la victoire d’une manière ou d’ une autre. Si tu vis une période bénie et exaltante, rends grace à Dieu et reconnais-le comme l’auteur de ton successès.

Prions ensemble : Seigneur, merci pour ta fidélité car tu es là tous les jours avec moi, et ce que tu as fait hier, tu as la puissance de l’accomplir dans ma vie et celle de mon entourage aujourd’hui, dans cette période difficult. Je te loue Seigneur, tu es merveilleux, tu es bon et riche. Je suis fier d’être ton enfant. Merci pour tous tes cadeaux.

Jean-Baptiste Lamblin

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Ce livre aborde des themes like la prière, la louange, les relations, le pardon, la foi…

Cet ebook vous mutura à aller plus loin avec Dieu. Your email address is uniquely used by Rev’Impact for your envoyer in your newsletter. You may want to design at all the moment and use the link to the subscription integrated into the newsletter. Pour en savoir plus et exercer vos droits, prenez connaissance de notre charte de confidential.

Un Message d’Amour !

Ne laissons pas nos âmes ceder aux sirènes incessantes du découragement! Bien sûr, il y aurait de quoi. Sans doute, nos soucis personals, l’actualité, nous donneraient probablement mille fois raison. Seulement, résistons fermement à ces sollicitations! Plutôt, Respectons vers Jésus et tressaillons d’allégresse! Un cantique déclare ceci: “Compte les bienfaits de Dieu, mets les tous devant tes yeux, tu verras en adorant combien le nombre en est grand! » Peut-être nous arrival-t-il de l’oublier, mais nous avons réellement sujet de nous réjouir. En Christ, Dieu nous a pardonnés, rachetés, sauvés! Dieu a fait la preuve de Son Amour en donnant Son Fils. Est-ce peu de choose à nos yeux?

Evidemment, le temps des épreuves et des difficultes n’est pas encore passé. Certainly, nous aurons encore des angoisses en ce monde. Et pourtant, toutes ces afflictions ne peuvent jamais empêcher les saints de Louer et celebrer leur Dieu. Ils le savent, le bon Berger les accompagne meme dans la vallée de l’ombre de la mort. Que leur reste-t-il a craindre? Maintenance, prenons exemple sur ceux qui nous ont précédés sur le sentier de la foi. Comme le fit David, prenons appui sur notre Dieu. En pleine détresse, il a pu s’exclamer: « Loué soit l’Eternel! Et je suis delivre de mes ennemis. » Le Seigneur s’est montré fidèle et son bras n’a pas manqué de le secourir. Indéniablement, le Seigneur n’a pas changé. Les Écritures l’affirmant sans aucune ambiguïté, Jésus-Christ est le même, hier, aujourd’hui, et éternellement.

Soyons-en persuadés, nous pouvons marcher la tête haute, le cœur rempli d’allégresse. Oui, nous sommes plus que vainqueurs par Celui qui nous a aimés. Oui, Dieu nous fait toujours triumpher en Christ. N’abandonnons jamais cette heureuse insured! En toutes circonstances, dans le bon comme le mauvais jour, réjouissons-nous et benissons le Nom de l’Eternel!

Compte les bienfaits de Dieu

Quand le vol de la tempête

Vient assombrir ton ciel bleu,

Au lieu de baisser la tête,

Compte les bienfait de Dieu.

refrain

Compte les bienfaits de Dieu,

Mets-les tous devant tes yeux,

Tu verras, en adorant,

Combien le nombre en est grand.

stanza 2

Quand sur la route glissante,

Tu chancelles sous ta croix,

Pense a cette main puissante

Qui t’a beni tant de fois.

refrain

Compte les bienfaits de Dieu,

Mets-les tous devant tes yeux,

Tu verras, en adorant,

Combien le nombre en est grand.

stanza 3

Si tu perds dans le voyage

Plus d’un cher et doux trésor,

Pense au divin heir

Qui Là-Haut, te reste encor.

refrain

Compte les bienfaits de Dieu,

Mets-les tous devant tes yeux,

Tu verras, en adorant,

Combien le nombre en est grand.

stanza 4

Benis donc, benis sans cesse

Ce Pere qui chaque jour

Repand sur toi la richesse

De son merveilleux amour.

refrain

Compte les bienfaits de Dieu,

Mets-les tous devant tes yeux,

Tu verras, en adorant,

Combien le nombre en est grand.

Video: Heritage Vol. 3 (Fast Forward Session)

Edwin Othello Excell

Texts by Marcelle Perenoud

C’est auprés de Dieu

JEM 521

C’est aupres de Dieu Que je veux me tenir. Il est mon Seigneur, mon Roi. C’est auprès de Dieu Que je peux ressentir, Tout l’amour qu’il a pour moi. C’est auprés de Dieu Que je vo…

Dieu tout puissant

JEM 66

Strophe 1: Dieu tout puissant, quand mon coeur considère, Tout l’univers créé par ton pouvoir, Le ciel d’azur, les éclairs, le tonnerre Le clair matin ou les ombres du soir. Refrain: …

C’est ton sang qui purifie

JEM 344

C’est ton sang qui purifie. C’est ton sang qui donne la vie. C’est ton sang qui a coulé Oui ton sang précieux m’a racheté. Je suis plus blanc, plus blanc que la neige, que la neige, O Jesus,…

OUI LE BONHEUR ET LA GRÂCE

JEM 77

Pèlerin, j’errais loin de mon Père, Dans le froid de la nuit du péché, Maintenant je vis dans la lumière Du bon Berger qui m’a retrouvé. Refrain Oui, le bonheur et la grace m’accompagne…

Entre tes mains j’abandonne

JEM 83

Entre tes mains j’abandonne Tout ce que j’appelle mien. Oh ! ne permets à personne, Seigneur d’en represent rien ! Refrain 1 Oui, prends tout Seigneur ! Oui, prends tout Seigneur! Entry…

Compte les bienfait de Dieu

AF45

Quand le vol de la tempête Vient assombrir ton ciel bleu, Au lieu de baisser la tête, Compte les bienfaits de Dieu. Refrain Compte les bienfaits de Dieu, Mets-les tous devant tes yeux, Tu v…

Cherchez d’abord

JEM 35

Matthew 6:33; 4.4 Cherchez d’abord le royaume de Dieu, Et sa justice ; Et toutes ces chooses vous seront données en plus, Allélu, Alléluia ! Chorus Hallelujah. alleluia. alleluia. Al…

Mon Dieu is si bon

JEM 133

Mon Dieu is si bon, il prend bien soin de moi; Ce Dieu si fidele, sais-tu qu’il pense à toi. Il voudrait t’aider dans tes tes difficulties; Il faut que tu viennes a lui tel que tu es. refrain …

Dieu tout puissant

JEM 66

Dieu all puissant, quand mon coeur considère, Tout l’univers créé par ton pouvoir, Le ciel d’azur, les éclairs, le tonnerre Le clair matin ou les ombres du soir. Refrain De tout mon être…

Manifest your presence

JEM 536

Seigneur, viens ranimer Le feu que tu as mis en moi. Toi seul peux m’éclaire. Viens, Seigneur, m’ouvrir les yeux! Refrain 1 O manifeste ta présence Et convaincs-moi de ta puissance. Revê…

Béni soit ton nom

JEM732

Verse 1: Béni soit ton nom là où tu donnes l’abondance Et déverses ta bienveillance; beni soit ton nom. Et béni soit ton nom quand ma vie traverse un desert, Quand je marche en ter…

Les cieux proclamation

JEM 448

Les cieux proclament la gloire du resource. Rien n’est égal à la beauté du Seigneur. Refrain 1 A jamais il sera l’Agneau sur le trone. Je fléchis le genou pour l’adorer lui seul. str…

Grandes et Merveilles

JEM 414

Grandes et merveilleuses Sont toutes tes oeuvres, O Seigneur, notre Dieu tout-puissant, Juste et véritable Dans toute ta volonté, Toi le Roi éternel. Verse 2 Qui sur la terre et dans le …

Mon ancre et ma voile

JEM794

Dieu tu es ma force, ma consolation, Une lampe devant mes pas. Ta voix a triomphé de l’ouragan, Remporté le combat. Refrain Tu m’offres chaque jour sound infaillible amour; Hey, qui as fixe…

Means mon coeur

JEM570

Comment expliquer et comment décrire Un amour si grand, si puissant, Que rien ne peut le contenir ? Tu sais mes espoirs, Seigneur, tu sais mes craintes Et mes mots sont bien trop petits Pour di…

A toi l’honneur

JEM 726

A toi l’honneur, Agneau de Dieu! Ton corps brisé sur la croix A porté notre condamnation. A toi l’honneur, Agneau de Dieu! Ton sang versé sur la croix Est le prix de notre rançon. Verse…

Adorons le Pere

JEM839

Adoron’s le Pere dans la vérité En obéissant, avec intégrité. Adoron’s le Père conduct par l’Esprit Comme des enfants remplis de sa vie. Refrain Tu es le seul Roi si grand, Tu es le seul…

Do it le plus beau

JEM600

Des paroles pleines de charme Bouillonnent en moi; pour mon Roi, Je dis: mon oeuvre est pour toi. Que ma langue, Telle la plume d’un habile écrivain, Sous ta main, t’adore, O Dieu sovereign. …

Nous T’adorons ô Pere

JEM 463

Nous t’adorons, ô Père, Dans ton Tempel, Nous t’adorons en esprit et en vérité. Tu habites nos louanges, Nous t’adorons en esprit et en vérité. Refrain Auto un jour près de toi Vaut mie…

En Jesus Seul

En Jésus seul, est mon espoir, Lui, ma lumière, ma force, mon chant, Pierre angulaire, solide rempart, Même quand l’orage devient violent. O quel amour! Oh quelle paix! Les luttes cessent, la…

Le Roi in such splendor

JEM870

And a great miracle

JEM 514

Means mon coeur

JEM570

Ton amour, ta puissance

JEM 507

A l’Agneau de Dieu

JEM 519

Au dessus de tout

JEM 728

Do it venu jusqu’à nous

JEM 553

Verse toi seigneur

JEM 300

Vers toi Seigneur, J’élève ma voix Pour t’adorer, Mon Sauveur, mon Roi. Reçois, Seigneur, Comme un doux parfum L’amour et le chant De nos coeurs reconnaissants.

Louange et gloire a ton nom

JEM 303

Tournez les yeux verse le seigneur

JEM 316

El Shaddai

JEM 618

Nous nous tournons vers toi

JEM878

Rain en moi

JEM821

Christ est Roi

JEM850

Le Roi in such splendor

JEM870

Majesté (Me voici)

JEM871

Merveilleux, si merveilleux

JEM874

Mon rédempteur vit

JEM876

Nous Croyons

JEM 371

Jeunes et vieux

JEM 237

(Jeremie 31.13)

Vous bondirez de joie

JEM 322

Vous bondirez de joie, Vous marcherez en paix, Montagnes et collines, éclatez de joie ! Et la nature entière, Et all les arbres des champs Battront, battront des mains. Verse Et tous les…

Jesus is Lord

JEM 433

Je loud ton nom

JEM 576

Je loud ton nom Eternel; Seigneur, je célébre ta bonté. source joie, tu vis en moi ! Source joie, you viens pour nous sauver. (x2) Refrain: Tu viens du ciel sur la terre Montrer la voie…

Nous worships Adonaï

JEM777

Lumiere du monde

JEM788

Pardon, seigneur, pardon

JEM642

Nous annonçons le Roi

JEM799

Venez le celebrer

JEM 516

It’s sublime

JEM 352

Vienna, ne tarde plus

JEM720

Dites-le continued

JEM 615

Bénis l’Éternel ô mon âme

Shalom, Shalom

JEM706

Acclamez le Seigneur avec joie

JEM 374

Benis l’Eternel

JEM 383

Car Dieu is a powerful Dieu

JEM 385

Chaque jour

JEM 526

Do it mon rocher

JEM 511

Do it merveilleux

JEM717

Le Dieu de Victoire

JEM 578

Une chose

JEM 555

Saint, saint, saint

JEM487

Quand je contemple

JEM 474

Mon Seigneur and mon Dieu

JEM 457

Ouvre les yeux de mon cœur

JEM 694

Que l’Esprit de vérité – Notre Père

JEM590

Je veux demeurer dans ta grace

JEM773

Je veux chanter un chant d’amour

JEM 626

Ever explain

JEM764

Exo Eclats 4

Il m’aime

JEM761

You do great

JEM 368

Louez Adonai

JEM786

Dieu n’a pas envoyé

JEM 962

Mon seul abri

JEM 354

Maranatha!

JEM 247

Chaine d’Amour

JEM 734

Louange Vivante

Chante Hallelujah au Seigneur

JEM 290

Chante alléluia au Seigneur, Chante alléluia au Seigneur. Chante alleluia, chante alleluia. Chante alleluia au Seigneur! Chante alléluia au Seigneur, Chante alléluia au Seigneur. Singing…

Avec Dieu nous ferons des exploits

JEM 311

Refrain : Avec Dieu, nous ferons des Exploits Car c’est lui seul qui écrase l’ennemi, Chantons et crions la victoire: Christ est Roi ! Verse : Car Dieu a gagné le combat Et libéré s…

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