Hébreux 4 16 Explication? All Answers

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C’est quoi un souverain sacrificateur ?

Celui qui sacrifie, ministre préposé pour faire les sacrifices. Ce mot n’est usité qu’en parlant des Hébreux et des païens. Le grand sacrificateur. Le souverain sacrificateur.

Quels sont les textes bibliques ?

Canon de la Bible hébraïque
  • La Torah ou Loi (Le Pentateuque) : Bereshit (Genèse), Shemot (Exode), Vayiqra (Lévitique), Bamidbar (Nombres) et Devarim (Deutéronome).
  • Les Nevi’im ou « Prophètes » (Les livres prophétiques) : …
  • Les Ketouvim (Les autres Écrits) :

Quand deux ou trois sont réunis ?

là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, […] je serai là au milieu d’eux – de même, je suis au milieu de vous » (D&A 6:32). Maintenant, ce ne sont pas un ou deux, mais une multitude de ses disciples qui sont assemblés à l’occasion de cette conférence et, comme promis, le Seigneur est au milieu de nous.

Définition de sacrificateur

« Si vous écoutez avec l’Esprit, votre cœur sera adouci, votre foi affermie et votre capacité d’aimer le Seigneur accrue. »

Mes frères et sœurs bien-aimés, je vous souhaite la bienvenue à la 186e conférence générale d’avril de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours. Je suis heureux d’être avec vous et je vous souhaite une cordiale bienvenue.

Je suis reconnaissant de votre location à la conférence pour ressentir l’inspiration du ciel et pour vous sentir plus proches de notre Père céleste et du Seigneur Jésus-Christ.

Des millions de pupils de Jésus-Christ qui ont fait alliance de toujours se souvenir de lui et de le server sont assemblés dans cette réunion, qui s’étend dans le monde entier. Le wonder de la modern technology fait disparaître le temps et les grandes distances qui nous séparent. Nous nous réunissons come si nous étions tous ensemble dans une seule grande salle.

Corn plus important addition que notre rassemblement est le nom qui nous réunit. Le Seigneur a promis que, meme si ses pupills sont nombreux sur la terre aujourd’hui, il sera proche de chacun de nous. Il a dit à son petit groupe de pupils en 1829 : « En vérité, en vérité, je vous le dis, […] là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, […] je serai là au milieu d’eux – de même, je suis au milieu de vous” (D&C 6:32).

Maintenant, ce ne sont pas un ou deux, mais une plural de ses pupils qui sont assemblés à l’occasion de cette conférence et, comme promis, le Seigneur est au milieu de nous. Parce qu’il est un être ressuscité et glorifié, il n’est pas physiquement presented en chaque endroit où les saints sont rassemblés. Mais, par la puissance de l’Esprit, nous pouvons sentir qu’il est ici avec nous aujourd’hui.

Les Endroits et les Moments où nous ressentons la proximity du Sauveur dependent de chacun de nous. Il a donné cette directive :

« Et de plus, en vérité, je vous le dis, mes amis, je vous laisse ces paroles pour que vous les méditiez dans votre cœur, avec ce commandement que je vous donne, que vous m’invoquerez tant que je suis près :

« approchez-vous de moi, et je m’approcherai de vous ; cherchez-moi avec diligence et vous me trouverez, demandez et vous recevrez, frappez et l’on vous ouvrira” (D&A 88:62-63).

Je connais au moins deux auditors aujourd’hui qui veulent cette benediction de tout leur coeur. Ils vont essayer sincèrement de s’approcher du Seigneur Pendant cette conférence. Ils m’ont tous les deux écrit (leurs lettres sont arrivées à mon bureau la même semaine) pour implorer le même genre d’aide.

Ils sont tous les deux des convertis à l’Église et ont reçu précédemment un témoignage clair de l’amour de Dieu le Père et de son Fils, Jésus-Christ, le Sauveur du monde. Ils savent que Joseph Smith, le prophète, a organisé l’Église par révélation directe venant de Dieu et que les clés de la sainte prêtrise ont été rétablies. Chacun a eu le témoignage que les clés sont en place dans l’Église aujourd’hui. Ils m’en ont solennellement rendu témoignage par écrit.

Cependant, chacun se lamente de moins éprouver d’amour pour le Seigneur et de moins sentir que le Seigneur l’aime. Ils veulent tous les deux, de all leur coeur, que je les aide à retrouver la joie et le sentiment d’être aimés qui étaient les leurs lorsqu’ils sont entrés dans le royaume de Dieu. Ils ont tous deux expressed leur crainte que, s’ils ne retrouvent pas pleinement ces sentiments d’amour pour le Sauveur et pour son Église, les épreuves qu’ils traverseront finissent par avoir raison de leur foi.

Ils ne sont pas les seuls à avoir cette inquiétude, et leur épreuve n’est pas nouvelle. Pendant son ministère terrestre, le Sauveur nous a donné la parabole de la semence et du semeur. La semence était la parole de Dieu. Le semeur était le seigneur. La survie de la semence et sa croissance dependent de l’état du sol. Vous vous souvenez de ses paroles :

«Un semeur sortit pour semer. Comme il semait, une partie de la semence tomba le long du chemin: les oiseaux vinrent, et la mangèrent.

« Une autre partie tomba dans les endroits pierreux, or elle n’avait pas beaucoup de terre : elle leva aussitôt, parce qu’elle ne trouva pas un sol profond ;

« Mais, quand le soleil parut, elle fut brûlée et sécha, faute de racines.

« Une autre partie tomba parmi les épines : les épines montèrent, et l’étouffèrent.

« Une autre partie tomba dans la bonne terre : elle donna du fruit, un grain cent, un autre soixante, un autre trente.

“Que celui qui a des oreilles pour entender entende” (Matthew 13:4-9).

Je répète, la semence est la parole de Dieu. Le sol est le cœur de la personne qui reçoit la semence.

Nous resemblons tous beaucoup aux merveilleuses personnes qui m’ont écrit pour que je les aide et les rassure. A certain moment, des semences, c’est à dire la parole de Dieu, ont été plantées dans notre cœur. Pour Certains, c’était dans l’enfance quand leurs parent les ont invités à se faire baptiser et Firmer par des persons ayant l’autorité. Other parmi nous ont été instructions par des serviteurs appelés de Dieu. Chacun a senti que la semence était bonne, l’a même sentie gonfler dans son cœur, et a éprouvé de la joie lorsque son esprit et son coeur ont semble s’épanouir.

La foi de chacun d’entre nous a été éprouvée par le retard dans l’obtention de bénédictions auxquelles il aspirait, par des attaques malveillantes de gens qui voulaient la détruire, par des tentations à pécher, et par des intérêts égoïstes qui ont sapé ses Efforts pour cultiver et adoucir les profondeurs spirituales de son cœur.

Les personnes qui sont attristées par la perte de la joie qu’ils ont connue sont benies. Certaines ne voient pas que leur foi se flétrit. Satan is malin. Il dit aux personnes qu’il souhaite rendre misérables que la joie qu’ils ont ressentie un jour était une illusion enfantine.

Je nous dis à tous aujourd’hui qu’au cours des prochains jours, nous allons avoir une chance précieuse de choisir de laisser notre cœur s’adoucir et de recevoir et de nourrir la semence. La semence est la parole de Dieu, et elle va être déversée sur nous tous qui écoutons, reviews et lisons cette conférence. La musique, les discours et les témoignages ont été prepared par des serviteurs de Dieu qui ont cherché diligemment à être guidés par le Saint-Esprit dans leur preparation. Au fur et à mesure que la date de la conférence approchait, ils ont prié plus longuement et plus humiliation.

Ils ont prié pour avoir le pouvoir de vous inciter à faire les choix qui produiront dans votre cœur un sol plus fertile qui permette à la bonne parole de Dieu de pousser et d’être fructueuse. Si vous écoutez avec l’Esprit, votre cœur sera adouci, votre foi affermie et votre capacité d’aimer le Seigneur accrue.

Votre decision de prier d’un cœur pleinement résolu transforma votre experience pendant lessessions de conférence et dans les jours et les mois à venir.

Beaucoup d’entre vous ont déjà commencé. Au debut de cette session, vous avez fait plus qu’écouter la prière ; vous avez ajouté votre foi à la demande d’avoir la benédiction que le Saint-Esprit soit déversé sur nous. En ajoutant votre request silencieuse au nom de Jésus-Christ, vous vous êtes rapprochés de lui. C’est sa conference. Seul le Saint-Esprit apporter les benédictions que le Seigneur desire nous accorer. Dans son amour pour nous, il a promise que nous pouvons sentir que :

« Tout ce qu’ils diront sous l’inspiration du Saint-Esprit sera Écriture, sera la volonté du Seigneur, sera l’avis du Seigneur, sera la parole du Seigneur, sera la voix du Seigneur et le pouvoir de Dieu pour le salut .

« Voici, telle est la promise que le Seigneur vous fait, ô mes serviteurs.

« C’est pourquoi, prenez courage et ne craignez pas, car moi, le Seigneur, je suis avec vous et je me tiendrai à vos côtés ; et vous rendrez témoignage de moi, Jésus-Christ ; vous rendrez témoignage que je suis le Fils du Dieu vivant, que j’étais, que je suis et que je vais venir” (D&C 68:4-6).

Chaque fois qu’un serviteur de Dieu s’approche de la chaire, vous pouvez prier et ajouter votre foi en l’accomplissement de la promesse du Seigneur rapportée dans Doctrine et Alliances section 50 :

« En vérité, je vous le dis, celui qui est ordonné par moi et envoyé prêcher la parole de vérité par le Consolateur, selon l’Esprit de vérité, prêche-t-il par l’Esprit de vérité ou d’une autre façon ?

«Si c’est d’une autre façon, ce n’est pas de Dieu.

« Et de plus, celui qui reçoit la parole de vérité, la reçoit-il par l’Esprit de vérité ou d’une autre façon ?

«Si c’est d’une autre façon, ce n’est pas de Dieu.

« Comment se fait-il donc que vous ne puissiez comprendre et savoir que celui qui reçoit la parole par l’Esprit de vérité la reçoit telle qu’elle est prêchée par l’Esprit de vérité ?

“C’est pourquoi, celui qui prêche et celui qui reçoit se comprennent, et tous deux sont édifiés et se réjouissent ensemble” (D&A 50:17-22).

Vous pouvez prier au moment où le chœur s’apprête à chanter. Le directeur de chœur, les organistes et les membres du chœur ont prié et ont répété avec une prière dans le cœur et avec la foi que la musique et les paroles adouciront les cœurs et magnifieront leur puissance afin d’édifier la foi des autres. Ils vont se produire pour le Seigneur, comme s’ils étaient devant lui, et ils sauront que notre Père céleste les entend aussi Certainement qu’il entend leurs prières staffles. Ils ont travaillé ensemble avec amour pour que la promesse que le Sauveur a faite à Emma Smith se réalise: «Car mon âme met ses délices dans le chant du cœur; oui, le chant des justes est une prière pour moi, et il sera exaucé par une bénédiction sur leur tête” (D&C 25:12).

Si, en plus d’écouter, vous priez également pendant qu’ils chantent, votre prière et la leur seront exaucées par une bénédiction sur votre tête ainsi que sur la leur. Vous aurez la benédiction de sentir l’amour et l’approval du Sauveur. Tous ceux qui se joignent à ces louanges sentiront grandir leur amour pour lui.

Vous pouvez decider de prier au moment où un orateur semble sur le point de terminer son discours. Lui-même sera en train de prier intérieurement le Père afin que le Saint-Esprit lui donne les paroles de témoignage qui édifieront le cœur et accroîtront l’espérance et la détermination des auditeurs de toujours se souvenir du Sauveur et de respecter les commandements qu’ il nous a donnes.

Le témoignage ne sera pas une récitation du message. Ce sera l’affirmation d’une vérité que l’Esprit peut porter dans le cœur des personnes qui prient pour obtenir de l’aide, de l’inspiration de Dieu et recevoir l’amour pur du Christ.

Un témoignage veritable sera accordé aux orateurs. Les paroles peuvent être concises, mais elles seront portées dans le cœur de l’auditeur humble qui est venu à la conférence avide de la bonne parole de Dieu.

Je sais par expérience ce que la foi de bonnes personnes peut accomplir pour susciter des paroles de l’Esprit à la fin d’un discours. Plus d’une fois, quelqu’un m’a dit après mon témoignage : « Comment saviez-vous ce que j’avais tant besoin d’entendre ? » J’ai appris à ne pas m’étonner lorsque je ne me souviens pas d’avoir prononcé les mots. J’ai prononcé les paroles de témoignage, mais le Seigneur était là, me les donnant au moment meme. La promesse que le Seigneur nous donnera des mots au moment meme où nous en avons besoin s’applique particulièrement au témoignage (voir D&A 24:6). Écoutez attention ceux qui seront rendus au cours de cette conférence ; vous vous sentirez plus proches du seigneur.

Vous pouvez percevoir que j’arrive au moment où je vais conclude le message que j’ai essayé de transmettre par un témoignage de vérité. Vos prières vont m’aider à recevoir des paroles de témoignage qui peuvent aider quelqu’un qui desire ardemment une réponse à ses questions.

Je vous donne mon témoignage sûr que notre Père celeste, le grand Élohim, aime et connaît chacun de nous. Sous sa directorate, son of Fils, Jéhovah, a été le Créateur. Je temoigne que Jesus de Nazareth est né Fils de Dieu. Il a guéri les malades, rendu la vue aux aveugles et ressuscité les morts. Il a payé le prix de tous les péchés de chaque enfant de notre Père celeste né dans la condition mortelle. Il a rompu les liens de la mort pour tous en se levant du tombeau ce premier dimanche de Pâques. Il vit aujourd’hui, Dieu, ressuscité et glorieux.

Cette Église est la seule vraie, et il est la pierre principale de l’angle. Thomas S. Monson is a son of the prophet to the whole world. Les prophètes et les apôtres que vous entendrez au cours de cette conference parlent au nom du Seigneur. Ils sont ses serviteurs, ayant l’autorité d’agir en son nom. Il marche devant ses servitors dans le monde. Je le sais. Et j’en témoigne en son nom, au nom sacré de Jésus-Christ. Amen.

Quel est le rôle d’un sacrificateur ?

Ministre préposé aux sacrifices, notamment dans l’Antiquité. Synon. immolateur, victimaire. Les moindres gestes du sacrificateur et les moindres parties de son costume étaient réglés (Fustel de Coul., Cité antique, 1864, p.

Définition de sacrificateur

SACRIFICATEUR, -TRICE, subst.

A − RELIG. Ministre prepared for victims, noted in the antique. synon. Immolator, victim. Les moindres gestes du sacrificateur et les moindres parties de son costume étaient réglés (Fustel de Coul., Cité Antique, p. 212). Venez, conduisez-moi, devant toute la Grèce, Sur le terrible autel de la fière déesse. Venez, immolez-moi: je verrai sans horreur Se lever le couteau du sacrificateur (Moréas, Iphigénie, V, 2, p. 152).

B −

1. RELIG. JUIVE. The great sacrifice. Le grand prêtre, choice dans la famille d’Aaron. Les anciens d’Israël marchoient with Salomon devant les Tables de Moîse; le grand sacrificateur immoloit des Victimes sans nombre (Chateaubr., Martyrs, T. 1, p. 189).

2. P. anal., vieilli, RELIG. CHRÉT. [En parlant du Christ ou du prêtre qui le représente] Selon la chair, il [le Christ] is the victim you victim et selon l’esprit, il en est le prêtre et le sacrificateur (Maine de Biran, Journal, p. 356 ). Le pretre (…) est roi et plus que roi sur la terre; il est sacrificateur (Sainte-Beuve, Port-Royal, T. 1, p. 451). V. holocaust A 2 ex. from Saint-Martin.

Qui est un sacrificateur selon la Bible ?

Prêtre ayant la charge des sacrifices. Personne qui offrait un sacrifice dans l’Antiquité.

Définition de sacrificateur

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Quel psaume lire chaque matin ?

Matin après matin, le psaume 95 (94) invite à prendre pied sur la communion, l’émerveillement, la confiance et la responsabilisation, et à entrer ainsi dans sa journée par la porte étroite qui conduit à la vie.

Définition de sacrificateur

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Matin après matin, le psaume 95 (94) lade à prendre pied sur la communion, l’émerveillement, la trust et la responsabilisation, et à enter ainsi dans sa journée par la porte étroite qui circuit à la vie. Quoi de plus important, en effet, que de “se lever du bon pied” en le posant sur un sol ferme, pour prendre son élan et faire un pas de plus dans une vie qui n’est pas toujours “un jardin de roses” ? Fruit de la méditation matinale du psaume 95 (94) de la Bible, étalée sur une période de plus de cinquante ans, ce livre fait découvrir la richesse de ce texte quand il est repris comme prière du matin, lui qui est structuré autour de trois Mots : “Venez ! Entrez ! Aujourd’hui”.

Quels sont les 7 noms de Dieu ?

La tradition des sept noms divins

Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.

Définition de sacrificateur

La denomination de Dieu dans le Judaisme se fait par le nom de quatre lettres, YHWH, qui le designe le plus souvent dans la Torah, mais aussi par de nombreuses metonymies qualifiant les attributs et qualités Gottes, car le Tétragramme est réputé ineffable en raison du Troisième commandment: “Tu n’invoqueras pas le nom YHWH ton Dieu en vain” (Ex 20:7[1]).

La tradition juive considers sept de ces noms comme sacrés, devant faire l’objet de règles précises de transcription par les scribes et ne pouvant, une fois écrits, être effacés. Pour l’école de pensée juive qui consider que rien ne peut en définitive être dit de Dieu, ces différentes appellations font référence aux différents rapports de Dieu avec l’homme, au contexte dans lequel on se réfère à YHWH, aux différents facts qu’ on veut mettre en évidence.

La critique académique, et en particulier l’hypothèse documentaire ou ses dérivées, voient derrière cette multiplicité de noms une multiplicité de sources ou de dieux dans l’Israël antique que les auteurs de la Bible se seraient employee à obliterer.

Les noms de Dieu dans la Bible hébraïque [ Modifier | modifier code ]

Les premiers et principaux noms de Dieu apparaissant dans la Bible hebraïque sont Elohim, en Genèse 1:1[2], et YHWH (hebreu : י-ה-ו-ה), en Genèse 2:4[3].

Noms en ʾEl [ Modifier | modifier code ]

El (hébreu: אֵל‎) est un terme sémitique ancien, construit sur la racine ʾ-L, et se retrouvant dans l’ilū akkadien, l’El ou Il ougaritique et l’ʾIlāh arabe; il dénote la puissance (cf. Genesis 31:29: yesh lè-el yadi “Il est au pouvoir de ma main de vous faire du mal”) et, par extension, la divinité[4]. Contrairement aux textes ougaritiques où El est le nom du dieu suprême de leur panthéon, la Bible emploie le plus souvent el comme nom commun pour « un dieu », tant le dieu (Psaumes 18:31, 33 & 48; 57:3) qu ‘«un dieu étrange» (Psaumes 44:21; 81:10) ou «étranger» (Deuteronomy 32:12; Malachi 2:11) voire «les dieux» (Exode 15:11). Lorsqu’El est employee seul, il s’agit donc le plus souvent d’un terme générique pour mettre par exemple le divin et l’humain en contrate (Nombres 23:19; Isaïe 31:3; Ézéchiel 28:9; Osée 11 :9 ; Job 25:4) ; il ne désigne que rarement, et le plus souvent dans les livres et passages poétiques, le Dieu d’Israël (Genesis 33:20 “El, l’Elohim d’Israël” & Psaumes 146:5). En revanche, à l’état construit, c’est-à-dire modifié par une épithète ou combiné à un autre titre, il est préféré à Elohim et il en est de même lorsqu’il apparaît comme élément de noms théophores (Elihou, Eliyahou, Elkanah et Ismael, Israel, Samuel, Emmanuel)[5].

Eloha et Elohim [ Modifier | modifier code ]

Detail article: Elohim

Eloha (Hébreu : אֱלוֹהַּ‎) et Elohim (Hébreu : אֱלֹהִים‎) sont une forme allongée d’El. Certains considèrent Elohim comme la forme plurielle d’Eloha[5] mais selon d’autres, Eloha serait la forme «particulière» d’Elohim, lequel serait le pluriel d’El avec intercalation d’un he[4],[6] .

Eloha apparaît une soixantaine de fois dans la Hebraïque Bible, généralement dans ses textes poétiques, la plupart des events se trouvant dans le livre de Job[7]. À l’exception de quelques events dans le livre de Daniel et dans les Chroniques, il designe généralement le Dieu d’Israël. Elohim is au contraire l’un des noms divins les plus courants, apparaissant plus de deux mille fois. Il semble, à l’instar d’El, être un nom générique et polysémique qui, s’il designe le plus souvent l’Elohim d’Israël, est également Employé pour des dieux païens (Exode 12:12, 18:11, 20:3 etc.) voire une déesse (I Rois 11:5) ou des hommes considérés comme supérieurs (Exode 4:16, I Samuel 28:13, Zechariah 12:8)[5].

El Elyôn («Dieu Très-Haut») is one of the first noms divins rencontrés in the Livre de la Genese.

Noms dérivés du tetragramme [ modifier | modifier code ]

• Élie (Eliyahou) : el (Dieu) et Yah (Jah en français, diminutif de Yahvé ou Jéhovah) mean donc «Mon Dieu est Jah»

• Hanania, Ananias (Hananyahou): hanan (la compassion, la faveur) and Yah donc mean “La compassion, la faveur de Jah”

• Jean du vieux français Jehan, dérivé de Johan de l’hébreu Yohan lui même dérivé de Yehohanan (ou jéhohanan en français) : Yeho (diminutif de Jéhovah ou Yahvé) et hanan ( la pity, la faveur) mean donc « Jéhovah, ou Yahvé, a témoigné de la faveur, a été compatissant »

List of the name de Dieu [ modifier | modifier code ]

Item Details: YHWH

Le nom le plus important de Dieu dans le Judaisme est le Tétragramme, le nom à quatre lettres de Dieu, Youd-Heh-Waw-Heh, יהוה (l’hébreu se lisant de droite à gauche). Il apparaît dans le second chapter de Genese (ou, selon Certains, à la fin du premier en notarikon : Yom Hashishi Vaykhoulou Hashamaïm – le sixième jour. Furent achevés les cieux) et est habituellement rendu par «le Seigneur». Le judaïsme interdisant de prononcer ce nom en dehors de l’enceinte du Temple, la prononciation correcte du nom fut perdue — l’hébreu n’utilisant pas de voyelles. Si Certains biblistes pensent qu’il se prononçait Yahweh, l’hébraïste Joel M. Hoffman suggests qu’il n’eut jamais de prononciation. En effet, Certains textes antiques, notamment les Manuscrits de Qumran, portent le Tétragramme en caractères paleo-hebraïques, contraantant avec le reste du texte, écrit en caractères carrés, et on pense que, meme à cette période, on le lisait Adonaï, « Sir “.

Il s’agit du cas le plus connu de qeri-ketiv (“lu-écrit”, flagrante difference between l’écrit and the pronunciation), YHWH se lisant Adonaï. Le plus souvent, les religieux disent “Le Nom” (haShem) pour éviter de prononcer ce qui selon eux est interdit: “le nom de Dieu”.

YHWH contains the letters de WeHaYaH, HoweH, YHYeH (le Waw and le Yod are interchangeable): Il fut, Il est, Il sera. En un mot, l’Eternel.

Selon une autre tradition, YHWH serait la troisième personne du singulier de la forme imparfaite du verbe être — YHWH signifierait donc «Dieu est», «Dieu sera», ou peut-être «Dieu est», au sens de vit. Cette tradition s’accorde avec le fait que, dans le verset Ex 3,14, Dieu parle, se référant à lui-même à la première personne – « Je Suis ». Le Tragramme signifierait alor “Lui qui Est par Lui-même”, or simply “Lui qui Est”, le principe d’existence étant étranger à la pensée juive classique. YHWH serait donc l’expression de la conception hebraïque du monothéisme : Dieu Est par Lui-même, Créateur incréé dont l’Existence (ou l’Essence) ne dépend de rien ni personne d’autre, et sa réponse à Moïse, Je suis Celui que Je suis ou Je serai Celui qui sera (Ehye asher Ehye) serait la definition de Dieu par Lui-même.

A hypothesis, savante et non-traditionnelle, est rapportée by Martin Buber dans son Moïse : YHWH serait une emphase de la troisième personne du singulier, Hou en hebreu — « Ô Lui », Ya Hou, le Wah (Ya HouWah) étant une emphase Majesty.

L’idée de vie a été liée au Tétragramme depuis le Haut Moyen Âge. Dieu est présenté comme le “Dieu vivant”, ce qui ne signifie pas qu'” Il vit comme nous”, mais qu’Il est non-mort, par opposition aux divinités païennes, sans vie et inanimées.

Dieu, sous son nom en quatre lettres, est presenté dans la Bible elle-même comme la source et l’auteur de la vie[8].

Recomposé en français comme Yahweh (plus rarement Yawho ou Yawha), parfois Jéhovah, le Tetragramme est vraisemblabelment à l’origine du Yao des gnostiques et, peut-être, du dieu Yaw mentioned dans les sources ugaritiques. En effet, si on take que les lettres Heh (H) du Tétragramme servent d’augmentation sacrée au nom divin, comme le Heh d’Abram devenant AbraHam et de Saraï devenant SaraH, l’association devient évidente. Et, bien que le Heh final de YHWH ait sûrement été muet en hébreu classique, le Heh entre le Yod et le Waw était, lui, presque Certainement prononcé.

Verbaliser le tetragrams [ modifier | modifier code ]

Le Tétragramme en phénicien (1100 AEC – 300 EC), cananéen (1000 AEC ver le début de l’EC) et en écriture hebraïque modern (carrée).

L’interdiction de blasphémer, c’est-à-dire de prononcer le nom de Dieu en vain, crime passible de la peine capitale dans la loi juive, ne se rapporte qu’au Tétragramme (traité Soferim iv.; cf. Sanh. 66a).

Tous les courants actuels du Judaism enseignent que le Tetragramme, nom de Dieu en quatre lettres, ne peut être prononcé que par le Grand Prêtre dans le Temple. Selon une tradition, celui-ci ne le prononçait généralement qu’à Yom Kippour, et l’orchestre liturgique jouait plus fort à ce moment, de sorte que le Grand Prêtre ne soit pas entendu.

Le Temple de Jérusalem ayant été détruit, ce nom n’est jamais prononcé par les Juifs lors de rituels religieux, ni lors de conversations privées. Certain Juifs réformés le prononcent parfois, à titre éducatif uniquement, et avec grand respect.

Dans la prière, the tetragramme is replaced by “אֲדֹנָי” Adonaï, and in the conversation courante by Hashem.

Certain biblical passages, comme Rt 2:4, tendent tout de même à indiquer que, fut un temps où ce nom était d’usage courant. De même, le fait que beaucoup de noms hebraïques compportent une partie des lettres du Tétragramme, mais pas toutes, sauf «יְהוּדָה» Yehoudah (YHWDH), suggest que les gens connaissaient la verbalisation du Tétragramme, afin de pouvoir établir la connexion .

Dans Certaines traductions de la Bible, le Tetragramme est replaced by “le S EIGNEUR”.

On pense également que Sabbataï Tsevi recruta ses first pupils en leur «révélant» la verbalisation du Tétragramme.

La Loi juive, se basant sur une set talmudique (Pirke Avot 1:1), établit des «haies» autour de la Torah, c’est-à-dire des règles secondaires afin d’éloigner le risque de transgresser les règles primaires.

C’est pourquoi le terme Adonaï lui-même n’est employee qu’au cours de la prière. Lors des Conversations, on s’y référera comme HaShem[9], “Le Nom” (voir Lévitique 24:11) or Schem-hamephorash, “Le Nom dévoilé”.

Beaucoup de Juifs pratiquants poussent le scrupule à étendre cette interdiction à la plupart des noms listés ci-dessous, et Certains les assortissent d’un k (kel pour El, elokim pour Elohim, …) en dehors de l’usage religieux. Cet Usage est toutefois vivement critiqué par Certaines autorités rabbiniques, surtout sépharades, comme le Rav Messas zatsa’l, qui rapprochent ces kel de lekalkel (« détruire », en hebreu).

C’est dans le même esprit que beaucoup de Juifs préféreront écrire D.ieu, D-ieu, D’ieu ou D.eu que «Dieu» car, bien que cette traduction n’ait rien de sacré à première vue, elle se refer to Lui, and acquire a value par là meme. Là aussi, cette pratique n’est pas du goût de tout le monde, et le Rav Shlomo Ganzfried (ashkénaze), estime qu’aucun des noms de Dieu ne devrait être effacé, tronqué ou déformé, même en traduction. D’autres penseurs et philosophes considered qu’il est inutile de considered le substantif français Dieu comme un terme divin de près ou de loin étant donné que son étymologie provient du latin dies qui désigne le jour. Or, le jour ne peut être considered comme une divinité pour le Judaisme. This means donc le jour mais il désigne aussi l’ancien Zeus des Grecs, c’est donc une divinité païenne, si par respect, l’on écrit D… ainsi en pensant évoquer Le Maître du monde, c’est selon Ariane Kalfa, philosophe du judaïsme et psychanalyste, une grave erreur, car l’on respecte par là-même Zeus et Dies, au lieu de verser dans le monothéisme dont les juifs sont les premiers héritiers.

Hadavar (hébreu: הדבר‎), signifier “la parole” (le “verbe”) or “l’occurrence qu’on ne peut décrire”, est d’un use equivalent, surtout aux États-Unis.

Autres noms de Dieu (par ordre alphabétique) [ Modifier | modifier code ]

Adonaï (Hébreu: אֲדֹנָי‎), est la forme plurielle d’Adon, un terme qui signifie “mon maître”, Bien que pluriel, Adonaï se conjugue au singulier (voir aussi le pluriel Elohim). La forme singulière, Adoni «אֲדֹנִי» («mon maître»), n’est jamais utilisée dans la Bible pour se référer à Dieu. Elle était par contre en use chez les Phéniciens pour leur dieu Tammouz, et est à l’origine du nom grec d’Adonis. Les Juifs n’utilisent le singulier que pour se référer à une personne éminente ou, en hebreu modern, comme equivalent de monsieur. On peut y voir une évolution analogous to français, de monseigneur à monsieur.

Pour les critiques, Adonaï et d’autres noms pourraient être écrits au pluriel afin de mettre en exergue que ce Dieu “Un” englobe toutes les divinités qu’auraient adorées les ances des Israélites ainsi que les peuplades avoisinantes. C’est un raisonnement analogous to mais d’origine et à finalité différentes que tenait le rabbin Léon Ashkénasi lorsqu’il parlait de “Lui-les dieux”, Lui qui représente toutes les divinités que les hommes auraient pu Imaginer, mais dont les Israélites ne These are the days that are shown, for the dialogue of Abraham with Melchisédek.

The pronunciation du Tetragramme étant interdite depuis que le Temple de Jérusalem a été détruit, les Juifs s’dressent à Lui par Adonaï dans leurs prières, et dans la vie de tous les jours, HaShem (Le Nom). Lorsque les Massorètes ajoutèrent la ponctuation (nikkoud) au texte de la Bible hebraïque au Ier siècle, ils donnèrent au Tétragramme les voyelles d’Adonaï, afin de rappeler au lecteur qu’il faut le lire Adonaï (ce procédé est appelé keri-ketiv) . Les traducteurs sépharades de la Bible de Ferrare (en) vont encore plus loin, en substituant un simple A. à Adonaï.

Ehyeh Acher Ehyeh [ Modifier | modifier code ]

Ehyeh Acher Ehyeh (Hébreu: אֶֽהְיֶ֖ה אֲשֶׁ֣ר אֶֽהְיֶ֑ה): Telle est la réponse que fait dieu à moïse, lorsque celui-ci lui danacht quel est son nom, celui qu’il Devra Donner aux d’israël qui Narron in demand 3: 14).

Ehyeh est la première personne singulier de la forme imparfaite, also appelée la forme inaccomplie (à ne pas confondre avec la forme accomplie Haya, utilisée en hébreu modern pour rendre le passé et notamment l’imparfait). Ehyeh denote de la puissance Divine en cours de réalisation, dans le present et le futur immédiat, c’est-à-dire comme advenir.

Certaines autorités l’interprètent comme “Je Serai celui qui Sera (près de Son peuple)” or “Je Serai car Je Serai”, en se basant sur le verset voisin (Ex 3,12) “Je Serai [ehyeh] avec toi” , auquel ferait reference le second ehyeh.

D’autres pensent que cette phrase entière forme un seul nom. Le Targoum Onkelos et le Talmud (Baba Batra 73a) retranscrivent cette phrase sans la traduire. C’est sur cette base que la traduction la plus communément acceptée is “Je Suis qui Je Suis”. A frequent interpretation is also “J’adviens tel que J’adviens”, mais on pourrait tout aussi bien la traduire par “J’adviens tel que J’adviens”.

Le Tetragramme lui-même pourrait deriver de cette racine verbale.

Elohim (et Eloah) [ Modifier | modifier code ]

Detail article: Elohim

Elohim (Hebrew: אֱלֹהִים‎) is the name le plus couramment utilisé de Dieu dans la Bible hebraïque, et le premier à y apparaître (Gn 1:1). Contrairement aux autres noms mentioned in this article, il est also utilisé pour designer les divinités des autres religions (ex : Ex 9,1, Ex 12,12, Ex 20,3) .

En dépit du -im, terminaison habituelle de nombreux pluriels en hebreu, le mot Elohim, lorsqu’il se réfère au Dieu d’Israël, est grammaticalement singulier, le verbe qui le suit l’étant aussi. Les critiques y voient une preuve d’un polytheisme originel, ne manquant pas de souligner, par example, que le verset Gn 1,25 porte le pluriel, comme le verset Ex 20,2, qui parle des elohim des nations. Joël M. Hoffman suggests qu’אֱלֹהִים dérive d’אֵילִם, «elim» (dieux), avec un heh inséré à dessein.1

Toutefois, l’hébreu admet l’existence de mots exclusivement pluriels (de forme), comme Behemoth ou, en hebreu modern, be’alim (« propriétaire »), qui se conjuguent au singulier malgré leur apparence.

Pour les savants juifs et chrétiens, ce pluriel evident n’a jamais posé problem : à propos du fameux verset Gen. 1:25, un midrash rapporté par Rachi met en scene Moïse attirant l’attention de Dieu sur le fait que les adversaires du monothéisme pourraient entirer quelque argument. “Écris!, lui est-il répondu, ceux qui veulent errer erreront”.

Beaucoup y voient non pas un nom, mais un attribut (l’Elohim, le Tétragramme qui Est Elohim). Le Ramban rapporte une tradition expliquant Elohim comme El hem, “Puissance d’eux”, c’est-à-dire Puissance de tout et tous, sur tout et tous ou, simplement, le Tout-puissant.

Elohim, le Tetragrams Elohim). Le Ramban rapporte une tradition expliquant Elohim comme, “Puissance d’eux”, c’est-à-dire Puissance de tout et tous, sur tout et tous ou, simplement, le Tout-puissant. D’autres interpret le -im comme l’expression de la majesté (pluralis majestatis) or de l’excellence (pluralis excellentiae), marque de grandeur et de dignité. Cf. l’usage similaire du pluriel pour ba’al (maître) et adon (seigneur). Cette position traditionalnelle a été révisée par les exégètes chrétiens Modernes, qui considered cette interpretation comme fallacieuse: pour eux, l’usage du pluriel de majesté n’est venu que bien plus tard. Selon Richard Toporoski, une autorité en matière de classiques, il apparaît pour la première fois sous Diocletien (284-305 EC)² [source insuffisante]. Gesenius écrit dans sa Grammaire hebrïque ³ que :

« Les grammairiens Juifs appellent ces pluriels … plur. virium or virtutum; les grammairiens plus tardifs les nahmet plur. excellentiae, magnitudinis, or plur. maiestaticus.Ce nom a été suggéré par le Nous utilisé par les rois parlant d’eux-mêmes. (cf. 10:19 and 11:31); and le pluriel utilisé par Dieu in Gn 1,26 and 11,;7; 6.8 a également été correctement interpreted de la sorte. Il est pendant soit communicatif (incluant les anges présents, ce qui est le cas d’Isaïe 6:8 et Gen. 3:22), soit, selon d’autres, unedication de la plénitude de force et pouvoir implicite.

La meilleure explication est celle d’un pluriel d’auto-deliberation.

L’utilisation d’un pluriel comme mark de respect est assez étrangère à l’hébreu. »

Dans la perspective chrétienne, ce nom au pluriel mais toujours associé à un verbe au singulier, transcrit en mots humains la plénitude de Dieu, être unique composé de trois « personnes » ou hypostases : Dieu-le Père, Dieu-le Fils (Jésus) , Saint Dieu-l’Esprit. À noter que cette conception des trois personnes de la divinité se trouve présentée dès le troisième mot de la Bible «Berechit bara Elohim (…)» = litt: «En un beginning, Dieux créa (…)».

personnes de la divinité se trouve présentée dès le mot de la Bible «Berechit bara Elohim (…)» = suffered: «En un beginning, Dieux créa (…)». La forme plurielle -im peut également être include comme une dénotation d’abstraction, cf. en hébreu hayim («vie») ou betoulim («virginité», mais peut aussi se comprendre comme signes de virginité). Dans ce sens, Elohim means “Divinité” or “Déité”. Le mot hayim est assez similairement, syntaxiquement singulier lorsqu’il est utilisé comme nom, mais pluriel sinon.

La forme Eloah (אֱלוֹהַּ), qui peut sembler être la forme singulière d’Elohim) est beaucoup plus rare, utilisée dans des œuvres poétiques and prosaïques beaucoup plus tardives (41 occurrences in the Livre de Job).

Le terme Eloah est used in six endroits pour designer des divinités étrangères (ex: 32,15 et Da 11,37-38) . Il y designe une divinité locale.

C’est sur cette base que Certains pensent qu’Eloah est la forme non pas singulière, mais particulière d'”Elohim” : on peut dire de Lui qu’Il fut l’Eloah d’Abraham, l’Eloah d’Isaac, l’Eloah de Jacob à une époque où ils étaient les seuls à le penser, mais dès l’instant où une communauté comprend l’idée de Son existence, le terme d’Eloah devient impropre, car « si mon Dieu est effetivation mon Dieu , Il ne pourrait être le Dieu de quelqu’un d’autre ».

On retrouve l’equivalent d’Eloah en Arabe (Ilah, singulier – « un dieu », opposé à Allah – « le Dieu ») et en Araméen (Elaha).

La racine d’Elohim et Eloah est inconnue.

Selon les Sages juifs (cf. above), ils dérivent de El, “puissance”, ce qui expliquerait son emploi dans Ex 21.6 pour designer des “juges et hommes puissants”, et l’obscur chapter 6 de Genese, où il est question de “fils d’Elohim” : anges ou simples fils de puissants ?

Une autre hypothèse les fait provenir d’un verbe evidenté à l’arabe alih (être égaré, effrayé, chercher refuge against the Peur) — Eloah et Elohim signifieraient as “Lui qui inspire la crainte et la révérence” or “Lui en Qui l’on trouve refuge contre la peur ».

1Hoffman Joel M., 2004. In the Beginning: A Brief History of the Hebrew Language NYU Press.

²R. Traduction à partir de Toporoski, “What was the origin of the royal ‘we’ and why is it no longer used?” », (Times of London, 29 May 2002. Ed. F1, p. 32)

³ Traduction à partir de Gesenius’ Hebrew Grammar (A.E. Cowley, ed., Oxford, 1976, p. 398)

Detail article: Elyôn

Le nom `Elyôn (Hebreu: עֶלְיוֹן‎) est utilized avec El, YHWH ou Elohim, rarement seul ( 14:14). It is also used in the passages poetic data of the final composition of the Bible. Le terme est encore utilisé en Hébreu modern, et signifie «suprême», cf. «cour suprême».

Étymologiquement, le terme provient de עַל, « sur », « au-dessus de » — עֶלְיוֹן en est la forme superlative, le très-haut, le plus-haut.

Les Phéniciens used un nom assez similaire pour Dieu, rendu en grec par Έλιον. Il est également evidenté à l’arabe `Aliyy.

Maqom – littéralement, “le Lieu”, cf. “Le monde est Son lieu” – l’Omniprésent. Concept used in term of Tzimtzoum.

El Shaddai, also spelled El Shadday, is a traditional lore in Dieu Tout-Puissant. Le nom Shaddaï (Hébreu: שַׁדַּי‎), qui apparaît aussi bien en combinaison avec “El” qu’indépendamment de lui, est utilisé comme nom divin, particulièrement dans le Livre de Job.

The nombreuses hypotheses are not proposed for expliquer l’origine de ce mot.

Detail article: Shalom

On traduit généralement Shalom par paix (Hébreu: שלום). Bien que juste, le terme choisi est un peu limitatif. En realité, ce mot, evidenté à shalem (שלם, plein), representing l’état atteint dans la plenitude, tel que rapporté par Isaïe: « Il forme la lumière, crée la tenèbre, et fait la shalom ». Il concilie les extremes et les opposés, qui vivent en bonne entente de son fait.

C’est le Talmud (Shab. 10b) qui dit que «le nom de Dieu est ‘Shalom’», en se basant sur 6,23. En conséquence, il est interdit, pour cause d’inconvenance, de saluer quelqu’un par shalom (qui est utilisé pour dire “bonjour” ou “au revoir”, en hebreu modern day comme en hebreu biblique) en des lieux impurs, comme une hall de bain ou des latrines.

Si Shalom n’est pastellement répandu comme prénom, il n’en va pas de même de Sh’lomo (שלמה, Solomon), littéralement Sa paix, faisant référence au Dieu de Shalom.

Detail article: Shekhina

La Shekhinah (Hebrew: שכינה‎, «La Présente», «La Résidente») is the presence or manifestation of the Dieu descendue au sein de l’humanité. Ce terme, qui n’apparaît pas dans le Tanakh, fut utilisé par les rabbanim pour parler de la presence de Dieu ressentie dans le Tabernacle oder au sein du peuple d’Israël.

Des noms principaux de Dieu, c’est le seul qui soit feminine dans la grammaire Hebraïque.

Detail article: Yes

Le nom Yah (YH) is the composition of the two premieres of Lettres du Tétragramme. Selon Certains, il s’agit d’une abréviation, selon d’autres d’une forme primitive du Tétragramme. C’est en tout cas ce nom qui est employee dans Alléluia (Hallelou Yah, Rendez louange à Yah).

Les religions rastafari et African Hebrew Israelites of Jerusalem, deux religions nationalistes noires originaires du continent américain, utilisent toutes deux le terms pour designer Dieu, la première sous la grafie latine Jah, la seconde sous la grafie Yah.

Les noms YHWH et Elohim s’accompagnent fréquemment du mot tzevaot (« armées », Hébreu: צבאות‎) : YHWH Elohei Tzevaot (« YHWH, Dieu des armées »), Elohei Tzevaot (« Dieu des armées »), Adonaï YHWH Tzevaot (« Seigneur YHWH des armées ») ou, le plus souvent mais improprement[10], YHWH Tzevaot (« YHVH des armées »). La transliteration habitual est Sabaoth en latin, Cébaoth en français.

Ce nom qui peut être rapproché du dieu Reshep (il se retrouve dans la littérature ougaritique dans l’expression ršp ṣb’i « Reshep, l’armée »[11]) n’apparaît pas dans la Torah, ni dans Josué, ni dans Juges, mais il est souvent utilisé dans les livres prophecies.

Le sens premier de tzevaot se trouve dans 17.45, or it is interpreted as “le Dieu des armées d’Israël”. Le mot tzevaot isolé signifie toujours « armées » ou « groups » [d’hommes armés] ( voir Ex 6,26, Ex 7,4, Ex 12,41 ), alors que le singulier désigne souvent lamultiple céleste (ou terrestre) , cf. Gen 2:4 : ‘les cieux et la terre, et toutes leurs armées/multitudes. C’est donc au sens second qu’El Tzevaot a désigné Dieu comme le Maître des armées célestes (les anges), etc.

La transliteration latine Sabaoth, ainsi que les grandsmotives dorés de vigne sur les portes du temple constructed by Herode, induisit les Romains à identifier Sabaoth avec le dieu du vin Sabazios.

On retrouve également le nom Sabaoth associé à un demi-dieu dans les textes gnostiques de Bibliothèque de Nag Hammadi – Sabaoth le fils de Yaltabaoth.

Ces deux Identifications, portant sur Sabaoth et non Tzevaot sont doncaccinelles et sans rapport avec ce nom.

Other names, formulas or denominations of Dieu [ modifier | modifier code ]

Il s’agit soit d’usages moins frequents, soit de noms little mentioned dans la Torah, soit encore de metonymies.

Abir—Mighty.

– Powerful. Adon Olam, Ribon Olam or Ribbono shel Olam – Maître du monde.

, ou – Maître du monde. Aibishter (du Yiddish אײבערשטער) – Le Plus Haut.

(du Yiddish אײבערשטער) — Le Plus Haut. Boreh – [le] Créateur.

— [le] Créateur. Avinou Malkeinou — Notre Pere notre Roi.

— Notre Pere notre Roi. Melekh ha-Melakhim – Le Roi des rois.

— Le Roi des Rois. Ehiyeh ch’Ehiyeh — Je Suis ce que Je Suis: une forme hebraïque modern de Ehyeh acher Ehyeh.

— Je Suis ce que Je Suis : une forme hebraïque modern de . Elohei Avraham , Elohei Yitzchak ve Elohei Ya’aqov – Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob.

, — Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob. Magen Avraham — Protecteur d’Abraham.

— Protecteur d’Abraham. El haGuibor — Dieu le Puissant.

— Dieu le Puissant. Emet—Verite.

— Verite. E’in Sof — Infini, plutôt utilisé par la Kabbale.

— Infini, plutôt utilisé par la Kabbale. Ro’è Israel — Berger d’Israël. cf. * YHWH-Ra-ah – Le Seigneur mon Berger (Psaumes 23:1)

— Berger d’Israël. HaKaddosh, Baroukh Hou – Le Saint, beni soit-Il.

— Le Saint, beni soit-Il. Kaddosh Israel – Saint d’Israël.

— Saint d’Israël. YHWH-Yireh—Dieu pourvoira (Genesis 22:13, 14).

— Dieu pourvoira (Genesis 22:13, 14). YHWH-Rapha—Dieu guérisseur (Exodus 15:26).

— Dieu guérisseur (Exodus 15:26). YHWH-Niss’i – Dieu ma/notre bannière (Exodus 17:8-15).

— Dieu ma/notre bannière (Exode 17:8-15). YHWH-Shalom – Dieu [est] Paix (Juges 6:24).

— Dieu [est] Paix (Juges 6:24). YHWH-Tsidkenou – Seigneur-notre Justice (Jérémie 23:6).

— Seigneur-notre Justice (Jérémie 23:6). YHWH-Shama – Dieu [Est] là (Ezekiel 48:35).

— Dieu [Est] là (Ezekiel 48:35). Tzour Israel — Roc d’Israël.

Les wonders des noms divins [ Modifier | modifier code ]

Il est écrit dans la Haggadah (le livre traditionnellement lu à Pessa’h) que les noms divins pouvaient être utilisés pour faire des wonders, si l’on connaît la combinaison[12].

Usage dans la Kabbale [ Modifier | modifier code ]

Le système cosmologique de la Kabbale explains the meaning and importance of the name. L’un des plus importants est celui de Ein Sof אין סוף (“Sans fin”), qui est au-dessus des Sefirot.

Le nom à 42 letters comporte les noms combinés de יהוה ,אדוני ,הויה et אהיה.

Le nom à 45 letters a une valeur équivalente au tetragrams dont la valeur numérique est de 45 (יו”ד ה”א ו”ו ה”א).

Le nom à 72 letters est basé sur trois versets d’Exode (Ex 14:19-21), which begins with «Vayissa», «Vayavo», «Vayet», respectively. Chacun de ces versets comporte 72 lettres, et lorsqu’ils sont combinés, ils forment 72 noms.

Le Sefer Yetzira explains how the creation of the world is fut réalisée par manipulation des quatre lettres formant le Tétragramme[13].

Lois sur l’écriture des noms divins [ Modifier | modifier code ]

Selon la tradition juive, le caractère sacré des noms divins doit être reconnu par le sofer, le scribe professionnel qui retranscrit les Écritures et les fragments insérés dans les tefillin et les mezouzot. Avant d’écrire l’un des noms, il se prepare mentalement à les sanctifier. Une fois la transcription commencée, il ne s’interrompt pas, même pour saluer un roi. S’il comet une erreur, il ne peut effacer le nom, mais doit l’entourer d’une ligne signifiant que le travail est annulé, et placer la page entière dans une gueniza (endroit où l’on place les texts sacrés devenus p ‘soulim, impropres à l’usage). A new page is commencée.

La tradition des sept noms divins [ Modifier | modifier code ]

Tous les noms ne necessitent pas ces soins. Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.

Cependant, Rabbi Yosse considérait Tzevaot comme un nom commun (Soferim 4:1; Yer. R.H. 1:1; Av. R.N. 34), et Rabbi Ishmaël estimait que même Elohim était un nom commun (Sanh. 66a).

Tous les autres noms, comme Miséricordieux, Gracieux, etc. represent the seulement of the attribute, également communs aux êtres humains (Sheb. 35a).

Beaucoup de Juifs n’écrivent jamais le nom de Dieu sur papier (sur ordinateur, c’est plus ou moins autorisé, voir les responses de rabbins à ce sujet), ni ne le prononcent, afin d’éviter de le profaner. Ils disent «Hashem», «Lui», or simply «Dieu». En Israël, Elohim, dont «Dieu» est la traduction consacrée, se prononce informellement, mais en diaspora, le terme Dieu existant, on préfère prononcer Elokim si on ne prie pas.

Notes and references [ modifier | modifier code ]

Quel est le texte le plus ancien du Nouveau Testament ?

Le plus ancien texte du Nouveau Testament retrouvé à ce jour est le papyrus P52 de la bibliothèque Rylands, contenant un fragment de l’Évangile selon Jean, qui date de la première moitié du II e siècle.

Définition de sacrificateur

La datation de la Bible consists of determining the composition period and editing the chaque livre qui la compose, et si possible de chaque unité textuelle composant ces livres.

La Bible is presented as a compilation of the texts read or remembered from different periods. La Bible hébraïque includes three parties, qui se sont constituées progressivement. Ce sont, de la plus ancienne à la plus récente: la Torah (תּוֹרָה, la Loi or Pentateuque), les Nevi’im (נביאים, les Prophètes) and les Ketouvim (כתובים les Autres Écrits or Hagiographes). A cette list s’apart les livres deutérocanoniques des catholiques et des orthodoxes ainsi que le Nouveau Testament, propre aux chrétiens.

Depuis le XIXe siècle, des fouilles archéologiques au Moyen-Orient ont fourni de nouveaux éléments sur the contexte dans lequel la Bible a pris forme. Ces découvertes permettent de mieux préciser l’histoire des royaumes d’Israël et de Judah, aidant à mieux comprendre la formation du texte biblique qui s’y inscrit. The tradition faisant de Moïse l’auteur de la Torah, de David l’auteur des Psaumes et de Salomon celui des Proverbs is a démentie, et une nouvelle approche historique et critique s’opère, reposant sur une base plus historique et scientifique que proprement more religious.

The datation des textes bibliques dépend de méthodes tells que la philologie, la paleographie, la comparison avec d’autres textes antiques, et l’archéologie. Les data de rédaction des textes de la Bible hebrïque sont parfois difficiles à établir, et Certaines datations font l’objet de debates entre les spécialistes. La majorité d’entre eux s’accordent toutefois pour situer son écriture entre les VIIIe et IIe siècle av. J.-C. , et celle du Nouveau Testament entre le milieu du Ier et le début du IIe siècle.

Le plus ancien objet sur lequel on retrouve un texte biblique est l’amulette de Ketef Hinnom, dated verse 600 av. J.-C. Le plus ancien manuscrit de la Bible hebraïque retrouvé à ce jour est probablement le fragment d’un rouleau des livres de Samuel, datant du milieu ou de la fin du IIIe siècle av. J.-C. , and discovered at Qumran in Samarie. Le plus ancien texte du Nouveau Testament retrouvé à ce jour est le papyrus P52 de la bibliothèque Rylands, containing a fragment de l’Évangile selon Jean, qui date de la première moitié du IIe siècle. Les plus anciennes versions complètes des écrits vétérotestamentaires rédigés en grec qui nous sont parvenues sont deux copies de la Septante datées du IVe siècle : le Codex Sinaiticus et le Codex Vaticanus. Depuis qu’une partie du Codex d’Alep a été perdue en 1947, le plus ancien manuscrit complet du massorétique texte, qui ser de base aux éditions of Bibles Modernes, est the Codex Leningradensis, datant du XIe siècle.

data methods [ modifier | modifier code ]

Puisque aucun manuscrit original de la Bible n’est available de nos jours, la datation doit s’appuyer sur l’analyse du texte lui-même ainsi que du milieu dans lequel il a pris forme. Cette connaissance fait intervenir la critique philologique et l’analyse rédactionnelle, la comparison avec d’autres textes antiques, la recherche de témoins textuels, et l’archéologie. Utilisées conjointement, ces technique permettent de dresser un tableau plus ou moins complet de l’histoire du texte[1].

The analysis of the criticism confirms that the majority of the biblical books ne sont pas écrits de bout en bout par une seule main, mais subissent au contraire des réécritures plus ou moins importantes tout au long de leur histoire. Nombre d’entre eux sont donc construits comme of collections de traditions ou de fragments épars, ensuite regroupés et reliés pour former un all coherent. Ils peuvent être ensuite complétés, retravaillés et currentisés suivant les options ou nécessités théologiques du moment[1].

La découverte et le déchiffrage à la fin du XIXe siècle de textes akkadiens ressemblant étrangement aux récits bibliques[2], puis celle durant le XXe siècle des manuscrits de la mer Morte, ont modifié la vision traditionnelle de la Bible[3]. L’archéologie a, quant à elle, permis aux exégètes d’établir des hypothèses plus précises et plus sûres. Si les debates restent vifs sur quelques datations, les grandes lignes de l’histoire du texte paraissent désormais tracees[4].

Manuscrits les plus anciens [ Modifier | modifier code ]

Les plus anciens ensembles de textes de la Bible hebraïque sont trouvés parmi les Manuscrits de la mer Morte, et sont datés between IIIe et le Ier siècle av. J.-C. [5], le chercheur Frank Moore Cross datant un petit fragment du livre de Samuel (4QSamb) de la fin du IIIe siècle[6]. Tous les livres du Tanakh, à l’exception du livre d’Esther, see trouvent dans la documentation de Qumran, Certains en plusieurs exemplaires, d’autres à l’état fragmentaire[7].

Parmi les plus anciens manuscrits grecs se trouvent des fragments du Lévitique et du Deutéronome de la Septante datant du IIe siècle av. J.-C. , ainsi que des fragments de la Genese, de l’Exode, des Nombres, et des petits prophetes datant du Ier siècle av. J.-C. Les manuscrits anciens relativement complets de la Septante sont, entre autres, le Codex Vaticanus ( IVe siècle), le Codex Sinaiticus ( IVe siècle) and le Codex Alexandrinus ( Ve siècle) [N 1]. Ce sont les plus anciens manuscrits presque complets de l’Ancien Testament, toutes langues confondues. La Torah samaritaine, qui aurait vu le jour sous la dynastie hasmonéenne, est aussi un manuscrit biblique ancien[8]. Tout comme la Peshitta, cette dernière étant une traduction de la Bible chrétienne en syriaque achevée semble-t-il durant le IVe siècle[9].

Le texte massorétique de la Torah est considered par la tradition comme assemblé au IVe siècle, mais les plus anciens manuscrits complets (ou presque complets) sont le Codex d’Alep (verse 920) et le Codex de Léningrad (1008) [N 2] .

Historicité de la Bible [ Modifier | modifier code ]

Remise en cause de la Tradition [ Modifier | modifier code ]

Durant des siècles, les lecteurs de la Bible la considered majoritairement comme la parole inspired de Dieu, parole qu’Il aurait dictée à des sages, des prophètes ou des grands-prêtres israélites. Ainsi, the tradition attribue to the rédaction du Pentateuque à Moïse; les livres de Josué, des Juges et de Samuel sont alors considered comme des archives sacrées recueillies par le prophète Samuel; Jérémie is the author of the first and second books of the Rois, David the Psaumes-Celui and Solomon the Proverbs and the Cantique des Cantiques. La Bible étant considered comme d’origine divine, la véracité historique du récit n’est alors pas remise en cause[10]. Cette Tradition remonte à l’Antiquité. Or, durant cette période, il est courant d’utiliser la pseudépiographie, technique qui existe à attribute un texte récemment écrit à un illustre auteur, parfois disparu depuis longtemps ou même purement imaginaire. Il est désormais admis, dans les milieux académiques, que ce procédé prévaut également pour ce qui est de la tradition biblique. C’est ainsi que la tradition judéo-chrétienne attribue les livres de l’Ancien Testament à differents auteurs, comme il est énoncé ci-dessus[11].

La Bible est Pendant Longtemps le seul moyen d’accéder à l’histoire de l’ancien Israel[12]. À partir du XIXe siècle, l’archéologie dite “biblique” begin par s’interested uniquement à la Confirmation du récit de la Bible, par des fouilles sur le terrain[13],[14]. Toutefois, les progresses technique aidant, les archéologues s’écartent de plus en plus de cette approche, comprenant que le texte biblique est écrit en grande partie bien après les évènements qu’il related, et ce dans un but principalement théologique[15]. L’archéologie “biblique”, qui prend la Bible comme point de repère pour chaque fouille et sert à interpreter chaque découverte, fait alors place à l’archéologie “palestinienne”, pour laquelle la Bible est un texte parmi d’autres[16] . Les recherches historiques et archéologiques demontrent en effet que le texte biblique n’est pas toujours un témoignage historique fiable, notammentconcernant les récits originels[17]. Albert de Pury resumes cela en disant que “les récits des origines sont par definition mythiques […], qu’ils aient ou non un fondement historique”[18].

Entre positions traditionalistes et minimalistisches [ modifier | modifier code ]

Malgré ces considerations, d’others ne sont pas prêts à renoncer si facilement à l’historicité de la Bible. C’est notamment le cas de l’egyptologue Kenneth Kitchen, qui defended l’idée d’un texte biblique historiquement vrai à partir de l’histoire d’Abraham[19]. Cependant, le professeur d’Ancien Testament John J. Collins affirms que l’étude de son travail montre qu’il s’agit de l’œuvre d’un apologiste. Pour appuyer cette affirmation, citing Collins par example le fait que Kitchen explique le manque de traces d’occupation de Jéricho au XIIIe siècle av. J.-C. par l’érosion du sol. Collins quote aussi le fait que la ville d’Aï ne presente pas de traces d’occupation, contrairement à ce que l’on pourrait Attendre si le récit biblique était historiquement vrai, mais que kitchen n’y voit pas de confliction car, selon lui, des fouilles futures devraient montrer des traces d’occupation aux alentours. Malgré tout, Kitchen doit bien admettre qu’il n’existe aucune de l’Exode, mais reste convaincu que la Bible est vraie tant que le contraire n’a pas été prouvé[20],[21].

A similar approach is suggested by Iain Provan, Phillips Long, and Tremper Longman in their book A Bible History of Israel (Une histoire biblique d’Israël). Ces derniers voient l’histoire biblique comme un récit fiable, meme s’ils admettent ne disposer d’aucune autre source que la Bible pour ce qui est plus ancien que l’installation en terre d’Israël. Cela ne les empêche pas de dater assez précisément l’histoire d’Abraham au milieu du XXIIe siècle av. J.-C. et de conclure que le récit biblique s’accorde assez bien avec ce qui est connu des sociétés anciennes comme celle de Mari[22]. Selon Collins, meme s’ils utilisent la pensée critique pour remettre en cause les conclusions of the specialist, ils ne le font que superficiellement, rejetant la conclusion de l’approche critique qui amène à douter de la fiabilité de toute connaissance historique, incluant celle que l’on veut a priori defended[23].

À l’opposé de cette approche, les theses “minimalistes” de Thomas L. Thompson et Niels Peter Lemche, de l’École de Copenhague, situent la Bible comme un livre écrit durant la période hellénistique[24]. L’idée de Thompson is que meme si les details fournis par le récit biblique en font un récit plausible, cela ne suffit pas pour rendre le récit historiquement fiable. Selon lui, les pratiques et coutumes qui y sont décrites sont communes à une grande variété de lieux et d’époques, et donc faire un rapprochement between elles et les coutumes d’autres people antiques, comme celui de Nuzi, est trop aléatoire pour être determining. De plus, il affirme que Certains des rapprochements faits par les tenants de l’historicité du texte, comme William Albright, sont all simplement faux[25]. Selon Collins, les théories de Thompson sont si extremes qu’elles ne méritent pas d’être debates[20]. William Dever les récuse aussi, les accusant d’être trop exagérées et révolutionnaires pour être vraies. Il fait de meme pour celles de Lemche, qu’il qualifie de “révisionnistes”[26]. Malgré ces critiques, Megan Moore and Brad Kelle confirm que le travail de Thompson, associé à celui de John Van Seters, a permis de remettre en cause la datation parfois trop haute de la Composition de l’histoire des patriarches[25].

La grande majorité des spécialistes se situent entre ces deux extremes [N 3]. La suite de cet article presente leurs théories.

Afin de sauver l’historicité du récit biblique, Certains avancent l’idée qu’il aurait été transmis oralement pendant des dizaines de générations, sans modification notable du texte[N 4],[27]. Depuis, les ethnologues et anthropologues moderns ont démontré que longs récits épiques circulent pendant longtemps sous forme orale, comme l’Épopée du roi Gesar[28] avec plus de millions de mots, les Eddas scandinaves, les traditions des griots ouest-africaines, les légendes brésiliennes du Charlegmane[29], between other people. En se basant sur des informations ethnographiques, la littérature comparée et l’histoire de la Composition de la Mésopotamie, des specialists de la Bible tels qu’Eduard Nielsen ont démontré comment un texte oral peut être composé, transmis et finalement fixé sur la forme écrite . De toute évidence, il y a des variations à chaque representation[30].

Pourtant, Certains érudits bibliques soulignent les difficés de transmettre un texte long et stable qui ne comporte presque aucune aide à la memorisation, comme c’est le cas de la Bible, sur une grande period[31]. Cependant, cela n’empêche pas qu’une Certaine tradition orale, en perpétuelle mutation, ait pu se transmettre sur quelques dizaines d’années ; c’est d’ailleurs vraisemblabelment le cas pour la tradition évangélique du Nouveau Testament[32]. Mais pour ce qui est des récits de l’Ancien Testament, qui demanderaient une improbable transmission orally over the centuries, l’historicité du texte dépend en grande partie de la capacité des scribes à coucher par écrit les faits qui le composent[27].

Apparition de l’écriture hebraïque [ modifier | modifier code ]

L’écriture paleo-hebraïque, celle des premiers israélites, dérive du phénicien. Dès le debut du Ier millénaire av. J.-C., l’alphabet phénicien comporte vingt-deux lettres et se lit de droite à gauche, tout comme l’hébreu. Cependant, les spécialistes debattent encore pour fixer le moment précis à partir duquel le nouveau langage prend son independence sur l’ancien, permettant ainsi à Israël de constituer ses premières archives historiques[33].

Un tesson inscrit datant du Xe siècle av. J.-C. , retrouvé en 2008 à Khirbet Qeiyafa, à l’ouest de la Judee, est indication majeur dans ce debate. Cependant, les spécialistes sont partagés quant à l’interpretation à donner à cette découverte : Certains y voient un exercice de scribe rédigé en hebreu, preuve selon eux qu’il existe déjà des pratiques scribales en Judée à l’époque de David ; d’autres y voient une list de noms cananéens[33]. Quoi qu’il en soit, l’existence d’une documentation épigraphique dans la région Israelite est attestée à partir du IXe siècle av. J.-C. , meme si celle qui est retrouvée à cette époque, outre quelques inscriptions funéraires, est essentialement administrative et commerciale[34]. C’est à partir de là que le récit biblique begin de plus en plus à coïncider avec l’histoire réelle, même s’il content encore des facts légendaires et folkloriques, et reste orienté théologiquement[35].

Origin of the Bible [ Modifier | modifier code ]

De l’émergence au déclin du royaume d’Israël [ Modifier | modifier code ]

Les historiens situent en general l’émergence du royaume d’Israël vers la fin du XIe siècle av. J.-C. ou au debut du Xe siècle av. J.-C. [36]. Le « cantique de Déborah » contained in le livre des Juges[N 5], et que certains considered comme l’un des plus anciens textes de la Bible, retrace selon Mario Liverani l’un des plus anciens episodes historiquement plausibles du texte biblique, à savoir la bataille de Tanak près de Megiddo, qui dépeint un affrontement entre plusieurs tribus de Galilee et du center, et Certaines cités cananéennes[37]. Il est toutefois largement accepté que, meme s’il est indéniable que le livre des Juges contient des éléments textuels anciens, le livre dans son ensemble a été retravaillé et sa form finale relève d’une construction idéologique plus tardive[38].

L’histoire du royaume d’Israël, et plus généralement de la région du Levant, est en grande partie couverte par les livres des Rois, meme si ceux-ci sont écrits après les évènements, se basant sur des sources plus anciennes[39] . À partir du milieu du VIIIe siècle av. J.-C. , l’imperialisme assyrien monte en puissance, ce qui a des conséquences désastreuses sur le royaume d’Israël, à tel point qu’en 722 av. J.-C. sa capitale, Samarie, est soumise, et le royaume disparaît[40]. Selon Mario Liverani, l’un des plus anciens récits prophétiques est peut-être celui d’Amos, qui prophétise la destruction d’Israël peu après le début de la conquete Assyrienne dans la région[41]. Le livre est toutefois l’objet de tant de réécritures qu’il est difficile de différencier ce qui relève effectment des paroles du prophète de ce qui a été ajouté plus tard[42]. C’est à cette époque que d’autres prophetes, comme Osée, Michée et l’Isaïe historique, écrivent les premiers textes de ce qui deviendra plus tard la Bible hébraïque[43].

Le royaume de Judah et l’Exil [ Modifier | modifier code ]

La fin du royaume d’Israël permet au royaume de Judah, resté jusque-là dans l’ombre de son puissant voisin du Nord, de prendre de l’importance. Jérusalem, qui accueille alors l’élite du royaume israélite disparu, connaît une croissance et une prospérité sans précédent. La region s’alphabetise et le commerce est florisant[44],[45],[46]. Une trace importante de cette alphabetization figure sur le plus ancien fragment découvert à ce jour d’un texte sur lequel figure un passage que l’on retrouve dans la Torah, qui est date verse 600 av. J.-C. Il s’agit d’une amulette apotropaïque trouvée à Ketef Hinnom, où figure la même bénédiction sacerdotale que celle qui figure en Nombres 6 : 24 à 27[47].

Judah est sous domination Assyrienne à partir de 750 av. J.-C. environ, et les rois judéens, contrairement à leur voisin du Nord, savent en grande majorité composer avec cette situation et préserver la “paix assyrienne”[N 6],[48]. Verse 625 Av. J.-C., l’empire Assyrien se retrouve affaibli par les Babyloniens, et l’Égypte en profite alors pour reprendre un Certain contrôle dans la région du Levant. Ce conflit between rich rivaux donne une plus grande liberté d’action à Josias, alors roi de Judah, qui se lance dans a politique de reconquete des territoires perdus du Nord, ainsi que dans une réforme religieuse d’envergure. Cette réforme vise à rendre un culte exclusif au seul dieu Yahvé et à faire de Jérusalem le lieu privilégié de ce culte[49].

La Bible refers to Josias discovering in the Temple of Jérusalem a “Livre de la Loi” lasting during the année de règne, que les historiens situent en 622 av. J.-C.[50] De nombreux savants identifient ce livre comme étant une partie du Deutéronome[51], et pensent plus probable que ce livre, au lieu d’avoir été simplement découvert, ait été plutôt écrit directement par l’entourage de Josias ou peu de temps avant son rain[52],[53]. C’est d’ailleurs à partir de ce moment-là que begin l’écriture de l’« histoire deuteronomiste », incluant les livres allant du Deutéronome aux Rois. Ces livres sont ensuite révisés et complétés pendant des generations[54],[55]. Certains spécialistes défendent l’idée d’une première edition du texte biblique sous le règne d’Ézéchias, concern notamment les plus anciens textes prophétiques et une première mouture des textes historiographiques (Livres des Rois, voire Certains récits de la Torah)[56] ,[57]. Mai est plutôt admis que le changement le plus important se produit sous le regne du roi Josias.

Selon plusieurs spécialistes, not Shira Faigenbaum-Golovina et Israël Finkelstein, l’analyse d’ostraca discovered à Arad tend à montrer que le haut degré d’alphabetisation dans l’administration du royaume de Judah à la fin du VIIe siècle av. J. -C. Fournissait un cadre possible à la compilation de textes bibliques comme les livres historiques, de celui de Josué à ceux des Rois[58].

Les ambitions de Josias sont brisées net en 609 av. J.-C., lorsqu’il est tué par le pharaon Nékao II, à la bataille de Megiddo[59],[60]. S’ensuvent des années difficiles pour Judah, qui se trouve d’abord sous domination égyptienne pendant quelques années, puis rapidement sous domination babylonienne. Pensant pouvoir compter sur l’aide de l’Égypte, les Judéens se révoltent contre la nouvelle puissance Babylonienne, mais ces révoltes sont vite matées, si bien qu’en 587 av. J.-C., Jérusalem et son temple sont detruits, et une partie de la population est emmenée en exil à Babylone [N 7].

C’est au contact de la Babylonienne civilization que se forge une grande partie de la Bible. En effet, les récits bibliques de la creation du monde, du jardin d’Éden, du Déluge[61] et de la tour de Babel ont sans doute des origines Babyloniennes[62]. De plus, a grande partie des livres des Rois et de Samuel sont empruntés à cette culture : meme façon d’entrecroiser l’histoire de deux royaumes en une seule narration, meme système de datation, memes formules funéraires, et meme évaluation des rois comme bons ou mauvais suivant qu’ils honorent ou non le culte du dieu national[63],[64].

À partir de l’Exil, des communautés judéennes se retrouvent non seulement en Babylonie, mais aussi en Judée – comprenant cells qui sont restées sur place -, ainsi qu’en Égypte où une partie de la population s’est réfugiée[65]. C’est autour de l’Exil que les prophètes Ézéchiel, le Deutéro-Isaïe et Jérémie, between other people, s’interrogent sur certain questions criticales comme cellesconcernant le culte exclusif à un seul Dieu, l’éthique religieuse en replacement du culte rituel , ou encore l’importance de la responsabilité individual par rapport à la responsabilitécollective[66].

En 539 av. J.-C., Babylone tombe devant Cyrus[67]. Le retour d’exil a lieu peu après, et il est suivi quelques années plus tard par la construction du temple[68],[69]. This period is covered by the lives of d’Esdras and Nehémie, which is four of lists that are established and a total of 42,360 persons are revient to pay. Même si Certains détails de ces lists peuvent être authentiques, la fiabilité du total est douteuse[70], car au lieu d’observer un retour massif d’exilés, l’archéologie montre plutôt que le pays se dépeuple progressivement à partir de la fin de l’époque monarchique, au début du VIe siècle av. J.-C. , et que ce déuplement Continue après la période supposée du retour d’exil[71],[N 8]. De meme, l’épisode de la Reconstruction du Temple est sujet à des explications diverses et contraires, suivant les livres bibliques qui en parlent[72].

L’époque perse de la dynastie des Achéménides, between 538 et 330 avenue J.-C., voit grandir le pouvoir du grand-prêtre, qui officie à Jérusalem. Des la fin de la Reconstruction du Temple en 515, ce sont les grands-prêtres qui prennent la tête de la communauté juive[73]. Les livres bibliques datant de cette époque, comme ceux d’Aggée et probablement celui de Zacharie, montrent indirectement l’importance grandisante de cette fonction, préfigurée de manière anachronique par Josué, au détriment de celle de gouverneur[74],[75]. D’ailleurs, l’authorité du temple de Jérusalem est ensuite largement reconnue, que ce soit à Béthel ou chez la communauté juive d’Éléphantine, en Égypte[76].

L’importance que prend le Temple de Jérusalem s’opere aux dépens des samaritains, dont certain peuplent encore le royaume du Nord. Ceux-ci voient d’un mauvais œil le fait que l’histoire biblique soit réécrite dans a perspective essential judéenne, qui plus est dans an optique plutôt critique envers leurs rois. C’est la raison pour laquelle ils rejettent progression, à partir de la fin du Ve siècle v. J.-C. , the version judéenne de la Bible, et de rendre un culte à Yahve dans leur propre temple à Sichem, sur le mont Gerizim. Bien plus tard, ils éditeront leur propre version de la Torah[77].

C’est vraisemblabelment à partir de là que les rédacteurs sacerdotaux mettent une grande partie du livre de la Genese, comprenant le “mythe des Patriarches”[78],[79] et probablement l’histoire de Joseph, sous une forme proche de celle connue aujourd’hui[80],[81]. Le livre de l’Exode, se basant sur l’idée qu’Israël s’est affranchi de l’influence égyptienne au début de son histoire, est écrit comme faisant écho au retour d’exil[82]. De meme, le récit du livre de Josuéconcernant la conquête, dont la base est écrite sous Josias, est probablement complété après le retour d’exil, et ce afin de justifier l’installation des rapatriés dans un pays qui n’a jamais vraiment cessé d’être habité[83]. Selon Mario Liverani, une datation tardive est necessaire to explain les diverse anachronismes et incongruités qui peuplent le récit, comme les lists of people soi-disant conquis par Josué, mais qui n’existent pas en Canaan à l’époque où se situe le texte , et dont Certains sont meme de puresfindings[84]. De meme, il semble qu’une grande partie du livre des Juges est écrite alors, c’est-à-dire après que la Judée se fut retrouvée, durant près d’un siècle, sans autorité politique formallle[85],[86 ].

Les livres d’Esdras et de Néhémie, don’t l’action se situe ver la fin du Ve siècle av. J.-C. ou au debut du IVe siècle av. J.-C. , brossent un tableau idyllique d’une concertation harmonieuse between the roles of Grand-Prêtre et de Gouverneur[N 9],[87]. Cependant, l’avènement d’Esdras comme scribe et prêtre, en 398 av. J.-C.[88], mark a tournant dans la conception du pouvoir, car c’est à partir de là que la “Loi de Dieu” est désormais interpreted exclusivement par le grand-prêtre, et qu’elle prend le pas sur toute autre loi ou government humain[89]. D’ailleurs, cette Loi qui est traditional element attributed to the figure fondatrice de Moïse, est d’une conception relativement tardive qui n’est bouclée qu’à l’époque d’Esdras[90]. Selon Mario Liverani, 95% du Corpus législatif et rituel de la Bible, Table of contents of the Lévitique mais aussi dans dans d’autres livres de la Torah comme le Deutéronome, est écrit après l’Exil[91].

Des debates agitent la communauté juive de retour d’exil, qui cherche son identité. Tout d’abord, la legislation sociale qui est proposed presente un modèle utopique, où les dettes sont régulièrement effacées et les esclaves affranchis. La plupart des historiens peinent à croire que ce modèle ait réellement été appliqué[92]. Ensuite, le problem des mariages mixtes, denone avec plus ou moins de force dans toute la Bible, refait surface. La communauté sacerdotale ayant pris le pouvoir, l’idéal de pureté de race et de religion est mis en avant, et les prêtres, dont Esdras, vont jusqu’à inciter la population à répudier les femmes étrangères et les enfants naissant de ces unions. Bien que Malachie dénonce ces mesures dans son livre, et que le Trito-Isaïe incite à une Certaine ouverture envers les étrangers, une partie de la communauté Continue de se renfermer sur elle-même[93]. Enfin, l’idéal de pureté, qui s’est affirmé en exil, incite à observer plus que jamais des rites comme la circoncision, le sabbat et les fêtes nationales, ainsi que les nombreux interdits alimentaires et règles d’hygiène corporelle, qui apparaissent ou s’Affirmation durant cette period[94].

Marc-Alain Ouaknin fait l’hypothèse que les “onze premiers chapitres pourraient être en fait les traces de manuels scolaires babyloniens”. Ceux-ci devaient se presenter sous une forme semblable, ils compilaient des mythes de creation et donnaient ainsi des examples pour diverse matières scolaires. Quand la Genèse retrace la généalogie des ances d’Israël, il s’agit de faire pratiquer aux élèves des calculs algébriques, additions, soustractions, multiplications et divisions, à partir des âges des patriarches, d’Adam à Abraham. Quand elle décrit les dimensions de l’Arche, le but est de suggester un exercice de géométrie. Et quand elle raconte le périple des enfants de Noé and mentions les cités et les royaumes du Proche-Orient, c’est un cours de géographie. Enfin, avec la Tour de Babel, le livre presented l’histoire des langues, la complexité de leur naissance et de leurs diversifications! »[95]

À la suite de la victoire d’Alexandre le Grand à la bataille d’Issos en 333 avenue J.-C., la Judée tombe sous la domination des Grecs[96]. Cette victoire est suivie par d’autres, si bien que toute la Méditerranée orientale est rapidement conquise par Alexandre. Begin alors pour la Judée et la diaspora d’Égypte, située principalement à Alexandrie, a period d’hellénisation progressive, meme si les juifs gardent a certaine autonomie dans le nouvel empire[97]. In this situation, the rôle you grand-prêtre de Jérusalem devient de plus en plus important : il est desormais responsable de la collecte des taxes et du tribute, et represent le people auprès de la cour d’Alexandrie. Cependant, son pouvoir est counterbalancé par le Conseil des anciens, qui se transforme verse 200 av. J.-C. in a puissante institution: le Sanhédrin[98]. Au IIIe siècle av. J.-C. , la diaspora constituée en Égypte se réunit dans des “maisons de prières” – les futures synagogues – où elle prie et étudie la liturgie éditée par le Temple de Jérusalem. Entre 282 and 246 av. J.-C., sous l’impulsion de Ptolémée II et en accord avec les juifs, la Torah est traduite en grec[99]. S’ensuit la traduction des Prophètes, qui est achevée vers le milieu du IIe siècle av. J.-C. [100], puis s’ajoutent à ce corpus, appelé plus tard la Septante, les Écrits et d’autres textes rédigés directement en grec[101].

Maccabees, Toile de Wojciech Statle, Toile de Wojciech Statle, 1844

C’est dans ces conditions qu’une collection de textes faisant autorité voit le jour. Au debut du IIe siècle by J.-C. , elle est composée du Pentateuque, des Prophètes et de Certains des futurs Hagiographes. Ne often alors à cette list que les livres de Daniel, d’Esdras-Néhémie, et le livre d’Esther. Il ne s’agit toutefois pas encore d’un canon au sens propre car, comme le fait remarquer Arnaud Sérandour, « le texte de chacun de ces livres demeure fluctuant et conporte considérables, quantitative et qualitatives d’un manuscript à l’ autre » . Malgré cela, l’écriture est de plus en plus considered as “sainte” et prend a place grandisante dans le culte[102]. Au all debut du IIe siècle av. J.-C. , la Judée passe d’une domination ptolémaïque à celle des Séleucides. L’hellénisation de la région se poursuit encore, encouragée au début par une grande partie de l’élite juive. Cependant, deux camps se font rapidement face : d’une part ceux qui désirent poursuivre une politique d’intégration à l’empire, et d’autre part ceux qui veulent sauvegarder à tout prix la tradition scripturaire[103]. La situation tourne au conflit lors de la crise maccabéenne, qui fait rage de 174 à 152 av. J.-C. Un nouveau genre littéraire apparaît avec la révolte : l’apocalyptique, dont le livre de Daniel est le représentant canonique. Les thèmes de la venue prochaine d’un Messie et de la fin du monde se développent au sein de cette littérature[104].

Un nouvel État émerge du chaos provoqué par la révolte : l’État hasmonéen. Bien qu’il revendique et obtienne assez tôt une certaine indépendance, ce nouvel État doit faire face à la rivalité de ses voisins et à des oppositions internes. Flavius Josèphe explique que les trois « écoles de pensée » que sont les pharisiens, les sadducéens et les esséniens, seraient apparues dès le début de son avènement[N 10], mais les différents mouvements de pensée juive semblent plutôt apparaître d’une manière progressive mal définie, à l’époque des Maccabées et des Hasmonéens, en réaction aux heurts qui traversent la période[105]. Le nationalisme judéen est alors à son comble, ce qui se reflète dans les deux premiers livres des Maccabées, ainsi que dans les livres de Judith et d’Esther, tous écrits ou remaniés durant le IIe siècle av. J.-C. [106].

En 63 av. J.-C., Pompée arrive en Judée et prend Jérusalem[107]. C’en est fini de l’État hasmonéen indépendant, même s’il ne disparaît qu’en 41 av. J.-C., lorsqu’Hérode est nommé roi de la région. Hérode donne une nouvelle splendeur au Temple de Jérusalem, mais remet en cause son fonctionnement et se mêle de politique intérieure, ce qui ne lui sera pas pardonné par la communauté juive. Le livre de la « Sagesse de Salomon », écrit du temps d’Hérode, marque un tournant dans la pensée juive, puisqu’il présente pour la première fois les notions d’immortalité et d’incorruptibilité des justes malgré la mort[108]. Le joug romain est de plus en plus écrasant pour une partie des juifs au Ier siècle, si bien qu’une importante révolte éclate à partir de 66[109]. Elle est matée dans le sang quatre ans plus tard, et le Temple de Jérusalem est détruit. D’autres révoltes suivent jusqu’en 135 et les conséquences sont désastreuses pour les habitants de Judée et de Samarie, qui doivent fuir la répression qui s’ensuit. La littérature qui est alors produite, comme les apocalypses de Baruch[N 11], met l’accent sur les attentes messianiques et eschatologiques caractéristiques de cette époque troublée[110].

Au début du Ier siècle, un juif nommé Jésus se fait connaître en Judée comme prêcheur de l’avènement imminent du « Royaume de Dieu », mais aussi comme exorciste et thaumaturge[111]. Vers l’an 30, il est arrêté puis mis à mort, mais ses disciples, qui pour la plupart se trouvent à Jérusalem, annoncent alors sa résurrection d’entre les morts[112]. De cette annonce naît entre 50[N 12] et 130[N 13] une littérature centrée sur les gestes et les paroles de Jésus, mais aussi sur celles des communautés qui suivent ses enseignements et qui recevront plus tard le nom de « chrétiens »[113]. Une partie de cette littérature est organisée sous forme canonique au IVe siècle et connue désormais sous le nom de Nouveau Testament[114].

Une version particulière du Tanakh semble s’imposer dans les synagogues vers la fin du Ier siècle, à l’exception des communautés samaritaines, qui gardent leur propre édition de la Torah. Ce texte peut être qualifié de « protomassorétique », car ses caractéristiques propres, particularités orthographiques et erreurs de scribes, se retrouvent ensuite dans le texte massorétique lui-même[115]. Au IIe siècle, la Bible est traduite en syriaque, se basant pour l’Ancien Testament en partie sur la version hébraïque et en partie sur la Septante en grec, et traduisant le Nouveau Testament du grec. Ce texte reçoit le nom de Peshitta (la « Simple »). À peu près au même moment, une traduction en latin basée sur la Septante voit le jour : la « Vieille Latine » (Vetus Latina). Elle est suivie au début du Ve siècle par une autre traduction en latin : la Vulgate, qui s’impose jusqu’au Moyen Âge[116],[117].

Collections canoniques et variantes textuelles [ modifier | modifier code ]

Jeu complet des rouleaux du Tanakh.

Comme pour tout autre écrit de l’Antiquité, aucun des textes originaux de la Bible n’a été retrouvé à ce jour[118],[119]. La notion même de texte « original » n’a pas vraiment de sens, puisque la Bible se distingue dès sa formation par une pluralité de formes[120]. Par exemple, le canon de la Bible hébraïque du judaïsme rabbinique, le texte massorétique, n’est pas le même que le canon de la Bible grecque des Églises d’Orient et d’Occident, la Septante[121]. De plus, l’édition samaritaine du Pentateuque n’a pas le même texte que le Pentateuque massorétique, et les manuscrits de la mer Morte démontrent concrètement, de par leurs divergences textuelles, que le texte biblique est l’objet de plusieurs rééditions, qui peuvent parfois apporter des changements importants[122]. Il existe aussi une très grande pluralité de canons dans les Églises d’Orient, tels que les anciens testaments orthodoxes, syriaques, araméens et éthiopiens, qui ont tous retenu des livres différents[123].

En plus des choix divergents concernant le nom des livres qui sont retenus dans les différents canons, il existe aussi plusieurs variantes textuelles à l’intérieur d’un même livre. Certaines sont dues soit à des erreurs de copistes, soit à des réécritures intentionnelles pour des raisons linguistiques, exégétiques ou théologiques. Cela a plus ou moins altéré les écrits au cours des siècles[124].

La Torah seule compte plus de 4 000 « lieux variants » [N 14], une grande partie d’entre eux affectant le sens du texte[120]. Des variantes sont aussi présentes dans d’autres livres comme celui de Josué, qui est plus court d’environ 4 à 5 % dans la Septante que dans le texte massorétique, et dont certains récits, comme le chapitre 6, sont très différents entre ces deux canons[N 15],[125]. Un autre exemple est celui du livre de Jérémie, qui est organisé différemment dans le texte massorétique par rapport à celui de la Septante, où il est d’ailleurs plus court d’un huitième. De plus, le fait que l’arrangement du livre de Jérémie de la Septante se retrouve dans certains manuscrits de Qumran montre que ces divergences avec le texte massorétique ne sont pas dues à une décision des traducteurs grecs[126]. D’ailleurs, les textes canoniques eux-mêmes ne sont pas à l’abri de modifications textuelles, comme le montre l’exemple de Deutéronome 32, 8 où « fils de Dieu » est corrigé en « fils d’Israël » entre le IIe et le Ier siècle av. J.-C. [N 16],[127].

Le texte de la Septante est différent du texte de la Bible hébraïque, à la fois sur la forme et sur le sens. En effet, il comporte des textes supplémentaires qui n’ont pas été retenus par le canon hébraïque, mais aussi certains termes qui ont été modifiés lors de la traduction. L’exemple le plus flagrant est peut-être que les divers noms utilisés pour Dieu, comme YHWH, El, Elohim, El Shadday, etc. sont remplacés en grec par des formes plus banales, comme theos (« dieu »), kurios (« maître ») ou pantokratôr (« tout-puissant »)[128]. Afin d’essayer de l’aligner sur le texte hébraïque, qui est régulièrement actualisé, plusieurs révisions de la Septante sont opérées. Trois sont restées fameuses : celle de Théodotion, qui a eu lieu vraisemblablement à la fin du IIe siècle, celle d’Aquila de Sinope, vers 125, et celle de Symmaque l’Ébionite, à la fin du IIe siècle av. J.-C. [129],[130].

Malgré ces différences, la traduction de la Septante est d’abord considérée par les Sages du Talmud comme une œuvre inspirée, et elle est utilisée par la communauté juive d’expression grecque. Cette situation prévaut jusqu’à ce que la communauté chrétienne se l’approprie et en fasse son Ancien Testament, au début du IIe siècle. La communauté juive rejette alors progressivement le texte grec, et en revient à considérer l’« hébreu carré » comme la seule langue acceptable pour la Bible hébraïque[131],[132].

Le Nouveau Testament contient lui aussi certaines variantes textuelles. Il existe cinq différentes finales de l’évangile selon Marc[133], et plus de six cents variantes entre le texte alexandrin et le texte occidental des Actes des Apôtres[134]. En tout, les spécialistes dénombrent plus de 200 000 variantes rien que dans le Nouveau Testament[135]. Ces variations montrent que la Bible n’est pas une œuvre totalement figée, mais que son texte reste en évolution au-delà de la période de sa « datation », qui est celle de sa première diffusion sous une forme très proche de celle connue aujourd’hui.

Article détaillé : Tanakh

La Bible hébraïque est désignée par les Juifs par le mot Tanakh, qui est un acronyme de ses trois parties : la Torah, les Nevi’im et les Ketouvim. Au IIe siècle, cette Bible juive devient, dans sa version grecque de la Septante[136], l’Ancien Testament des chrétiens[137].

De la théorie d’une rédaction par Moïse à l’hypothèse documentaire [ modifier | modifier code ]

Moïse brisant les Tables de la Loi, par , par Rembrandt

Si le texte du Pentateuque est anonyme et sans signature d’un auteur identifiable, les traditions juives et chrétiennes[N 17] se sont fondées sur les nombreux textes législatifs attribués à Moïse pour en faire l’auteur de l’entièreté des cinq livres[138]. Philon d’Alexandrie[139] et Flavius Josèphe[140] lui attribuent même la rédaction de sa propre mort[141]. Cette idée d’une rédaction mosaïque sous la dictée de Dieu restera quasiment unanime durant des siècles[138],[10]. Les rabbins sont amenés pour leur part à attribuer au patriarche, outre cette « Torah écrite », la « Torah orale » que constituent les commentaires de la Loi codifiés dans la Mishna[142]. C’est ainsi d’abord essentiellement la Loi qui est attribuée à Moïse puis, à partir de la période post-biblique, l’ensemble du Pentateuque, amenant à désigner ce dernier comme « les cinq livres de Moïse »[142], pour une situation qui prévaut généralement jusqu’au XVIIIe siècle[138].

Néanmoins, dès le Moyen Âge, différents anachronismes, apories et ruptures dans la logique littéraire amènent certains érudits et philosophes, tels que Isaac ibn Yashush puis Abraham ibn Ezra au XIIe siècle, à dresser des listes de « post-mosaica », des textes ou éléments rédigés après l’époque mosaïque, sans remettre pour autant en cause la tradition reçue[143]. Cependant le premier à rejeter l’idée que Moïse a écrit les cinq livres est Andreas Bodenstein (1486-1541)[N 18], un théologien protestant qui examine aussi dans son ouvrage la possibilité qu’Esdras soit le véritable auteur du Pentateuque pour finalement la repousser[144]. Moins de deux siècles plus tard, Baruch Spinoza souligne quant à lui, dans son Traité théologico-politique, l’unité organique entre la Torah et les livres « historiques », de Josué aux Rois, et en attribue la rédaction à Esdras[145],[143],[146].

Au XVIIIe siècle, sous l’impulsion de Jean Astruc[N 19], qui poursuit encore une visée apologétique[N 20], naît alors l’idée que le texte de la Torah serait la compilation de plusieurs documents différents[147],[148]. La théorie dite « documentaire »[149] qui en découle est développée au XIXe siècle par l’exégète Julius Wellhausen, qui propose un modèle selon lequel la Torah serait le résultat de trois ou quatre sources indépendantes rédigées entre le VIIIe et le début du Ve siècle av. J.-C. [150]. Cette théorie connaît un succès grandissant[151] si bien que dans les années 1960 il existe un consensus exégétique sur les quatre sources constitutives du Pentateuque. À cette époque, il est courant d’affirmer que les cinq premiers livres de la Bible sont le résultat d’une compilation de quatre documents indépendants : le Jahviste, l’Élohiste, le Deuteronomiste et la source sacerdotale, qui sont composés entre 930 et 550 av. J.-C.[152],[153].

Remise en cause de l’hypothèse documentaire [ modifier | modifier code ]

Malgré le consensus, certains spécialistes ont toujours contesté certains aspects de l’hypothèse documentaire. Cependant, ce n’est véritablement qu’à partir des années 1970 que des théories concurrentes sont mises en avant afin de résoudre une série de problèmes, ce qui fait voler en éclats le consensus exégétique. Tout d’abord, des travaux remettent en cause la datation des textes situés à l’époque prémonarchique, comme les traditions sur Abraham, qui est repoussée jusqu’à la période de l’Exil babylonien. Ensuite, des textes auparavant attribués aux courants jahviste (J) ou élohiste (E) sont désormais attribués à l’école deutéronomique et datés aux alentours du VIIe siècle av. J.-C. Enfin, l’accent est mis sur le fait que la distinction entre les sources J et E est très floue, et que leur datation est de ce fait assez hasardeuse. Toutes ces raisons font que la théorie documentaire est fortement remise en cause, et que des théories concurrentes sont alors proposées[154],[155].

La « théorie des compléments », développée entre autres par John Van Seters[156], défend l’idée que la Torah serait principalement le travail d’un éditeur (ou d’un groupe d’éditeurs), qui aurait collecté et enrichi une multitude de textes déjà existants[147]. La « théorie des fragments », qui est quant à elle défendue par Rolf Rendtorff[157], part de l’idée qu’à l’origine se trouvaient plusieurs textes épars et isolés, et que ces fragments auraient ensuite été collectés graduellement et rassemblés en un seul texte par les rédacteurs de la Torah[147]. Malgré leurs différences, ces deux théories s’accordent sur le rôle charnière de l’Exil, qui a eu lieu au VIe siècle, pour ce qui est de la formation et de la composition du Pentateuque[158].

Depuis la fin des années 1990 et durant les années 2000, les chercheurs mettent surtout en avant l’idée que l’essentiel des textes du Pentateuque, ainsi que les quelques livres qui le suivent comme Josué ou Juges, ont certainement été compilés à l’époque perse, c’est-à-dire entre le Ve et le IVe siècle[159]. Selon cette théorie, les derniers rédacteurs de la Torah ont joué un rôle important sur la forme finale du texte. Même s’ils se basaient sur des documents plus anciens, ils les ont retravaillés et compilés suivant un projet théologique bien précis[160].

Au début du XXIe siècle, aucun consensus exégétique ne s’est encore réalisé depuis l’effondrement de la théorie documentaire, qui conserve cependant de nombreux adeptes. Avec cette dernière cohabitent désormais d’autres approches[N 21] sans que l’on puisse dire quelles sont les positions majoritaires au sein de la recherche[161]. Malgré leurs divergences, les chercheurs s’accordent sur le fait que l’achèvement de la Torah a eu lieu au plus tard vers le début du IIIe siècle av. J.-C. [162].

Books

de la Torah Datation usuelle Genèse Début de rédaction vers la fin du VIII e siècle av. J.-C. , puis ajouts et retouches du texte jusqu’au III e siècle av. J.-C. [ 163 ] Exode Certains récits de l’Exode remontent au VIII e siècle av. J.-C. Ces textes sont retravaillés et complétés à partir du VI e siècle av. J.-C. [ 164 ] Lévitique V e siècle av. J.-C. , se basant sur des sources plus anciennes [ 165 ] Nombres Certains récits des Nombres remontent au VIII e siècle av. J.-C. Ces textes sont retravaillés et complétés à partir du VI e siècle av. J.-C. [ 166 ] Deutéronome Les lois deutéronomiques peuvent remonter jusqu’à la fin du VIII e siècle av. J.-C. Celles-ci sont ensuite intégrées dans l’ensemble Deutéronomiste à partir du règne de Josias ( VII e siècle av. J.-C. ) [ 167 ]

Traditionnellement, les Juifs découpent les Nevi’im en deux groupes de livres : les « Prophètes antérieurs » comprenant les livres de Josué, Juges, Samuel et les Rois, et les « Prophètes postérieurs » comprenant Isaïe, Jérémie, Ézéchiel et les livres des douze « petits prophètes »[168]. Les spécialistes estiment en général que le corpus des Nevi’im est achevé vers 200 av. J.-C.[169].

En 1670, le philosophe Baruch Spinoza est l’un des premiers à constater que l’histoire contenue dans les « Prophètes antérieurs » s’inscrit en continuité avec celle des livres du Pentateuque. Ainsi, le texte allant du début de la Genèse à la fin de 2 Rois est selon lui une seule grande œuvre historique[170].

Cette idée est reprise au XIXe siècle par Heinrich Ewald, qui distingue deux éditions de type deutéronomiste dans ce récit[170]. Il faut cependant attendre les travaux de Martin Noth en 1943 pour que la thèse d’une « histoire deutéronomiste » ou « deutéronomique »[N 22] prenne véritablement corps. Noth remarque de nombreuses similitudes de style et de thèmes entre le Deutéronome et les « Prophètes antérieurs », et émet l’idée que le Deutéronomiste aurait « construit une présentation du passé d’Israël qui obéit à une théologie de l’histoire parfaitement cohérente »[171]. Malgré quelques contestations, cette théorie s’impose jusque dans les années 1960[172]. D’autres modèles voient alors le jour, avec des variations plus ou moins importantes sur le nombre de rédacteurs deutéronomistes et l’importance de leurs travaux respectifs, jusqu’à ce qu’en 1975, Siegfried Mittmann conteste l’idée même que les livres du Deutéronome à 2 Rois constituent une œuvre cohérente[173].

À partir du moment où l’idée de Noth est remise en cause, de nombreuses théories apparaissent[174]. Malgré leurs divergences, les spécialistes s’accordent toutefois sur plusieurs points[175] :

les Deutéronomistes intègrent des documents plus anciens dans leur histoire ;

le style et la théologie deutéronomistes sont fortement influencés par les traités assyriens ;

l’Exil babylonien est la période charnière durant laquelle se construit l’histoire deutéronomiste ;

et enfin, l’histoire deutéronomiste a été révisée durant l’époque perse.

Jusqu’au début du XXe siècle, l’exégèse des « Prophètes postérieurs » consiste principalement à distinguer ce qui est réellement prononcé par le Prophète de ce qui est ajouté par la suite[180]. Cependant, à partir de la première moitié du XXe siècle, ce n’est plus seulement l’authenticité des paroles prophétiques qui intéresse les exégètes, mais bien l’histoire complète de la rédaction des livres. Ils s’aperçoivent alors que les textes ont été remaniés au cours du temps par des scribes qui, eux-mêmes, se voient comme des prophètes de leur temps. L’importance du travail des scribes est telle que certaines parties des textes — et même des textes entiers comme probablement les livres de Jonas ou de Malachie — voient le jour sous leurs plumes[181].

Ainsi, le corpus des douze « petits Prophètes » tout entier n’est pas seulement une simple compilation de textes déjà achevés, mais semble bien être retravaillé par les scribes, et cela dans son ensemble. En effet, certains passages se retrouvent pratiquement à l’identique chez plusieurs prophètes, et certains mots établissent des liens entre les divers livres[182].

Article détaillé : Ketouvim

Les Ketouvim constituent la troisième et dernière partie du Tanakh, et ne sont établis définitivement qu’au début du IIe siècle. Ils sont de styles et de natures très différents, et Thomas Römer estime qu’ils « constituent en quelque sorte un véritable condensé de la littérature juive de l’époque hellénistique »[200].

Parmi eux se retrouvent des livres de sagesse (Proverbes, Job et Ecclésiaste) qui s’inspirent grandement de la littérature sapientiale des voisins de Juda, à savoir la Mésopotamie, Ougarit et l’Égypte[201]. Ainsi, il semble illusoire de chercher dans ces textes les spécificités de la sagesse hébraïque, la seule différence frappante étant la perspective monothéiste et yahwiste des textes bibliques[202].

Les livres deutérocanoniques proviennent de la traduction grecque de la Septante. Ils sont considérés par l’Église catholique et l’Église orthodoxe comme faisant partie du canon de l’Ancien Testament, mais ne sont pas présents dans le Tanakh et les bibles protestantes. La majorité d’entre eux semblent avoir été rédigés en hébreu ou en araméen, mais certains peuvent avoir été écrits directement en grec. Sauf pour quelques exceptions, leur composition est en général datée entre du début du IIe à la fin du Ier siècle av. J.-C. [215].

Le Nouveau Testament se divise en plusieurs groupes de livres[226] :

Histoire des premiers écrits néo-testamentaires [ modifier | modifier code ]

Les textes du Nouveau Testament sont généralement datés par les spécialistes dans une fourchette maximale comprise entre 50 et 130[N 24]. Cependant, le texte n’est véritablement fixé qu’à partir du IVe siècle, les manuscrits plus anciens témoignant étonnamment jusqu’alors, plutôt que d’une harmonisation vers laquelle tendent les travaux d’érudits comme Origène[229], d’une diversification textuelle croissante[230].

Cette pluralité textuelle est due à une importante tradition orale qui circule dans les communautés chrétiennes avant, pendant, et même après leur mise par écrit. Cette tradition orale, qui surpasse l’autorité de l’écrit jusqu’au IIIe siècle au moins, amène des modifications textuelles, volontaires ou non, qui peuvent parfois être importantes[231].

Vraisemblablement, Jésus et ses premiers disciples, parlaient araméen[N 25], et certains d’entre eux seulement parlaient quelques mots de grec[232]. Or, les évangiles sont écrits en grec, ce qui pose la question de la transition d’une langue à l’autre. Un élément de réponse à cette question est le fait que le grec était très répandu au Ier siècle, et ce même à Jérusalem[N 26]. La mémoire de Jésus a donc pu adopter très tôt une tournure hellénisée. De plus, il est logique de penser que l’évangélisation chrétienne, qui a pour but de répandre la tradition de Jésus aussi largement que possible, a utilisé naturellement la langue la plus répandue dans l’Empire romain de l’époque[32]. Cela n’exclut d’ailleurs pas l’hypothèse que certains aide-mémoires, destinés à se rappeler des faits et gestes de Jésus, aient pu être rédigés en araméen avant d’être traduits pour figurer dans les textes grecs des Évangiles. Mais cela reste très hypothétique, car il n’existe nulle trace de tels manuscrits[233].

Article détaillé : Septante

La littérature chrétienne est écrite en grec, et se base donc logiquement principalement sur le texte de la Septante, rédigé à Alexandrie, qui est lui aussi en grec. Cette Bible se décline sous de multiples formes[N 27], et les rédacteurs du Nouveau Testament puisent parmi plusieurs d’entre elles. La Bible hébraïque n’est citée que dans de rares cas[234],[235]. Ainsi, la Bible d’Alexandrie devient-elle, au IIe siècle, l’Ancien Testament des chrétiens, et elle le restera pour de nombreux siècles[236].

Représentation statistique du problème synoptique.

Les trois évangiles que sont Matthieu, Marc et Luc sont appelés « synoptiques » en raison de leur très grande proximité textuelle[237]. En effet, 80 % du texte de Marc se retrouve chez Matthieu et 55 % chez Luc. Ainsi, sur les 661 versets de l’évangile de Marc, seuls 26 lui sont propres, 330 autres étant communs avec à la fois Matthieu et Luc, et 325 l’étant soit avec l’un, soit avec l’autre. De plus, Matthieu et Luc partagent entre eux de nombreux versets : 235 sur 1 068 chez Matthieu, et 235 sur 1 149 chez Luc[238].

Ces similitudes sont trop importantes pour être dues au hasard, et dénotent donc une dépendance littéraire entre les synoptiques. De nombreuses théories ont été proposées pour les expliquer, mais celle qui est aujourd’hui la plus largement acceptée est la « théorie des deux sources »[239]. Cette théorie soutient que l’évangile selon Marc serait le plus ancien, et que Matthieu et Luc auraient été écrits d’après Marc, ainsi que d’après une source perdue depuis, appelée « source Q »[240].

Épîtres de Paul [ modifier | modifier code ]

Les épîtres de Paul ont été écrites pour l’enseignement et l’édification de tous les chrétiens. Ce ne sont donc pas des lettres privées, et elles n’ont pas été transmises d’ailleurs séparément, mais directement sous la forme d’une collection de lettres[241]. Dans cette collection, les spécialistes distinguent trois couches rédactionnelles distinctes en fonction de leur authenticité : sept lettres « proto-pauliniennes », rédigées par Paul ; trois lettres « deutéro-pauliniennes », rédigées par ses disciples sous son autorité mais pas directement par lui ; et enfin trois lettres « trito-pauliniennes » ou « pastorales », rédigées par ses successeurs mais pas directement par lui, ni sous son autorité[242]. Plusieurs collections concurrentes des lettres de Paul circulent, certaines excluant les épitres trito-pauliniennes, d’autres incluant la lettre aux Hébreux[N 28]. Différentes versions de certaines lettres, notamment celles aux Romains, la première aux Corinthiens et celle aux Éphésiens, montrent en outre qu’il existe non seulement des variantes sur le choix des lettres constituant chaque collection, mais aussi des variations dans le texte lui-même[243].

Histoire du canon [ modifier | modifier code ]

Au début du christianisme, la liste des livres de la Bible hébraïque n’est pas encore close. Elle ne l’est pas avant le synode de Jamnia, qui se tient à la fin du Ier siècle. Cependant, cette idée d’une liste fermée de livres, appelée plus tard « canon », s’impose progressivement aussi pour les écrits chrétiens[244].

Chacun des vingt-sept livres du Nouveau Testament est destiné à certaines communautés chrétiennes, mais aucun n’est écrit dans le but de figurer dans une collection de livres saints. Il faut attendre le Concile de Laodicée, en 363, pour voir le mot « canon » utilisé pour la première fois, et ce pour désigner à la fois l’Ancien et le Nouveau Testament[245]. Quatre ans plus tard, dans une lettre d’Athanase d’Alexandrie, se trouve la première liste complète des vingt-sept livres du Nouveau Testament[246].

Avant cela, il ne s’agit pas encore d’un « canon » à proprement parler, car ce n’est pas encore une liste fermée de livres[247]. Pour une partie de la recherche, il est possible de parler de collection de livres agréés par l’Église, ou « canon ouvert », dès la fin du IIe siècle, car le fragment de Muratori propose dès cette époque vingt-trois livres faisant autorité ou dont l’autorité mérite d’être débattue. Cette liste comprend tous les livres du Nouveau Testament sauf 1 et 2 Pierre, Jacques et Hébreux. D’autres livres qui n’ont pas été retenus par la suite y figurent aussi[248]. Néanmoins, cette datation haute qui a longtemps fait consensus est largement remise en question depuis la fin du XXe siècle et une partie de la recherche tend à voir, dans le « Muratori », une composition du IVe siècle, probablement orientale, poussant à déplacer le processus de canonisation plus tardivement[249]. Le débat reste ouvert[250].

Entre la fin du IIe siècle et la deuxième moitié du IVe siècle, de nombreux débats ont lieu pour déterminer quels livres doivent être reconnus par l’Église et lesquels doivent être rejetés. Ceux qui sont l’objet des débats les plus vifs sont : Hébreux, les épitres catholiques (Jacques, 2 Pierre, 2 Jean, 3 Jean et Jude), et surtout l’Apocalypse. La place de certains apocryphes est aussi discutée, notamment l’épître aux Laodicéens, qui fait partie de la Vulgate jusqu’au Moyen Âge[251].

Dans le tableau ci-dessous, les fragments les plus anciens de chaque texte sont mentionnés. Le signe P {\displaystyle {\mathfrak {P}}} est le symbole utilisé pour désigner un papyrus.

Exemples de datation [ modifier | modifier code ]

Selon la Bible, les évènements décrits dans le livre de Josué se situent avant l’époque monarchique, plus précisément juste après la conquête de la « terre promise », ce qui correspondrait à la jonction du bronze récent et de l’âge du fer. Selon le récit du onzième chapitre de Josué, de nombreuses populations peuplent la région, dont les Cananéens, les Hittites, les Amorrites, les Périzzites et les Anakim[N 41],[289]. Dans cette liste, seuls les Cananéens étaient présents à la fin de l’âge du bronze en Palestine. Les autres peuples n’ont soit jamais existé, soit n’étaient pas présents dans cette région à cette époque.

C’est le cas tout d’abord des Hittites. Bien qu’ils forment un royaume qui s’étend jusqu’en Syrie autour des XIVe – XIIIe siècle av. J.-C. , les données historiques et archéologiques montrent qu’ils ne descendent jamais jusqu’en Palestine et s’arrêtent bien plus au Nord. Le terme Hatti est un terme générique babylonien pour désigner, au VIe siècle av. J.-C. , toute la région syro-palestinienne. Les auteurs bibliques en ont sans doute déduit qu’un peuple de Hittites habitait en Palestine avant leur extermination par Josué, et les ont incorporés dans le récit peu après l’Exil[290]. Selon Mario Liverani, le cas des Amorrites est similaire, puisque ce peuple s’établit principalement en Syrie et s’éteint vers le XIVe siècle av. J.-C. , c’est-à-dire bien avant la conquête présumée de Josué. Le terme Amurru désigne chez les Babyloniens du VIe siècle av. J.-C. la même chose que le terme Hatti, c’est-à-dire une région syro-palestinienne.

Le terme « Périzzite », quant à lui, signifie « qui habite un village ». Il ne s’agit donc pas d’un peuple. Cependant, puisque l’existence de ce groupe est attestée de haute antiquité, les rédacteurs bibliques ont sans doute supposé qu’il s’agissait d’un peuple qui avait été anéanti avant l’arrivée des premiers Israélites en Canaan. Citons pour finir la mention des Anakim, ou Nephilim, ces géants légendaires dont l’existence est certainement sortie de l’imagination des rédacteurs bibliques devant les imposants dolmens mégalithiques de la préhistoire qu’ils rencontrent en Palestine, tels que le « lit de fer » de Rabbath Ammon, de neuf coudées sur quatre, que certains prennent pour une tombe royale[291].

Ces anachronismes et inventions démontrent que les rédacteurs du livre de Josué méconnaissent la Palestine de la fin de l’âge du bronze. L’analyse des données archéologiques apporte des conclusions similaires : la géographie décrite dans ce livre ne correspond pas à celle de l’âge du bronze récent. En revanche, elle ressemble plus à celle du VIIe ou du VIe siècle av. J.-C. Cela concorde avec une réécriture tardive destinée à justifier les ambitions politiques de Josias ou une reconquête du pays après l’Exil[292],[293].

Exemples de remaniement tardif [ modifier | modifier code ]

Le dixième chapitre de Josué présente plusieurs remaniements tardifs du texte biblique. Par exemple, il existe deux formes distinctes du verset 9 : le texte hébreu traditionnel dit que Josué « monta » depuis Guilgal, tandis qu’un manuscrit retrouvé à Qumrân dit que Josué « marcha ». Les deux verbes étant très différents en hébreu, cela ne peut être dû qu’à une modification intentionnelle du scribe, sans doute dans le but d’harmoniser le texte avec son contexte immédiat. Un autre indice de remaniement est le fait que les versets 15 et 43, qui sont identiques dans la version massorétique, sont absents de l’ancienne version grecque. Au lieu de supposer que le traducteur grec les a supprimés, il semble bien plus logique de faire l’hypothèse inverse, c’est-à-dire que l’auteur du texte massorétique les aurait ajoutés tardivement. Cela explique en effet l’incohérence narrative du récit, qui replace Josué de retour dans la région montagneuse qu’il vient de quitter quelques versets plus tôt[294].

Quelques versets plus loin se trouve un autre remaniement tardif du texte. En effet, il est écrit que le roi d’Hébron est tué avec d’autres rois (versets 23 à 26), puis tué une deuxième fois lors de la prise de sa ville (verset 37). Cela s’explique très bien par le fait que deux épisodes ont été assemblés tardivement pour former un texte unique[294].

Notes and references [ modifier | modifier code ]

: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Ou deux ou trois ?

> Selon la circulation, on met deux à trois heures pour faire le trajet. (Entre deux et trois heures, il y a soixante minutes, une quantité qui peut être fractionnée.) Mais on emploie la conjonction de coordination « ou » si les deux nombres se suivent et que l’écart entre eux ne peut être fractionné.

Définition de sacrificateur

Pour express l’approximation, on employing the preposition “à” between two names in two cas :

– quand les deux nombres que «à» sépare ne se suivent pas.

> J’ai repéré dix à douze soldats cachés dans les fourrés.

– quand les deux nombres que “à” sépare se suivent mais que l’écart entre eux peut êtrefractionné.

> Selon la Circulation, on met deux à 3 heures pour faire le trajet. (Entre deux et trois heures, il y a soixante minutes, une quantité qui peut êtrefractionnée.)

Mais on emploie la conjonction deordination “ou” si les deux nombres se suivent et que l’écart entre eux ne peut êtrefractionné.

> Ce pauvre fermier possédait quatre ou cinq vaches. (Une vache n’est pas une quantité qui peut êtrefractionnée.)

Quand ce peuple s’approche de moi ?

Esaïe 29:13 Louis Segond 1910 – Le Seigneur dit : Quand ce peuple s’approche de moi, Il m’honore de la bouche et des lèvres ; Mais son cœur est éloigné de moi, Et la crainte qu’il a de moi N’est qu’un précepte de tradition humaine.

Définition de sacrificateur

Bible Vigouroux

[29.13 Ce peuple, etc. Jésus-Christ déclare aux Juifs incrédules que c’était d’eux qu’Isaïe prophétisait dans ce passage (voir Matthieu, 15, 8-9; Marc, 7, 6-7). ― Ils m’ont craint etc. ; c’est-à-dire ils m’ont adoré, ils m’ont rendu un culte fondé, non sur ma loi et sur mes préceptes, mais sur des tradition purement humaines. Le pluriel ils represents le mot people, qui est un nom collectif.]

Et le Seigneur a dit: Parce que ce peuple s’approche de bouche et me glorifie des lèvres, tandis que son cœur est éloigné de moi, et que le culte qu’il me rend vient de (m’ont craint par les) préceptes (Commandments) et (les) d’enseignements humains.

Qui est le saint d’esprit ?

Dans le christianisme évangélique, le SaintEsprit est considéré comme étant pleinement Dieu. Il s’agit de la manifestation éternelle de Dieu dans la dimension humaine. C’est la présence de l’Esprit que Jésus a promise dans l’Évangile à ceux qui se convertiraient, attestée par les premiers témoins du Christ (Ac 2).

Définition de sacrificateur

Le Saint-Esprit, ou Esprit saint, est dans plusieurs religions an aspect or an agent de Dieu qui Communique avec les humains ou agit sur eux.

Dans le Judaisme, la Ruah, ou “Souffle” de Dieu, intervient des le premier chapter de la Genese, lors de la creation du monde. La Ruah continues as a manifester in l’ensemble de la Bible hébraïque.

Dans le Nouveau Testament, écrit en grec koiné, le mot utilisé est pneuma qui signifie également « souffle de Dieu » qui corresponds to l’hébreu Ruah ; mais on trouve also, selon le contexte, le mot Paraclet. Pour le christianisme, le souffle divin, ou Saint-Esprit (Spiritus sanctus en latin), est l’une des trois personnes de la Trinité, ainsi que le symbole de Nicée-Constantinople l’a formulé au IVe siècle. Il est feté lors de la Pentecôte.

L’Esprit Saint apparaît également dans les écrits pré-islamiques et dans le Coran (in Arabic: rest).

Dans le christianisme [ Modifier | modifier code ]

Si l’Esprit saint est design nommément à de multiple reprises dans la Bible, also passage de l’Ancien ou du New Testament n’en donne de definition. Cette imprécision est à l’origin d’une série de controverses théologiques principalement réparties en 3 periods : le IVe siècle, qui a vu l’elaboration du symbols de Nicee-Constantinople, les différends between l’Orient et l’Occident qui aboutissent au grand schisme du XIe siècle et enfin les questions doctrinales soulevées par la Reforme protestante au XVIe siècle.

Une des trois personnes de la Trinité [ Modifier | modifier code ]

Les first Chrétiens ont interpreted a la lumière du Nouveau Testament les passages de l’Ancien Testament parlant de l’Esprit de Dieu. Il est dit dans le livre de la Genese que L’Esprit planait au dessus des eaux (1, 2). Il est relaté par ailleurs que l’Esprit de Dieu est descendu sur les chefs et les rois (I Samuel 10, 1 et 16, 3), puis sur les prophètes (Isaîe11, 2, Ézéchiel 36, 26-27 et 37, 1 ). -14) et enfin sur l’ensemble du peuple élu (Joël 3, 1). Ezechiel advertised que l’Esprit de Dieu renouvellera les hommes par une aspersion d’eau pure. Enfin l’Esprit est identifié à la Sagesse (Sagesse 7, 22)[1].

Bases de l’approfondissement sur l’Esprit Saint [ Modifier | modifier code ]

Le Nouveau Testament parle de la présence omnipresent de l’Esprit Saint dans la vie terrestre de Jésus, en particulier lors de sa conception, et de son baptême. En outre, l’ordre de Jésus donné à ses apôtres “Allez, de toutes les nations faites des pupilres, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit” (Matthieu 28, 18-19) sera à la base des approfondissements sur la nature de L’Esprit-Saint, meme s’il n’est parlé par ailleurs dans le NT que de Jesus à propos du baptême. Les autres éléments qui ont contribué à ces approfondissements sont la believe que les Écritures sont inspired par l’Esprit Saint, ensuite la foi en l’inhabitation de l’Esprit dans le cœur des fidèles et enfin la foi en la presence active du Saint Esprit in the Église[2].

Chrétiens des premiers siècles [ Modifier | modifier code ]

Ignace d’Antioche (35-110) insists on the presence of the holy saint in the Églises auxquelles il s’adresse. Justin de Naplouse (mort en 165) Place l’Esprit Saint in 3 position, derrière Le Père et le Fils. Tatien (120-173) appeals to the Esprit Saint “le serviteur de Dieu qui a souffert”. Théophile d’Antioche (mort en 183) qui fut le premier à introduire dans le monde orientai le terme grec trias pour parler du Père, du Fils et de l’Esprit, definitely l’Esprit l’effluve du Père, le plaçant en intermediaire between the Pere et le Fils, et l’identifie à la Sagesse de l’Ancien Testament. Tertullien (150-220) qui fut le premier à utiliser dans le monde latin le terme trinitas pour parler des trois personsnes, qualifie l’Esprit Saint de “troisième nom de la divinité”. Il dit de lui qu’il est le “troisième par rapport à Dieu le Père et Dieu le Fils”, qu’il est la “Force vicaire du Christ” et enfin qu’il est l’unique témoin de l’unicité de Dieu . Pour Hippolyte (170-235), l’Esprit Saint est dans tout, et c’est en lui que l’on croit au Fils. Origène (185-253) envisages le Dieu as a unique comme trois cercles concentriques, le plus large representative le Père qui est inengendré, l’intermédiaire representative le Fils ou Logos, et le plus petit l’Esprit Saint, chacun des trois étant une person divine . Origène, enseignant que le Père est supérieur au Fils, lequel est supérieur à l’Esprit Saint, sera pour cette raison taxé de subordinatianisme, et accusé par ailleurs de compromettre le monothéisme[3].

Du concile de Nicee de 325 au concile de Constantinople de 381 [ modifier | modifier code ]

Le credo du premier concile de Nicee de 325 se limite à dire que l’on croit en “l’Esprit Saint”[4]. Or Pendant la période qui suivit le concile, tout un courant se réclamant de l’arianisme connu sous le nom de pneumatomaque combattit franchement la divinité de l’Esprit Saint qui s’opposait selon lui au monothéisme et voyait l’Esprit comme le résultat d a creation. Athanase (296-373) was the premier in the fight against the Holy Spirit, interpreting the Esprit Saint comme étant consubstantiel au Père et au Fils, and correspondent in a Mouvement Circulare de Circcession au Sein de la Trinité Divine. Basile de Césarée (329-379) in the son of Traité du Saint Esprit de 375 refuse category de voir dans l’Esprit a creature and the place where Même rang que le Père et le Fils. Son ami Grégoire de Nazianze (329-390) confirms the identity of the substance of three persons, approfondit la périchorèse intra-trinitaire et enseigne que la spécificité de l’Esprit réside en ce qu’il procède du Père. Enfin l’un des frères de Basile, Grégoire de Nysse (335-395) insist on the distinction of the three persons and on the unity of substance and profession qu’il faut addresser à l’Esprit la même adoration qu’au Père et on Fil[5].

Le premier concile de Constantinople de 381 prolonge son credo par la foi «en l’Esprit Saint qui est Seigneur et donne la vie, qui procède du Père, qui avec le Père et le Fils est également adoré et glorifié et qui a parlé par les Prophets[6]. »

Après le concile de Constantinople [ modifier | modifier code ]

Sous Damase un synode réuni à Rome en 382[7] precise à propos de l’Esprit Saint qu’il est Esprit septiforme, de sagesse, d’intelligence, de Conseil, de force, de Science, de Vérité, et de crinte de Dieu.[8] En tant que l’Esprit se donne aux hommes, ses qualités sont connues comme les Sept dons du Saint Esprit.

Depuis le premier concile de Constantinople, l’Esprit saint est reconnu comme la troisième hypostasis (or “personne”) de la Trinité. Il est distinct du Père et du Fils (Jésus-Christ), mais consubstantiel à eux, c’est-à-dire partageant la même essence.

L’œuvre principale du Saint-Esprit est d’inspirer aussi bien les prophètes de l’Ancien Testament que les rédacteurs de la Bible tout entière. Il communique la paix et l’amour de Dieu au genre humain[9],[10],[11].

« L’Esprit est en nous le signe Certain de la creation nouvelle qui, tout inachevée qu’elle soit, a déjà commencé (cf. Ga 6:15). Actualité du Christ crucifié, il est also en meme temps actualité du Christ ressuscité. Non pas realité de notre propre résurrection, mais garantie qu’elle aura lieu. Plus encore, possibility of considering that nous sommes morts avec le Christ, et vivants pour Dieu en lui (Rm 6:11); Possibilité et Permission de vivre, aujourd’hui, avec une completely assured (Rm 8.18ss) »[12].

Daniel Marguerat reports the situation in the primitive church:

« L’apparition des quatre évangiles, dans le court espace de 30 ans (entre 65 et 95), trouve an explication dans la volunté de stabilizer la tradition de Jésus face aux debordements des prophètes chrétiens. […] À la position corinthienne qui reserve l’Esprit à une élite spiritual, Paul réplique que tout croyant est charismatique. Tout croyant est habité par l’Esprit, traversé par l’Esprit, par le fait meme qu’il énonce la Confession de foi la plus élémentaire (1 Co 12,1-3)[13]. »

La querelle du Filioque [ Modifier | modifier code ]

Le symbole de Nice-Constantinople fixed par les conciles du IVe siècle affirme que le Saint-Esprit “procède du Père”. Or un ajout est effectué par Charlemagne : le Saint-Esprit procède du Père « et du Fils » (in Latin : Filioque). « Je crois en l’Esprit saint, qui est Seigneur et qui donne la vie ; il procedure du Pere et du Fils. Avec le Père et le Fils, il reçoit meme adoration et meme gloire ; il a parlé par les prophetes ».

Ce differend sur la nature de l’Esprit-Saint, connu sous le nom de “querelle du Filioque”, a été l’une des cause du Grand Schisme d’Orient en 1054.

Les orthodoxes estiment en effet que cette innovation est contraire à l’enseignement des Pères de l’Église, tandis que l’Église catholique, qui a adopted cette modification, déclare n’y voir que le développement d’un élément non explicite de la foi des Peres. Ce point est un obstacle majeur à la réconciliation de ces deux Églises.

Periods modern et contemporaine [ Modifier | modifier code ]

Ces périodes sont caractérisées par un morcelllement des Églises. La Réforme remit en cause certain sacraments, dont la Confirmation qui porte sur l’Esprit saint.

Dans la period contemporaine, on vit apparaître, surtout aux États-Unis, plusieurs Églises ou denominations qui persistèrent sur la place de l’Esprit saint dans la vie staffle du croyant, et sur les dons spirituels (charismes). C’est dans ce contexte que le pentecôtisme est apparu au debut du XXe siècle. Elles donnèrent également lieu à the renovation works charismatique au be du Catholicisme (l’Emmanuel, le Chemin Neuf…).

L’Esprit saint est appelé par Jésus “Paraclet” dans le discours de la Cène (John 14:16,26; 15:26; 16:7), littéralement “celui qui est appelé au secours”, que l’on traduit par Consolateur ou Defender. Jésus appelle l’Esprit saint “Esprit de vérité” (John 16:13).

Dans la profession de foi chrétienne [ Modifier | modifier code ]

Les manifestations de l’Esprit saint décrites dans le Nouveau Testament sont l’accomplissement de l’annonce faite par Isaïe (Chapter 11,2 du livre d’Isaïe). Avec la Cène, elle scelle une Nouvelle Alliance. Les dons de l’Esprit rappellent le Décalog decrit dans la Premiere Alliance.

Les catholiques et les Églises orthodox insist on the institution des apôtres et le fait que l’Église en tant qu’institution devient inspired, fondant ainsi son autorité spiritual. Les Églises évangéliques mettent l’accent sur le fait que chacun, recevant l’Esprit saint (1 Co 6:19: “Votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous”), peut annocer le message du Christ, qui est le critère de cette inspiration ; le même Esprit donne à l’Église les pasteurs et autres ministres dont c’est la fonction permanente.

Les Églises évangéliques Attachent une certain importance au fait que l’Esprit permet d’ouvrir celui qui le reçoit à une nouvelle naissance, celle dont Jésus a parlé dans l’évangile selon Jean (3,5) : « Jésus répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut enterer dans le Royaume de Dieu »[14],[15],[16]. Les mouvements charismatiques correspond to a special meaning of certain manifestations of esprit (parler des langues, interprétation des langues, prophéties, guérisons)[17],[18].

Dans les Confessions Chrétiennes [ Modifier | modifier code ]

Le catéchisme de l’Église catholique mentions:

“L’Esprit saint, don’t l’onction imprègne tout notre être, est le Maître intérieur de la prière chrétienne et l’artisan de la tradition vivante de la prière. »

— Catéchisme de l’Église catholique, No. 2672.

Dans le Catholicisme, the spirit of Saint is present in the sacrements.

L’Esprit saint est avant tout le don de Dieu, enseigne le Catéchisme de l’Église Catholique[19] qui cite: “Dieu est Amour” (1 Jn 4:8-16) et précise que l’Amour est le premier don qui content tous les autres. Cet Amour, “Dieu l’a répandu dans nos coeurs par l’Esprit-Saint qui nous fut donné” (Rm 5:5).

C’est par cette puissance de l’Esprit que les enfants de Dieu peuvent porter du fruit[20]. On doit distinguish les dons de l’esprit et les fruits de l’esprit. Saint Thomas d’Aquin fait cette distinction dans la Somme théologique[21].

L’Église catholique considers que les dons de l’Esprit sont reformulés en sept dons (six other mention in Isaïe 11, 2):[22]

sagesse,

Intelligence,

Advice,

Makes,

Science,

Piete,

Crainte de Dieu.

Le Fruit de l’Esprit (et non pas “les fruits de l’Esprit”) regroupe neuf perfections (ou qualités) que forme en nous le Saint-Esprit comme des prémices de la gloire éternelle[23].

Les orthodoxes invoquent l’Esprit saint dans une prière composée par les Pères de l’Église, afin que ce soit l’Esprit saint lui-même qui vienne communiquer l’état de la prière et prier en eux, à travers eux[24] :

« Roi Céleste, Consolateur, esprit de vérité,

Toi qui es partout present et repliessant tout,

Tresor de graces et donateur de vie,

Viens et fais ta demeure en nous,

Purifie-nous de toute souillure

Et sauve nos âmes, Toi qui es Bonté! » «

ὁ πανταχοῦ παρὼν καὶ τὰ πάντα πληρῶν,

ὁ θησαυρὸς τῶν ἀγαθῶν καὶ ζωῆς χορηγός,

ἐλθὲ καὶ σκήνωσον ἐν ἡμῖν

καὶ καθάρισον ἡμᾶς ἀπὸ πάσης κηλίδος

καὶ σῶσον, Ἀγαθέ, τὰς ψυχὰς ἡμῶν. »

Pour les orthodoxes, le Saint-Esprit est la vie de l’Église, en lui se perpétue la présence de Dieu sur terre[24].

Dans le Christianisme évangélique, le Saint-Esprit est considered comme étant pleinement Dieu. Il s’agit de la manifestation éternelle de Dieu in the human dimension. C’est la présence de l’Esprit que Jésus a Promise dans l’Évangile à ceux qui se convertiraient, attestée par les premiers témoins du Christ (Ac 2) [25]. Tous les courants évangéliques considered que le Saint-Esprit est present et œuvrant dans les histoires staffs de chaque croyant, ainsi que dans le devenir de l’Église universale. Partie prenante de la conversion de l’individu, il est also considered comme à l’origine divers dons, qui varient beaucoup si l’on se base sur les écrits néotestamentaires, mais il est courant que les denominations charismatiques mettent l’accent sur tel ou tel don de l’Esprit[26]. Les dons du Saint-Esprit sont au nombre de 9; les dons créatifs (écriture et arts), les dons pastoraux (encadrement et guide des communautés), les dons apostoliques (prédication, enseignement), les dons prophétiques (prophétie dans ses diverses formes), les dons prodigieux (prodiges et wonders) [27 ]. Le christianisme évangélique, particulièrement dans les courants pentecôtisme, mouvement charismatique évangélique, mouvement neo-charismatique, met une emphasis sur l’Esprit et son action dans les vies humaines et dans l’Église[28].

Le christianisme évangélique a a deux conceptions du baptême du Saint-Esprit, celle d’une expérience liée à la nouvelle naissance et celle d’une deuxième expérience, après la nouvelle naissance [29]. Les signes du baptême du Saint-Esprit different selon les mouvements.

Pour les pentecôtistes, tous les les chrétiens de conversion ont besoin d’être baptisés du Saint Esprit ou remplis du Saint Esprit, avec le “signe preuve” selon Actes 2,4, du parler en langues ou glossolalie[30]. Cette expérience du parler en langues s’est renouvelée regulation en Actes 10 et 19, plusieurs dizaines d’années après la Pentecôte. Le parler en langues contains à “parler à Dieu”, “prier Dieu”, “rendre d’excellentes actions de grace” selon la Première épître aux Corinthiens, 14 églises protestantes évangéliques, mais aussi chez les catholiques et orthodoxes; cette mouvance representing 500 millions de chrétiens.

Le parler en langues, ou glossolalie, est pratiqué par le mouvement pentecôtiste et le mouvement charismatique évangélique. Il ne figure pas en tant que tel dans les dons indiqués dans le catéchisme catholique, mais est reconnu dans les mouvements catholiques du Renouveau charismatique[31].

Mais aussi chez les protestants persécutés des Cevennes après la révocation de l’édit de Nantes : «J’ai vu plusieurs personnes de l’un et de l’autre sexe, qui dans l’extase prononçaient Certaines paroles que les assistants jugeaient être une Probation étrangère. Ensuite ceux qui parlaient declared quelquefois ce que signifiaient les paroles qu’ils avaient prononcées[32]. »

En dehors de cet aspect, les pentecôtistes croient comme tous les chrétiens protestants, catholiques ou orthodoxes que le Saint Esprit est la troisième personne de la Trinité Divine. Le Saint Esprit est doué de raison (Ac 15.28), de sentiments (Ep 4.30) et de volonté (1 Co 12.1), en conséquence de quoi, le Saint Esprit est plus qu’une puissance, Il est a person. Le Saint Esprit habite le corps de tout chrétien né de nouveau (Jn 3:3 ; 1 Co 6:19)[33].

Représentations de l’Esprit Saint [ Modifier | modifier code ]

Onitsha, Nigeria. Le Saint-Esprit sous l’aspect de la colombe et de ses langues de feu, art igbo

Dans le Nouveau Testament, l’Esprit saint est represented by various symbols don’t les plus connus sont la colombe (Mc 1:10) et les langues de feu (Acts 2:2-3) …

Les symbols de l’Esprit Saint sont[34] :

l’eau (John 4:10-14)

l’onction : l’Esprit saint agit à travers l’onction lors des sacrements du Baptême, de la Confirmation, Ordination et de l’onction des malades (dans l’Église catholique, les Églises orthodoxes et anglicane) ;

Le feu (Lc 3:16; 12:49; Ac 2:3-4); le(a) chrétien(ne) = celui, celle qui a réellement donné sa vie, son coeur à Jésus (= conversion de l’âme), reçoit ensuite le baptême de feu (le baptême du Saint-Esprit) (Lc 3, 16; Acts 2:3-4)

Baptême de feu (Lc 3,16 ; Ac 2,3-4) la nuée et la lumière : ces deux symbols sont inséparables dans les manifestations de l’Esprit saint. Ils sont apparus lors de la Transfiguration « Celui-ci est mon Fils, mon Elu, écoutez-le », (Lc 1,17 ; 9,4-35) ;

le sceau (Joh 6,27 ; 2 Col 1,22 ; Ep 1,13 ; 4,30)

la main (Acts 8:17-19 ; 13:3 ; 19:6) ;

le doigt (Ex 31,18 ; Lc 11,20) ;

la colombe (Gen 8:8-12 ; Mt 3:16).

Directives of the Église catholique [ modifier | modifier code ]

En 1628, le pape Urbain VIII interdit de representative le Saint-Esprit sous une forme humaine, par example comme l’époux de Marie. Benoît XIV added en 1745 que le Saint-Esprit ne doit être represented que sous la forme d’une colombe[35].

Peinture et sculpture [ Modifier | modifier code ]

L’Esprit saint is souvent représenté comme une colombe, du fait que l’Esprit saint est descendu sur Jesus sous la forme d’une colombe quand il a été dans le Jourdain baptized.

Dans beaucoup de paintings de l’Announcement, l’Esprit saint est represented sous la forme d’une colombe, qui represented de the conception de Jesus à la Vierge Marie par l’ange Gabriel.

La colombe est also à mettre en rapport avec celle qui apporta une branch d’olivier à Noé après le Déluge, et les traditions rabbiniques selon lesquelles les colombes au-dessus de l’eau signifient la présence de Dieu.

Les Actes des Apôtres décrivent l’Esprit saintly descendant on the Apôtres à la Pentecôte sous la forme d’ein souffle et d’une langue de feu qui se pose sur les têtes des Apôtres. En fonction de ce récit, l’Esprit saint est quelquefois symbolizes par une langue de feu.

Veni Creator Spiritus Premier Couplet du

L’Hymne Veni Creator Spiritus est chante à la Pentecôte. Il comporte sept strophes qui symbolisent les sept dons traditions de l’Esprit saint (sagesse, discernement, conseil, savoir, force d’âme, piété et crainte (respect) du Seigneur.Il est attribué à Raban Maur (776-856). Cet hymne est chanté aux Vêpres, à la Pentecôte, à la dédicace d’une église, à la firmation, et à l’ordination sacerdotale, et à chaque fois que l’Esprit saint est solennellement invoqué qui le récite.Une ablass plenière est accordée s’il est récité le 1er janvier ou à la fete de la Pentecôte.

La sequence grégorienne Veni Sancte Spiritus de la messe de la fete de Pentecôte

Marc-Antoine Charpentier a composé vers 1690 3 motets, Pour le Saint Esprit : Veni Creator H 362 for 3 Voix et Basse Continue, 2 Veni Sancte Spiritus (H 364 H 364 a) and H 366 for 3 Voix et Basse Continue. Il a composé, à la fin des années 1680, un Veni Creator pour un dessus seul pour le catéchisme H 70 pour 1 voix et basse Continue.

Charles d’Ambleville is a composé by Veni Creator for 4 Voix Mixtes. Henry du Mont composed a Veni Creator à 4 voix mixtes, si bémol majeur, published in 1652.

Veni Sancte Spiritus de Mozart au XVIIIe siècle.

L’Esprit saint et les autres religions [ Modifier | modifier code ]

L’Esprit Saint et le Zoroastrisme [ Modifier | modifier code ]

Ahura Mazda (Seigneur Sage), dieu suprême and unique, crée l’univers comme one zone d’assainissement for sa progéniture malefique : Angra Mainyu (Esprit Mauvais) qui agit à travers la matière and les ténèbres qu’elle permet. Grace à l’enseignement qu’il délivre au prophet Zoroastre et à ses 3 successeurs, Ahura Mazda donne la possibilité aux êtres humains de lui résister par la bonne parole, la bonne pensée et la bonne action qui sont les trois arms de sa progéniture bienveillante : Spenta Mainyu (Spirit Saint). Spenta Mainyu and Angra Mainyu are the best forces of the moment of creation, Ahura Mazda is a stopover in the fight, the eliminator of the Esprit Mauvais is the master’s souhaite and the opponent of the qualities of the son “Jumeau”. Le temps de l’univers est divisé en trois periods égales, l’Esprit saint règne sur la première, l’Esprit Mauvais sur la deuxième, ces deux périodes leur permettant de se fortifier l’un et l’autre sans être perturbé par l ‘Adversaire en vue d’un combat équitable pendant toute la troisième période. Spenta Mainyu est assimilé à Ahura Mazda car il procède totalement de lui, il est decrit comme l'”esprit obéissant” alors qu’Angra Mainyu est l'”esprit désobéissant”, c’est pourquoi des ambiguïtés ont pris forme dans le zoroastrisme sur la nature de cet esprit qui afffronte le Mal. Zoroastre announces that a party of the Esprit Saint Prendra Corps dans le troisième successeur qu’une vierge enfantera afin que celui-ci apporte la victoire du Bien et sauve le monde corporel en montrant comment vaincre l’Esprit Mauvais (appelé la «Druje des hommes»).

The expression «Esprit saint» (روح القدس, Ruh al-qudus) is present four four fois dans le texte coranique. Elle est connue à l’époque pré-Islamique[36] et proviendrait du syriaque rwh d-qudsha, qui design le Saint-Esprit dans cette littérature chrétienne[37]. Dans le texte coranique, l’intermédiaire classique de la révélation du Coran est l’Esprit, ruh[38]. Celui-ci is a helper to the prophets and a “bienfait de Dieu transmettant son pouvoir”. Dans le texte coranique, l’Esprit est associé au souffle divin (Création de l’Homme ou de Jésus) mais also à la Parole de Dieu[37]. Pour Merad, la présence du Ruh appliqué uniquement à Adam et à Jésus “laisse pressentir une nature spiritual infiniment plus éminente que ne le sont les natures communes”[39].

Les commentateurs du Coran consider que le Ruh, l’Esprit, designe l’ange Gabriel[40]. Pour Chabbi, “il n’y a aucune raison d’admettre l’assimilation faite par Certains savants entre le ruh et Gabriel”. Ce ruh est une figure d’ascance biblique[38]. Pour Dye, le terme Ruh est “très polysémique” et à propos de la sourate 17, «Rūḥ ne designe pas ici le souffle de vie (Q 15:28), l’ange Gabriel (Q 19:17), ou le contenu du message inspiré (Q 42:52), mais bien plutôt l’esprit de Dieu censé parler à travers les propos du prophète (à rapprocher, bien sûr, de l’Esprit saint….) »[41]. Pour Toorawa, si l’association avec Gabriel n’est pas impossible, elle paraît improbable[41]. Un Passage du Coran (XVII, 85) semble meme exclure l’assimilation de Gabriel au ruh[38]. Cette mentions you Ruh, dans la sourate 17 semble être konforme à une conception classique de l’Antiquité, “une seule et même essence essence, l’Esprit saint, s’est personnifiée dans les prophètes ou les a inspirés, jusqu’à trouver en Christ sa révélation pleine et entière”[41]. Cette attribution tardive à Gabriel, niant l’évolution du texte, participe à un “effacement de la temporalité du texte (…) récurrent dans l’exégèse musulmane médiévale”[38 ].

Le terme “paraclet” a connu une fortune particulière dans l’apologétique musulmane. Alors que la tradition Chrétienne a interpreted l’announcement, dans les Évangiles, de la location du Paraclet comme étant celle de l’Esprit saint, Certains musulmans y voient celle du prophete Mahomet. Pour cela, ils se basent sur deux « détournements linguistiques »[42], le premier faisant lire dans le texte syriaque de Jean la racine nhm du terme syriaque comme étant associé à la racine hmd (la même que Mahomet) alors qu’elles n ‘ont que deux letters en commun et dans un ordre different[42]. L’apologétique musulmane a aussi transcrit le terme parakletos par le mot “periklutos”, modified le sens original d'”avocat” en celui de “loué”, le “glorieux”, sens du terme “Mohamed” ou particulièrement Ahmad (Cor. LXI. 6.)[43], en arabe. Cependant, il n’est jamais fait reference de ce terme dans les manuscrits de la Bible en langue grecque et une association de ces termes “reviendrait à traiter une langue indo-européenne (le grec) comme une langue sémitique” dans laquelle primeraient les consonnes et où les voyelles seraient variables, ce qui est inexact[44],[42]. « L’histoire du texte et ḍes traductions de l’Évangile, jointe au fait que le mot periklutos n’était pas courant en grec contemporain, montre que c’est impossible »[43].

L’Esprit saint et le buddhisme [ Modifier | modifier code ]

Selon certain authors, comme Soho Machida from Princeton University or Thich Nhat Hanh, the similar Peuvent être trouvées between Saint-Esprit and the Dharma of Buddhism[45],[46],[47].

Notes and references [ modifier | modifier code ]

Les Bible quotes highlighting the translation of Chanoine Augustin Crampon, the Bible of Jérusalem or the cell of Louis Segond.

Ouvrages de théologie [ Modifier | modifier code ]

Basile de Césarée (Préf. Benoît Pruche, o.p.), Traité du Saint-Esprit, Paris, Cerf, coll. « Sources chrétiennes n°17 ​​​​», 1947 (Présentation en ligne) Benoît Pruche, o.p.), Paris, Cerf, « Sources chrétiennes n°17 ​​​​»,

Bonaventure, Les Sept Dons du Saint-Esprit, Editions du Cerf, June 1997

, Editions du Cerf, June 1997 L’Esprit Saint dans la Bible, June 1985, Editions du Cerf

Comment Appelle-t-on une personne qui transmet la Parole de Dieu ?

Celui qui prêche, celui qui annonce la parole de Dieu. Les plus jolies femmes de la cour et de la ville se faisaient une fête d’un carême prêché par un prédicateur célèbre (Jouy, Hermite, t.

Définition de sacrificateur

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PREDICATEUR, subst. mask. A. − RELIG. Celui qui prêche, celui qui annonce la parole de Dieu. Les plus jolies femmes de la cour et de la ville se faisaient une fête d’un carême prêché par un prédicateur célèbre (Jouy, Hermite, t.2, p.29). Here, at Saint-Jacques, a predicateur professionnel s’est mis en frais. Il parlait de l’enfer: le soufre, les flammes, les fourches, les chaudières. Source idea! L’enfer, l’enfer, je sais ce que c’est (Duhamel, Journal Salav., p.167). V. agadiste ex. 2 and 3, avent ex. 4, excommunier II A ex. de Grousset, Mission B 3 ex. de M. Gautier et D. Gauvrit, platine1II ex. de Cladel, Prêcher B 1 ex. de Goncourt et de Taine: 1. Chez lui, dans sa ville natale, il avait vu des hommes se lever tout à coup et advertise le message de Dieu avec a force de persuasion extraordinaire (…). David se montrait un peu mefiant à l’égard de ces prédicateurs improvisés. Green, Moïra, p.206. SYNT. Prédicateur chrétien; prédicateur dominicain, jesuite; prédicateur brilliant, eloquent, fameux, illustre; prédicateur theâtral; prédicateur à la mode, en renown, en vogue; a Prédicateur en Chaire; homélie, sermon, anathèmes, threats d’un prédicateur; écouter, entender un prédicateur; faire le predicateur. [Prédicateur in position de determinant, souvent avec une connotation péj.] Aisance, éloquence, emphase, métaphore, onction, ton, voix de (d’un) prédicateur. Marinet, un pauvre être étique, toussota et, avec des intonations de prédicateur et des intentions déclamatoires, il commença à énumerer les statuts relatifs à la Constitution d’une société anonyme ( Maupass. , Mt-Oriol , p.137). Admirable quand il touche la grande corde religieuse, (…) [Chateaubriand] tombe dans les petitesses du prédicateur et de l’apologiste, quand il veut relever des details de sacristie (Renan, Avenir sc., p.527). M. Camille lève une main de prédicateur deux fois baguée (Colette, Ingénue libert., p.283). ♦ PATHOL. Main de predicateur. V. main 1reSection I A 1 b α méd. Predicateur + compl. design [complete désignant la choose prêchée] Prédicateur du Christ, du dogme chrétien. Lorsque l’Europe régénérée n’offrit plus aux prédicateurs de la foi qu’une grande famille de frères, ils tournèrent les yeux verses ces régions lointaines, où tant d’ames languissoient encore dans les ténèbres de l’idolâtrie (Chateaubr. , Génie , T.2, p.404). Le judaïsme est le témoin et le prédicateur du monothéisme sans alliage (Weill, Judaïsme, p.140): 2. le Chapelain: Je n’aurais jamais cru que Rubens fût un prédicateur de l’Évangile. le vice – roi : Et qui donc mieux que Rubens a glorifié la chair et le sang; cette chair et ce sang memes qu’un Dieu a désiré revêtir et qui sont l’instrument de notre rédemption? Claudel, Soulier, 2ejournée, 5, p.735. ♦ [compl. denotes la période ou la circonstance à l’occasion de laquelle une série de sermons est prononcée] Prédicateur de carême. Saint Guillaume, archevêque de Bourges, (…) defender redoutable de la liberté ecclésiastique, et prédicateur de la croisade ( Montalembert , Ste Élisabeth , p. lxi ). Cette matinée −la première −fut consacrée à l’examen de la vie sous la direction du père Anet, prédicateur de la retraite (Estaunié, Empreinte, p.140). To annoy. 2 and 3, Ex. 4, II A ex. de Grousset, B 3 ex. de M. Gautier and D. Gauvrit, II ex. de Cladel, B1 ex. de Goncourt et de Taine: B. − P. anal. Lorsque je parle à une assemblée, je sens que je porte en moi un prédicateur laïque (Vigny, Journal poète, p.1354). ♦ Au fém., rare. Ce qui ne serait pas mal, envoyez-lui quelque bonne tête parmi vos abbés, qui la chapitre et lui remette le moral comme je lui ai draw sa jambe. La petite personne est nerveuse; des complications pourraient nous survenir… Vous seriez… oui, ma foi! vous series la meilleure predicatrice; mais vous avez à placer mieux vos sermons… (Mérimée, A. Guillot, p.97). Celui qui prêche, qui prône une doctrine, des idées, une manière de voir ou de vivre. Ces apôtres laïques, ces prédicateurs de pitié et de dévouement, dont le credo et le décalogue se résument en un mot: l’action (Blondel, Action, p.317). Les prédicateurs du réalisme politique se réclament souvent de l’enseignement de l’Église: ils la traitent d’hypocrite quand elle condamne leurs thèses (Benda, Trahis. clercs, p.138): 3. La solution du problem de la misère existe dans l’attaque simultaneously de l’erreur sous tous ses facts, pour atténuer et faire disparaître les cause multiples qui l’engendrent, pour appliquer les remèdes… Or cette tâche est celle (…) des ministres de la religion, des prédicateurs de morale, des poets et des artists… Garnier ds Doc. hist. contemporary, p.16. Rem. Employee adj., prédicateur, -trice. synon. rare de prêcheur, -euse (by ce mot C). Comment ce parti prend-il envers tant de millions d’hommes le ton prédicateur d’un jour de jeûne? (Staël, Consid. Révol. fr., T.2, 1817, p.205). À un mélange de rationalisme court, de politique simple, de bon sens vulgaire, de littérature prédicatrice et prosaïque, Béranger donna precisionement et heureusement le cadre qui lui convenait, la chanson de société (Thibaudet, Hist. litt. fr., 1936, p .94). Pron. et Orth.: [pʀedikatoe:ʀ]. Ac. 1694, 1718: pro; dep. 1740: pre-. etymol. and Hist. 1239 (Acte ds Notices et Extraits des Manuscrits, T.28, p.28). Empr. au b. Latin community praedicator, -oris, v. precheur. frequency Abs. littér.: 337. Fréq. rel. littér.: xix es.: a) 568, b) 563; xx es.: a) 473, b) 361. Bbg. Richard (W.) 1959, p.114, 116.

C’est quoi la Parole de Dieu selon la Bible ?

Trop souvent, on parle indistinctement de Bible et de Parole de Dieu. Or, la Bible n’est pas spontanément Parole de Dieu : elle le devient. L’enjeu est important. Dieu se révèle comme Parole incarnée, comme Parole adressée, comme une Bonne Nouvelle qui nous concerne et nous implique.

Définition de sacrificateur

6 On le voit, la pratique de la Bible est plus complexe qu’il n’y paraît. C’est au prix d’un travail qu’elle devient vraiment Parole. Mais, alors, quel type de travail ?

5 Mais, en amont, encore faut-il lire la Bible. Sil la Bible is le livre le plus vendu et le plus traduit dans le monde, encore faut-il noter que sa presentation n’est pas régulière pour beaucoup. On a souvent une connaissance très lacunaire et approximate de tel ou tel épisode rapporté dans la Bible.

4 Reconnaissons-le : the Lecture de la Bible n’est pas aisée. Elle demands our attention, our effort, our hardship. C’est un processus complexe. Et cela necessite souvent d’être accompagné. Ainsi, en Ac 8, 31 l’eunuque demande à Philippe : « Comment comprendrais-je si personne ne m’accompagne ? » Et en Lc 24, 27, Jésus prend le temps d’ouvrir les Écritures et de les expliquer aux pèlerins d’Emmaüs (mot à mot : « leur fit l’herméneutique »).

3 D’ailleurs, souvent des abus de langage nous piègent. “Lire la Parole”, “ouvrir la Parole” sont des expressions inappropriate. Il s’agit de lire un texte pour, ensuite, au terme d’un travail, entender un message, une parole. En liturgie, nous disons bien “lecture du livre de…” or “lecture de la lettre de…”. Et ce n’est qu’au terme de la proclamation publique que ce texte est devenu “Parole du Seigneur” or “Parole de Dieu”.

2 Bible and Parole de Dieu: voilà une equivalence trop vite affirmée. Il y a un chemin between Bible et Parole. Le texte biblique n’est pas toujours “parlant”: il le devient. Le Christianisme n’est pas une “religion du livre”, mais une religion de la Parole.

1 Laisser la Parole de Dieu faire son travail est une citation du TNOC [1] . Il s’agit d’un défi, qui persiste à se donner les moyens d’un véritable travail à la fois sur le texte biblique et par la Parole de Dieu, sur le lecteur lui-même.

De la Bible à la Parole adressée

La Bible est plus qu’une simple «parole», elle est la médiation d’une parole 7« Une parole qui passe ou une parole en l’air? » Pour ne pas en rester à une parole en l’air et ne pas prendre le risque d’une déformation du message, les premiers témoins ont ressenti la nécessité de mettre par écrit ce qu’ils avaient vécu. L’acte de l’écriture, avec toutes ses implications, est de l’ordre de la transmission / tradition (tradere). 8Ce n’est pas n’importe quelle parole. C’est la Parole de Dieu. C’est une parole efficace, qui agit, qui a du poids. Une parole de vie. 9Qui dit parole nécessite de préciser : monologue or dialogue ? En fait, la Parole de Dieu n’est pas un monologue de Dieu délivré sans souci du retour. Il s’agit plutôt d’une parole qui provoque, qui suscite un dialog et une réaction. 10Le message transmis n’est pas banal. It is rich, complexes to express, to comprendre, to accepter, and not to let it pass in a simple expression. “Le langage, la parole de la croix” (1 Co 1, 18), est “scandale pour les Juifs, folie pour les païens” (1 Co 1, 23). La communication de ce message est donc tout à fait singulière. Le message se veut au-delà des codes de communication humaine. C’est à la croix, dans un cri indéchiffrable, et non pas par un discours bien construit, que le Crucifié fut reconnu par le centurion comme Fils de Dieu (cf. Mc 15, 39). 11Cette parole adopt la faiblesse et les limits de all langage humain : comment un écrit express-t-il la complexité d’un message ? Comment passe-t-il l’épreuve de la traduction, sachant que traduire, c’est trahir… 12Donc, Dieu se dit au risque de la faiblesse de la parole humaine. En meme temps, comment Dieu se laisserait-il enfermer dans une parole humaine ? Comment son message si riche pourrait-il consister en une parole simple, immédiatement et totalement available ?

La sacramentalité de la Parole 13Louis-Marie Chauvet a une belle formule: La Bible est le “tabernacle” de la Parole de Dieu [2]. Plusieurs témoins posent les bases de la sacramentalité de la parole. 14 Le concile Vatican II, dans Dei verbum, No. 24: “Les Saintes Écritures contientent la Parole de Dieu et, puisqu’elles sont inspirées, elles sont vraiment cette Parole. » 15Saint Jérôme : « Ignore les Écritures, c’estignorer le Christ. » Au-delà de l’Écriture et de la Parole, le croyant est invité à l’expérience d’une rencontre… 16On peut parler d’analogie de l’incarnation de la Parole de Dieu dans la faiblesse et la complexité du langage humain . Ainsi, Selon Saint Ambroise, In Lucam VI, 33: “Le corps du Fils est l’Écriture qui nous est transmise. » 17On peut meme expresser la dimension sacramentelle des Écritures. Relisons Benoît XVI, Verbum Domini, n. 56: 18 La sacramentalité de la Parole se comprend alors par analogie à la présence réelle du Christ sous les espèces du pain et du vin consacrés. […] [L]e Christ lui-même est present et s’adresse à nous pour être écouté. […] Saint Jérôme confirms: “Nous lisons les Saintes Écritures. Je pense que l’Évangile est le Corps du Christ; je pense que les Saintes Écritures sont son enseignement […] [3]

Un Dieu qui parle et qui adresse sa parole à l’homme, aux hommes 19Dieu se révèle lui-même comme Parole. “Au beginning était le Verbe… et le Verbe était Dieu” (Jn 1:1; cf. Gn 1:1). Où l’on apprend que Dieu est en quete de l’homme et en a souci (GN 3, 9 : « Homme, où es-tu ? »). Dieu veut entrer en “conversation” avec lui [4]. 20Dieu “donne sa parole” et s’engage sur parole auprès des hommes. Ainsi, il fit des tuniques de peaux à Adam et Ève (cf. Gn 3, 21). Il Confirme la Protection que Caïn lui a demandée (cf. Gn 4, 15). Il met fin au cycle infernal des déluges en ordonnant la construction de l’arche de Noé, dont il ferme lui-même la porte (cf. Gn 7, 16) et s’engage à ne plus jamais envoyer de déluge de son fait : l’alliance est scellée. Dieu sera toujours aux côtés de l’homme : “Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin des temps” (Mt 28:20) et il en prendra toujours la défense (cf. Jn 14:16) . 21Dieu se donne comme Parole incarnée en Jésus-Christ : “Et le Verbe s’est fait chair” (Jn 1, 14). C’est d’ailleurs tout le mouvement de la celebration Eucharistique: la parole proclamée devient nourriture dans l’eucharistie.

The Parole de l’Évangile : Bonne nouvelle… pour nous ! 22L’Évangile rapporte les faits et gestes de Jésus (cf. Ac 1, 1 : « J’avais consacré mon premier livre, Théophile, à tout ce que Jésus avait fait et enseigné depuis le beginning… »). Mais si ce récit est à lire pour lui-même, il déploie son sens quand on le reçoit et qu’on en perçoit les effets “pour nous”. 23La réaction du lecteur, la réception ou la non-réception est expressed by Paul. Ainsi en 1 Co 1, 23 : « Nous proclamons, nous, un Messie crucifié, scandale pour les Juifs, folie pour les païens » ; et en 1 Co 2, 2 : « Je n’ai rien voulu savoir parmi vous, sinon Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié ! » 24Le défi est de mesurer en quoi la Crucifixion et la résurrection du Christ ont un impact pour moi : « Christ est mort pour nos péchés » (1 Co 15, 3) ; “Si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est vide, et vide aussi votre foi” (1 Co 15, 14). 25 Nous trouvons ici un vocabulaire proprement paulinien. Le vocabulaire de la proclamation / annonce / prédication est proche du vocabulaire de « Évangile, évangéliser [5] ». 26Pour dire le message, la tradition a cherché l’expression d’un résumé [6]. Déjà dans l’Ancien Testament, on s’inquiétait d’un résumé des commandements. C’est also, dans le Nouveau Testament, la formula du kérygme [7]. 27Pour bien comprendre l’importance du “pour nous” de la Bonne Nouvelle, rappelons que le mot “Évangile” est emprunté au vocabulaire militaire et imperial [8]. Il designe l’annonce d’une victoire à l’issue d’un combat. Il prend en compte les combats et leur issue heureuse. Pour qualifier l’enseignement de Jésus-Christ, Paul designe par ce vocabulaire, les combats que Jésus a livrés de son vivant, combien il a consenti à la mort, mais combien il a tout mené à la victoire de la résurrection. La Bonne-Nouvelle-pour-nous design les combats humains dans lesquels Jésus est venu s’impliquer et dont il garantit la victoire, announced par sa proper résurrection. C’est donc un vocabulaire qui recouvre toute une sequence combats-victoire. I write to the lecturer in a dynamic and orientated version of an issue heureuse pour lui. La Bonne Nouvelle est une Parole qui rejoint l’experience de vie du lecteur, qui s’inscrit dans son propre récit de vie. 28Pour que cette Nouvelle soit toujours Bonne pour nous, aujourd’hui, encore faut-il la garder vive. L’acte de mémoire et l’objet de la transmission conditionnent la Bonne Nouvelle : 29 Dt 4, 9-10 : « Garde-toi bien d’oublier les chooses que tu as vues de tes yeux ; tous les jours de ta vie, qu’elles ne sortent pas de ton cœur. Tu les feras connaître à tes fils et à tes petits-fils » ; 2 Tm 2, 8ss : “Souviens-toi de Jésus-Christ, ressuscité d’entre les morts …” ; 1 Co 15, 3 : « Je vous ai transmis ce que j’avais moi-même reçu : Christ est mort pour nos péchés, selon les Écritures. » 30De même, au matin de Pâques, le Ressuscité dit à Marie-Madeleine : « Va dire à mes frères » (John 20:17). Marie-Madeleine is the passer de la quête du corps à l’annonce d’une parole de vie pour les “frères”.

C’est quoi une référence biblique ?

Référence biblique Sens : Allusion à la Bible.

Définition de sacrificateur

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Hébreux 4:16

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Hébreux 4. 14-16 – Sondez les Écritures – Bibles et Publications Chrétiennes

Hebreux 4

14

A qui a traversé les cieux, Jésus, le Fils de Dieu, tenons ferme [notre] Confession Ayant donc un grand sovereign sacrificateur qui a traversé les cieux, Jésus, le Fils de Dieu, tenons ferme [notre] Confession a

fifteen

car nous n’avons pas un sovereign sacrificateur incapable de sympathizer à nos faiblesses, mais [nous en avons un qui a été] tenté en toutes chooses de façon semblable à nous, à part le péché.

16

A , afin de recevoir miséricorde et de trouver grace, pour [avoir du] secours au moment opportun. Approchons-nous donc avec trust du trône de la grace , afin de recevoir miséricorde et de trouver grace, pour [avoir du] secours au moment opportun.

Notes before 3. 1, and annotation.

(Traduction révisée)

Commentaire biblique Hébreux 4.16

La promise du repos de Dieu subsiste

1 Craignons donc que quelqu’un d’entre vous, bien que la promesse d’entre dans son repos subsiste, ne pense être venu trop tard ;

2 auto also cette bonne nouvelle nous a été annoncée comme à eux ; mais à eux la parole qu’ils entendirent ne leur servit de rien, parce que ceux qui l’entendirent ne se la sont pas appropriée par la foi.

3 Car nous entrons dans le repos, nous qui avons cru, selon qu’il a dit : Je jurai dans ma colère : Ils n’entreront point dans mon repos ; et cela quoique les oeuvres fussent faites depuis la creation du monde ;

4 car il a parlé quelque part ainsi, touchant le septieme jour : Et Dieu se reposa le septieme jour de toutes ses oeuvres.

5 Et encore dans ce Passage : Ils n’entreront point dans mon repos !

6 Puis donc qu’il est laissé à quelques-uns d’y enter, et que ceux à qui la bonne nouvelle en avait été premièrement annoncée, n’y sont pas entrés, à cause de leur désobéissance,

7 il détermine de nouveau un Certain jour : Aujourd’hui, disant dans le livre de David, si longtemps après, comme il a été dit ci-devant : Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez point vos cœurs.

8 Car si Josué leur eût donné le repos, il ne parlerait pas d’un autre jour après cela.

9 Il reste donc un repos de sabbat pour le peuple de Dieu.

10 Car celui qui est entré dans son repos, se repose, lui aussi, de ses oeuvres, comme Dieu se repose des siennes.

11 Empressons-nous donc d’entrer dans ce repos, afin que personne ne tombe, en suivant le même exemple de désobéissance.

12 Car la parole de Dieu est vivante, et efficace, et plus acérée qu’aucune épée à deux tranchants, et pénétrante jusqu’à partager âme et esprit, jointures et moelles, et juge des pensées et des reflexions du cœur.

13 Et il n’y a pas de créature qui soit cachée devant lui, mais toutes chooses sont nues et entièrement découvertes à ses yeux ; c’est a lui que nous devons rendre compte.

Jesus, notre sovereign sacrificateur, selon l’ordre de Melchisédek

Jesus, sovereign sacrificateur compatissant

14 Ayant donc un grand sovereign Sacrificateur qui a traversé les cieux, Jésus, le Fils de Dieu, retenons ferme notre profession.

15 Car nous n’avons pas un sovereign Sacrificateur qui ne puisse compatir à nos faiblesses ; au contraire, il a été tenté en toutes chooses d’une manière semblable, le péché excepté.

Définition de sacrificateur

A − RELIG. Ministre prepared for victims, noted in the antique. synon. Immolator, victim. Les moindres gestes du sacrificateur et les moindres parties de son costume étaient réglés (Fustel de Coul., Cité Antique, p. 212). Venez, conduisez-moi, devant toute la Grèce, Sur le terrible autel de la fière déesse. Venez, immolez-moi: je verrai sans horreur Se lever le couteau du sacrificateur (Moréas, Iphigénie, V, 2, p. 152).

B −

1. RELIG. JUIVE. The great sacrifice. Le grand prêtre, choice dans la famille d’Aaron. Les anciens d’Israël marchoient with Salomon devant les Tables de Moîse; le grand sacrificateur immoloit des Victimes sans nombre (Chateaubr., Martyrs, T. 1, p. 189).

2. P. anal., vieilli, RELIG. CHRÉT. [En parlant du Christ ou du prêtre qui le représente] Selon la chair, il [le Christ] is the victim you victim et selon l’esprit, il en est le prêtre et le sacrificateur (Maine de Biran, Journal, p. 356 ). Le pretre (…) est roi et plus que roi sur la terre; il est sacrificateur (Sainte-Beuve, Port-Royal, T. 1, p. 451). V. holocaust A 2 ex. from Saint-Martin.

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