Mangeoire Oiseau Pour Geai Bleu? Best 191 Answer

Comme tous les corvidés, le geai des chênes peut être prédateur et s’attaquer au nid d’autres oiseaux, mais cet oiseau omnivore contribue à l’écosystème forestier.

Comme tous les corvidés, et comme d’autres espèces d’oiseaux forestiers, le geai des chênes peut être prédateur et s’attaquer au nid d’autres oiseaux. C’est pourtant un oiseau omnivore, qui contribue à l’écosystème forestier. Et il a été démontré que plus le couvert forestier était fragmenté, plus il pillait de nids. Dans une forêt assez fermée et épaisse, l’oiseau se comporte normalment. Voici pourquoi il est essential de preserver les écosystèmes naturels.

Geai des chênes, qui es-tu ?

Ce corvidé is a passereau de taille moyenne. Contrairement à la plupart de ses cousins ​​de la famille des corvidés, le geai des chênes a un plumage coloré strié de noir et de blanc sur la tête. Il porte une huppe erectile, et une bande noire sous l’oeil qui fait croire qu’il porte des mustaches noires.

Son Corps is de couleur brun rosé sur le dessus et brun plus clair sur le dessous. La queue du geai des chênes est noire, son croupion et son bas ventre blanc, les rémiges primaires de ses ailes bleu vif et noires. Cette espèce n’a pas de dimorphisme sexuel, et males et femelles portent le même plumage.

Le geai des chênes Garrulus glandarius est très present en France, au Maghreb occidental, dans toute l’Europe et toute l’Asie.

Comportement du geai des chenes

Comme pour les autres corvidés, on ne parle pas de chant mais plutôt de cri chez le geai, ce qui peut aussi expliquer la mauvaise réputation dont il souffre. Bien que son répertoire vocal soit très riche, il pousse la plupart du temps un “krreehh” sonore, rapeux et éraillé qui n’est pas agréable du tout à l’oreille humaine.

Il met toutefois en avant la richesse de son répertoire vocal à la fin de l’hiver, au moment de la formation des couples et lors de la reproduction period. Il est également Capable d’imiter parfaitement d’autres oiseaux, notamment la buse variable.

Appelé geai des chênes, il est toutefois forestier principalement en period de reproduction. Alors, il occupe all type de forêts, avec a prédilection pour les forêts de feuillus du type chênaie ou chênaie-hêtraie. On peut néanmoins le trouver dans des forêts mixtes ou des forêts de conifères, suivant l’altitude et le type de régions. C’est un oiseau qui s’adapte très bien à son environnement. Ainsi, on le rencontre également dans les parcs ou bosquets d’aspect forestier, et hors de sa period de reproduction, il s’adapte aux milieux semi-ouverts, aux bocages, jardins, vergers, milieux agricoles où l’on trouve des haies et jardins publics enville.

Caractère du geai des chenes

Craintif et prudent, on l’entend plus qu’on ne le voit et il se tient toujours à bonne distance des hommes. On n’entre pas impunément sur son territoire, et toute la forest en est informée par ses cris rauques et stridents.

De la meme façon, si la martre des pins, redoutable predator des oiseaux forestiers, se presente, le geai des chênes en informe immédiatement tous les environs. En revenge, lorsque l’ombre d’un autour des palombes ou autre Accipiter plane au-dessus de lui, le geai des chênes se fait discret et timoré. Il peut lui arrivalr à cette chance d’imiter le cris de la buse ou d’un autre rapace pour tromper son prédateur.

Monogame, I start a wedding parade on Mars and toute la forêt résonne des cris des mâles. Mais dès que le piaf a trouvé sa partenaire, il s’isole avec elle et se fait tout discret. La forêt retrouve un calme momenté.

Que manges-tu, geai des chênes ?

Omnivore, le geai des chênes se constitue des réserves de graines de céréalesà l’automne, et on le voit alors voler le jabot empli de glands des chênes et de faînes de hêtres dont il est friand et qu’il enfouit sous la mousse ou la litière de feuilles mortes.

Comme ses autres congénères de la famille des corvidés, il est pourvu d’une excellente mémoire visuale et Capable de retrouver en hiver ses réserves de nourriture meme sous la neige. Mais comme beaucoup d’animaux, il engrange plus qu’il ne peut manger, et c’est ainsi qu’il participe à la régénération des forêts, en laissant germer les graines délaissées. Ainsi, à la fin du Neolithique, le plateau calaisien a été colonisé par les chênes à partir de 6000 ans avant Jésus-Christ en grande partie par l’action du geai.

Le geai des chênes n’est pas nuisible

Sa mauvaise réputation lui vient non seulement du fait qu’il lui arrival de piller Certaines plantations de maïs, s’empoisonnant parfois malheureusement à cause des néonicotinoïdes, mais aussi qu’il lui arrival de se servir dans les nids de petits passereaux. Il est able d’attraper un œuf avec une très grande vivacité et même de petits oisillons, s’il fait pour lui grand faim.

Ces attaques lui ont donné le surnom de nuisible or le geai des chênes n’est pas considéré comme un oiseau nuisible. En effet, il participe à la regulation des populations d’oiseaux, mais also à la régénération des forêts et il faut savoir que selon les expériences qui ont été menées, il s’attaque moins aux nids d’autres oiseaux quand les forêts sont épaisses et bien fermees.

C’est ainsi le morcelllement des espaces forestiers qui pousse le geai des chênes à se muer en vilain prédateur. Préservons des forests denses, riches, diversifiées et ou la biodiversité est forte, et le geai des chênes aura un conportement approprié.

Il s’agit d’initier un cercle vertueux, et c’est à quoi nous travaillons dans nos forêts.

Quel Enthusiasts! Eh oui, froid et neige se sont associés cette année pour bien nous faire sentir que nous ne sommes pas sous les tropiques. Sans compter ces écarts de température parfois assez surprenants. Mais qu’en est-il de la faune ailée durant notre hiver abitibien ?

Sur les 250 espèces que l’on peut Observer en Abitibi, plus de 170 partent vers d’autres cieux plus cléments à l’automne. Les autres demeurent avec nous, et ce, sans tuque ni foulard. Soyez sans crinte, ils sont pleins de resources et bien prepared à affronter nos froids glacials.

Mais quelles stratégies adoptent-ils pour lutter contre les contraintes hivernales, telles que le froid, les jours plus courts, la nourriture moins abondante, le manque d’insectes ? Premiere, l’alimentation is the first carburant that transforms energy.

Mesange a tête noire. Credit Photo: Maryse Lessard.

Plus the temperature descends, plus the doivent manger. C’est là que nos graines de tournesol et le gras suspendu à nos mangeoires leur sont utiles. On le voit bien, les petites mésanges, à -30 Celsius, font le va-et-vient sans arrêt aux mangeoires.

Certains futés ont meme pensé à cacher de la nourriture, comme les sittelles, les pics et les geais qui vont dissimuler de la nourriture sous des écorces d’arbres ou dans des trous sur les arbres en début d’automne ou par temps plus clément. Se font-ils voler leur nourriture, oublient-ils ou ils ont deposited leur butin ? Je n’en sais rien…

J’ai lu que le geai bleu peut s’empiffrer d’arachides avant de les transporter vers sa cachette pour maximiser sa dépense d’énergie.

Geai blue. Credit Photo: Jacques Archambault.

Another stratégie is similar to a peu à ce que l’être humain use quand il a froid, “le frisson” qui active nos muscles sous la peau pour produire de la chaleur. Les oiseaux de toutes tailles utilisent donc ce mecanisme quand ils sont immobiles sur une branch. Certains oiseaux (mésanges noires ou brunes, corneilles, moineaux, sizerin…) sont plus gregaires, donc ils aiment se regrouper surtout l’hiver pour accumuler ensemble leur chaleur corporelle et se garder plus au chaud.

De plus, à l’automne, a production plus abondante de duvet s’est crée, offer a nouveau manteau de plumes donnant a meilleure protection pour les froids d’hiver. Par temps glacial, ils peuvent ébouriffer leurs plumes faisant entrer de l’air dans leur plumage donnant ainsi un isolant très efficace.

Des recherches ont démontré que Certains oiseaux comme les mésanges peuvent réduire leur chaleur corporelle de plusieurs degrés durant la nuit en imitant le phenomène d’hibernation.

L’hiver, les oiseaux ont besoin de beaucoup d’energie pour combattre le froid; en les nourrissant, vous pouvez contribuer à augmenter leur taux de survie.

Plusieurs observateurs de la region ont eu à leurs mangeoires quelques hivernants non habituels, qui ne sont pas partis à l’automne. Un moqueur roux a été observé à Évain se nourrissant sur un bloc de gras et se cachant dans les conifères autour. Other observations include unquiscale bronze, un bruant à gorge blanche, un bruant à couronne blanche, un cardinal rouge, un junco ardoisé, de même qu’un merle d’Amérique et des bernaches.

Moqueur Roux. Credit Photo: Nicole St-Amant.

Il serait interesting de pouvoir les interviewer, pour connaître comment s’est passée la saison hivernale pour eux. Mais avec le fait qu’ils sont encore aux mangeoires, disons que le pire est passé.

C’est déjà le temps de penser à nosmigrationurs qui arrivalront sous peu. Espérons que l’hiver ne s’attardera pas trop…

Article in Ensemble pour bâtir magazine, April 2019.

Retrouvez nos réponses archivées. Leur contenu pouvant devenir obsolète, nous vous rendons attentifs à la date de publication.

This article is a coécrit by Roger J. Lederer, PhD. Le dr Roger Lederer is Ornithologue and Fondateur d’Ornithology.com, a website with web information about Sauvages. Le dr Lederer is over 40 ans à enseigner passé, étudier et écrire sur les oiseaux, et il a voyage dans plus de 100 pays pour les étudier. Le dr Lederer is Professor Emeritus of Biological Sciences at the Université d’État de California in Chico. He is also the directeur of the department of biologic sciences and doyen of the College of Natural Sciences. Il a écrit plus de 30 articles de recherche et 10 livres sur les Oiseaux, ainsi qu’un manual intitulé “Ecology and Field Biology”. Le dr Lederer is advised by reputable organizations and publications, listed on the BBC, National Geographic, National Public Radio, ABC News and the Guinness Book of Records. Cet article a été consulté 58 461 fois.

geai des chênes Geai

Geai Geai des chênes Cri de geai

Proche parent des corbeaux et des pies, le geai des chênes est lui aussi un oiseau remuant et criard, doté d’un véritable talent d’imitateur. Son Beau plumage et sa voix éraillee égaient les forêts de chênes d’Europe et d’Asie, qu’il peuple depuis sans doute plusieurs d’années.

introduction

Avec environ 5 300 espèces connues, l’ordre des passériformes (passereaux), auquel appartiennent les corvidés, englobe à lui tout seul un peu plus de la moitié des espèces d’oiseaux actuelles. Pourtant, the origin of this ordre et les cause de son évolution en une large diversité d’espèces sont encore relatively mal élucidées.

Toutefois, des études génétiques menées à la fin du xx e siècle, ainsi que la découverte de fossiles anciens en Australie, laissent penser que le groupe des passereaux aurait fait son apparition au paleocène (début du tertiaire), il y a environ 55 millions d’ années, dans l’hémisphère Sud. Puis, il se serait scindé en deux sous-ordres: les suboscines et les oscines, ou oiseaux chanteurs.

L’histoire evolutive du groupe et des familles qui le composent est assez mystérieuse. Au cours du miocène (between 5.5 and 24 millions d’années), on trouve déjà des formes quasi currentuelles, comme Corvus larteti, en France, ou Miocitta galbreathi, dans le Colorado, aux États-Unis. Le plus ancien fossile de corvidé connu, mis au jour en France, date d’il y a environ 17 millions d’années (milieu du miocène).

On trouve actuellement des specèces de corvidés en Eurasia, en Afrique, en Océanie, ainsi qu’en Amérique du Nord – aucune specèce n’est presente en Amérique du Sud.

Comme la plupart des corvidés, le geai des chenes, Garrulus glandarius, a une large aire de répartition. Ce bel oiseau bavard se rencontre dans la greate majorité des forêts de feuillus de l’Ancien Monde, qu’il contribue à entretir en disséminant glands, faines, noisettes et châtaignes, lors de la Constitution de ses réserves de nourriture.

La vie du geai des chenes

Les bruyantes sentinelles de la forêt

Contrairement aux apparences, le geai des chênes est un oiseau assez Grégaire. S’il est frequent, en dehors de la période de reproduction, de le rencontrer seul ou par paires, an attentive observation – notamment l’écoute des cris – indique vite que les autres membres du groupe familial, voire même d’une troupe plus importante, ne sont jamais très éloignés.

Il existe une grande concertation et une forte cohésion between the different members of a meme groupe. Les oiseaux circulent à la queue leu dans de larges secteurs de la forêt, lançant leurs cris rauques et enroués. Toujours sur le qui-vive, en véritables sentinelles de la forêt, ils recherchent, au sol et dans les arbres, des sources de nourriture pour constituer leurs réserves hivernales. Durant presque toute l’année, les geais des chenes sillonnent en bandes importantes l’ensemble du domaine vital du groupe. Celui-ci, sans limites précises, est assez étendu and englobe of zone plus restraintes, que les couples nicheurs se réservent en proper comme territoires de nidification à la saison de la reproduction.

Des sédentaires parfois contraints à migrer

La superficie des bandes et des surfaces explores various en fonction de la fructification des chênes. Plus celle-ci est médiocre, plus la superficie exploreree est grande. Quand elle est franchement mauvaise, les geais des chênes – comme les jaseurs boréaux qui manquent de sorbes ou les casse-noix de Sibérie qui ne trouvent pas de pignes d’arols -, doivent se déplacer. L’amplitude de ces mouvements migratoires irruptifs – c’est-à-dire imprévisibles et irréguliers – et l’importance des effectifs d’oiseauxconcernés sont variables. Elles deviennent particulièrement importantes lorsque la pénurie alimentaire intervient après plusieurs saisons fastes. En effet, jeunes et adults ont alors survécu en grand nombre grace à une alimentation suffisante, et les nichées ont été importantes. Face à un sévère déséquilibre between le manque de resources et la taille des bandes de geais, l’exode est une necessité vitale.

Certaines années, des bandes atteignant parfois plusieurs centaines de geais partent ainsi en migration. Les oiseaux se suivent alors en longues colonnes, volant dans la même direction, suivant les lignes de relief, longeant les cours d’eau or le tracé des lisières de forêt, marquant des hésitations avant de se décider à franchir des espaces découverts.

En dépit de leurs trajets quelque peu sinueux, ils maintenance un cap, ce qui confère un caractère proprement migratoire à leurs routes. De plus, contrairement à d’other oiseaux irruptifs comme les jaseurs ou les casse-noix, les geais effectuent de veritables mouvements de retour au printemps suivant. Lors de ces voyages de grande envergure, les geais, contredisant leurs habitudes, sont alorscapables de survoler de vastes étendues d’eau: les oiseaux continentaux déferlent ainsi sur les îles Britanniques ouméditerranéennes.

En butte aux rigueurs hivernales du Grand Nord, les geais scandinaves, est-européens et sibériens sont plus volontiers et plus régulièrementmigrants que ceux d’Europe occidentale et méridionale, qui, eux, bénéficient, grace à un climat plus clément, de sources de nutrition plus stables, available, presentable and accessible things forever.

Un oiseau intelligent Un oiseau intelligent

Les corvidés ont toujours beaucoup interressé les éthologistes. Ces oiseaux font en effet montre de components intelligents, tel celui de comprendre les suites logiques. Deux scientifiques françaises, Agnès Fourrier et Bernadette Chauvin, ont soumis des geais des chênes à des tests rigoureux, bases sur la reconnaissance et la memorisation de combinaisons de numbers, en utilisant des carrés porteurs de dessins dont on a fait varier l’orientation, la colour, surface and motif. Elles ont ainsi démontré que l’oiseau is capable of de compléter des séries en conservant la continuité logique de celles-ci.

Des reserves defruits pour l’hiver

Même s’il se montre très friand de glands, le geai des chênes est un omnivore, comme beaucoup d’autres corvidés. Lorsqu’il se met en quete de nourriture, il explore et fouille partout. Très attentif à ce qui l’entoure, il descend volontiers au sol et circule avec aisance au milieu des Branches et des feuillages pour récolter des fruits et capturer des invertébrés, insects pour la plupart.

A great address

Le geai des chenes mange des insectes (forficules, coléoptères, etc.) et leurs larves, comme les chenilles de papillons (surtout les tordeuses du chene et autres mangeuses de feuilles). Il les déloge en se slave uniquement de son bec, qu’il insère sous les écorces et dans les anfractuosités. Pour tuer une guêpe, il la saisit avec son bec et frotte l’abdomen de l’insecte contre une branch ou sur le sol jusqu’à débarrasser la guêpe de son dard venimeux. Il said also decortiquer les galles pour extraire les larves qui s’y trouvent.

The capture volontiers les araignées et il lui come parfois d’absorber des escargots et des limaces, sans pour autant les researchers. De l’hiver au début de l’été, le geai consomme aussi quelques petits vertébrés (lézards, campagnols, mulots, musaraignes et oiseaux de petite taille notamment).

Toutefois ces petits animaux, dont le geai se nourrit tout au long de l’année, sont beaucoup plus rares en hiver. En cette saison ainsi qu’à l’autmne, les aliments végétaux constituent la base de sa nourriture.

C’est un oiseau qui apprécie beaucoup les céréales: blé, orge, avoine, maïs, etc., don’t il décortique et dilacère les grains avant de les avaler. The other ingredients are small and sweet for the fruits: airelles, prunes, cerises, pommes, mûres, baies de sureau et d’aubépine…, mais surtout châtaignes, faines et glands. Il les maintient ferment sous sa patte, tandis que, avec son bec, il les nettoie, les tapote, les triture et les malaxe avec dexterite entre les pointes de ses mandibules.

Transportant plusieurs fruits ou graines à la fois dans son jabot, l’oiseau les deposit un à un dans des caches individuales, qu’il choisit et repère avec soin, en veillant à ce qu’aucun de ses congénères ne l’espionne. Ces caches lui servent de grenier en hiver et de réserves au printemps, et il vient régulièrement y puiser s’il ne dispose d’aucune autre source de nourriture.

Pileurs de Nids

Les geais, pies et corneilles savent que le cri d’alarme d’un autre oiseau adulte dérangé indique souvent la présence d’un nid. Au printemps, ils n’hésitent pas à en piller Certains, pour rapporter œufs ou oisillons à leur progéniture. Au cours de cette period qui precède leur émancipation, les jeunes geais ont en effet d’importants besoins en proteins.

Des histoires d’amour qui durent

Au debut du printemps, les couples de geais se partagent l’espace. The territoire bien defined de chacun varies between 5 and 25 hectares; il est d’autant plus exigu que la densité d’oiseaux est grande. A hierarchie s’instaure et le plus haut range est reconnu aux tenants de territoires. Des que l’un d’entre eux s’absente, les oiseaux qui n’ont pas de territoire (geais non reproducteurs parce que non appariés ou immatures) profitent de son domaine vital, mais ils préfèrent éviter les joutes et lui cèdent la place à son return.

Des ballets dans les arbres

En Mars, les geais se retrouvent dans Certains arbres, situés à la junction de plusieurs territoires. Au cours de ces rassemblements d’une demi-douzaine à plus d’une trentaine d’oiseaux, les jeunes males et femelles en age d’effectuer leur première nidification se rencontrent et s’apparient, tandis que les couples déjà formés consolident leurs liens , et que les adults dont le partenaire de l’année précédente a disparu se choisissent un nouveau compagnon.

Les geais se montrent alors très demonstratifs, circulant d’un arbre à l’autre avec de lents battements d’ailes, en exposant les taches blanches, noires et bleues de leur plumage. Ils accompagnent ces évolutions de croassements et de chuintements et se lancent parfois en chœur dans des chants mélodieux émaillés de quelques imitations d’autres espèces.

Une cour assiste

La parade se deroule parfois au sol, mais le plus souvent dans les arbres. Le male courtise sa partenaire en se plaçant de côté. Il gonfle les plumes blanches de son croupion, cells de ses flancs et du ventre, redresse sa huppe et ses mustaches. Puis il laisse pendre ses ailes déployées, pour en exponer au maximum les designs. Quand la femelle adopted an attitude comparable to corn plus redressée, le mâle se met à sautiller autour d’elle. Bientôt, ses cris ne sont plus que gazouillis et gloussements variés.

Si la woman est consentante, elle se laissez approcher et incite son séducteur à lui offrir la becquée en imitant l’oisillon qui quémande. Alors, le mâle régurgite réellement un aliment, ou bien mime une offer alimentaire. Adoptant a horizontal posture, la female s’accroupit sur ses tarses fléchis, creuse le dos et laissez ses ailes, parcourues de rapides tremblements ou de battements, pendre sur les côtés, plus ou moins déployées.

Plus l’époque de la reproduction approach, plus les partenaires sont inséparables, le male nourrissant fréquemment sa compagne et lui fournissant ainsi l’apport alimentaire indispensable à son ovulation. C’est également a cette period que le male recherche le meilleur site pour le nid.

Des conportements aggressive Des comportements aggressive

Lorsqu’il defended his territory, le geai adopte d’abord une pose d’intimidation – plumage ébouriffé, huppe hérissée – et maintient son bec entrouvert. Il intensifie sa menacing si l’intrus Continue à avancer : le plumage, gonflé à l’arrière du corps, se plaque sur l’avant, qui est pointé verse l’adversaire. L’attaque est imminente.

A partage equitable des taches

Des que le mâle a choisi l’emplacement du nid, le couple se lance dans sa construction, qui demande de 5 à 12 jours. Installé general dans la plus haute division de la tige d’un arbuste, à la fourche de la branch maîtresse d’un arbre ou contre son tronc, ce nid se trouve between 3 and 6 m au-dessus du sol.

With branchettes and brindilles solid element between them, the two adult builds on the outside of a coupe peu profonde (6-7 cm) from 11 to 13 cm in diameter, they also have a tapestry in the interior of radicelles.

Un partner très attention

La femelle pond, à la cadence d’un œuf par jour, de 4 à 6 œufs en general. Leur coquille est vert bleuté ou vert jaunâtre, densément piquetée de brun rouille sur toute la surface. La couvaison begin dès la ponte du deuxième ou du troisième œuf. Pendant les 16 to 19 jours d’incubation, le male nourrit sa compagne toutes les deux heures. Lorsqu’il revient au nid la gorge gonflée d’aliments, il s’approche avec d’infinies précautions pour ne pas attirer l’attention de prédateurs.

Dans la journée, la woman s’absente brièvement, de cinq minutes à un quart d’heure toutes les 3 heures, et circule avec son compagnon qui, curieusement, Continue à l’alimenter.

Pendant la couvaison, elle retourne ses œufs et prend soin du nid, dont elle entretient la texture et chasse les parasites. Au Moindre Signe de Danger, elle se Fige : profondément enfoncée dans le nid, bec ouvert, plumage plaqué. If the danger persists, you give up sa couvée et s’éloigne le plus discrètement possible, pour ne revenir, furtivement, qu’une fois toute crainte écartée.

Une couvée insatiable

Tous les oeufs éclosent in 48 hours, souvent meme in 24 hours. Les oisillons sont nus, et leur peau, rose jaunâtre, prend assez vite une teinte verdâtre.

Durant les premier jours, la femelle garde le nid et se charge de répartir entre ses petits la nourriture que le male lui apporte. Par la suite, les deux parents ravitaillent les oisillons. Lorsqu’ils reviennet au nid, ils émettent un petit cri pour provoquer la demande de nourrissage des jeunes. Sil la réponse tarde, ils leur tapotent les commissures du bec pour les inciter à être plus rapides. Les petits apprennent vite, et, en peu de temps, dressent leur bec largement ouvert avant meme d’entendre ce signal de reconnaissance acoustique de la part de leurs parent. L’adulte enfonce alors profondément son bec dans le gosier béant de l’oisillon, avant d’y régurgiter des aliments soigneusement decortiqués, débarrassés des aspérités et dilacérés, you moins au début.

Pesant 6.6 g à la naissance, le petit geai grossit de façon spectaculaire et atteint 19 g le troisième jour, 80 g à 10 jours et de 110 à 118 g en deux semaines. Pourtant, l’oisillon n’a pas encore terminé sa croissance et dépend toujours de ses parent lorsqu’il sort du nid, between 21 and 23 jours. Cette period d’élevage est très fatigante pour les parents, qui sont contraints à d’incessants voyages. Afin de satisfaire leur nichée, ils doivent puiser dans leuurs caches de nourriture.

D’ordinaire, un couple de geais n’élève qu’une couvée. Mais si les œufs et les petits sont détruits, accidentellement ou par un prédateur, il arrival que le couple ait une ponte de replacement. Le nombre de jeunes qui quittent le nid est presque toujours inférieur au nombre d’oeufs pondus : Certains oeufs n’éclosent pas, et quelques oisillons succombent en cours d’élevage. D’autres encore disparaissent, peut-être Victimes de Prédateurs.

Pour all savoir sur le geai des chenes

Geai des chenes (Garrulus glandarius)

Long d’une trentaine de centimètres, le geai des chenes est le plus petit des corvidés d’Europe; c’est also le plus coloré, le plus remuant and le plus criard. Son nom en latin et dans la plupart of the European languages ​​rappelle combien il apprécie les glands. Il said also bien se montrer curieux, voire effronté, que craintif et furtif.

L’oiseau joue en virtuoso of contrasts, de l’étendue et de la répartition des plages blanches, noires et bleues de ses ailes, en adoptant diversesposes. Le blanc éclatant des plumes du croupion et du bas-ventre, qui peuvent à volonté être gonflées ou rétractées, sert also de signal. Enfin, l’érection de sa huppe, grace à la Contraction de Muscles Peauciers, mark l’inquiétude ou l’alerte, souligne un ordre hierarchique ou a figure de parade particulière.

Les plumes du corps ont one structure molle sans dispositif d’accrochage, contrairement aux plumes des ailes et de la queue.

La woman is legèrement plus petite, mais morphologiquement identique au male. Malgré leur plumage encore laineux et de tonalité plus rousse, les oisillons ressemblent fort aux adultes, seules les plumes bleues de leurs ailes sont moins striées.

Au sol, le geai progresse comme dans les Branches, par longs sauts successifs et nerveux. Ses ailes, très arrondies, lui confèrent un vol particulier, lourd et incertain, aux battements irréguliers, dans les espaces découverts. En revanche, dans la vegetation, cette conformation des ailes en palette lui permet de manœuvrer habilement.

Comme la plupart des oiseaux, le geai manque d’odorat. En revanche, sa vue est excellente et son ouïe, très fine. Il n’a pas son pareil pour détecter la presence d’un intrus et alerter ses partenaires par ses criaillements véhéments. Nombre d’autres espèces ont d’ailleurs appris à se dissimuler en l’entendant.

Ses vocalizations consistently surtout en cris rauques, traînés, enroués, chuintants, voire soufflés, et il est aussi able de pots-pourris variés, surtout lors des rassemblements printaniers. La woman émet alor des sons rythmiques et cliquetants, qui rappellent les castagnettes. Dans le secteur du nid, l’oiseau fredonne un baby très doux, riche en sons modules. Comme d’autres corvidés, le geai est doué pour les imitations. Il reproduit les cris de quantité d’autres oiseaux, et Certains bruits de machine et de klaxons de voiturefigurent meme à son répertoire. Pour l’ornithologiste britannique Derek Goodwin, ces imitations pourraient avoir un lien direct avec ce que l’oiseau voit : il pousse le cri du héron cendré au passage de l’un d’entre eux, celui de la chouette hulotte lorsqu’il vient d’en debusquer une. Dans d’autres cas, les imitateurs sont des jeunes non appariés.

De nombreuses sous-espèces géographiques de geai des chênes ont été définies, et réunies en sept groups. On rencontre le groupe glandarius (sous espèce type: Garrulus glandarius glandarius) dans toute l’Europe; the group Cervicalis en Afrique du Nord; atricapillus au Proche- et au Moyen-Orient, et du Caucase à la Crimée; leucotis dans le Sud-Est asiatique; brandtii du north de la Russie au Qinghai, en Mandchourie and on the islands of Kouriles; bispecularis in the Himalayas and in China; japonicus in the nippon archipelago.

GEAI DES CHÊNES Name (genre, espèce) : Garrulus glandarius Famille : Corvidés Ordre : Passériformes Classe : Oiseaux Identification : Taille de la tourterelle ; plumage brun rosé vineux, ventre blanc, bec noir, queue noire, barrée à la base ; ailes noir, blanc et bleu; oops erectile ; Frau un little more petite que le male Envergure : From 50 to 55 cm Poids : From 150 to 200 g Repartition : Ancien Monde, de l’Europe et de l’Afrique du Nord à l’Asie septentrionale et orientale Habitat : Bois, forêts de feuillus et de conifères, parcs et vergers; volontiers à proximité des hommes Régime alimentaire : omnivores, fruits surtout, glands and faines notamment, corn also insects and petits vertebrés ; prédateur (œufs d’autres oiseaux) à l’occasion Structure sociale : Couples et groupes familiaux ; Grégaire Hors de Reproduction Mature sexual : Entre 1 et 2 and Season de Reproduction : D’avril à juillet Nombre d’œufs par ponte : De 3 à 7 œufs (souvent de 4 à 6) pesant de 6 à 10 g ; from 2 to 4 jeunes seulement le nid vers l’âge de 1 mois Duration of incubation : 16-19 days (en général 16 or 17) Longévité : 5 or 6 ans ; 17-18 ans au maximum statute, protection: Espèce répandue, non menacée

Signes particuliers

feathers

Sur l’aile du geai des chênes, les 3 plumes s’insérant sur l’os du pouce, ou rémiges polliciales, sont d’un bleu cobalt éclatant régulièrement barré de noir, comme a partie des couvertures aaires. Chez les adultes, ces barres s’amenuisent et se multiplient. The coloration noire is due to the pigment (mélanine), the blue complexion (structurale) is narrowed by the reflection of the light on the cellules of the barbes of the plume, and the same is true of the vacuoles remplies d’air.

Tete

Avec ses yeux bleus, sa mustache noire et sa courte huppe arrondie, le geai a belle allure. Selon les regions où il habite, les couleurs du plumage de la tête et parfois celles de l’œil varient. Les geais du groupe Garrulus glandarius glandarius ont le haut de la tête blanc, fortement rayé de noir.

Le groupe cervicalis, proche du précédent, possède le dessus de la tête tout à fait noir.

Les geais du groupe brandtii ont la tête rousse, ponctuée de noir sur le front.

Les geais du groupe japonicus a masque noir et une calotte blanche fortement striée de noir.

Les oiseaux du groupe atricapillus ont l’iris sombre et la face blanche avec une calotte noire ainsi qu’une plage blanche sur l’aile.

Le groupe leucotis a, lui aussi, l’iris sombre et la face blanche avec a calotte noire, mais la plage sur l’aile est bleue, barrée de noir.

Les geais du groupe bispecularis ont l’aile bleue, barrée de noir, l’iris sombre et la tête rousse unite.

bec

Constitué de corne noire, le bec est robust et épais. Length from 2.5 to 3.3 cm, this is the width. Les narines sont recouvertes de touffes de petites plumes dirigées verse l’avant.

Les other geais

La grande famille cosmopolite des corvidés regroupe des oiseaux de taille variable avec un bec épais, comprimé latéralement, droit ou conique, parfois incurvé, et portant des touffes de petites plumes, ou vibrisses, recouvrant leurs narines. Leur queue peut être tronquée, arrondie ou étagée, et comporte parfois des rectrices médianes très allongées. Leur plumage is variable: noir luisant or de teinte terne, gris or brun, or encore extrêmement coloré.

Les corvidés se sont établis partout, except in Antarctica, in Polynésie and in certain groups of the islands of the Mascareignes, and in colonies of all types of environments. Plutôt sédentaires, ils effectuent des déplacements de faible envergure; seules quelques espèces sont réellement migratrices. Les corvidés comprennent les corbeaux (y compris corneilles, choucas, chocards, craves), les pies et les geais ; Mais also les casse-noix (genre Nucifraga), les geais terrestres (genres Podoces et Pseudopodoces) and l’énigmatique corbin de Stresemann (Zavattariornis stresemanni) du sud de l’Éthiopie.

On the general class of the quarantine of geais en 12 genres : Garrulus (3 espèces dont le geai des chênes) ; Perisoreus (3 specimens); cyanocitta (2 species); aphelocoma (5 species); Cyalonyca (9 species); Cyanocorax (16 species); Calocitta (2 specimens), Psilorhinus, Gymnorhinus, Platylophus and Platysmurus (1 specimen Chacun). Plusieurs vivent en petits groups qui s’entraident pour nourrir mères et jeunes lors de la reproduction. Les principales espèces sont :

Lanced Vulture (Garrulus lanceolatus)

Identification: Queue allongée terminée de blanc, gorge striée de blanc, tête noire, plumes des ailes and de la queue bleues et barrées de noir.

Repartition: forêts de l’Himalaya.

Geai de Lidth (Garrulus lidthi)

Identification : longue queue terminée de blanc, gorge striée de blanc, corps marron ; tête, ailes et queue d’un bleu pourpré.

Repartition: forêts de chênes de l’archipelago Ryukyu (Japan).

Status : vulnerable, effectifs en baisse.

Mesangeai du Canada (Perisoreus canadensis)

Identification: petit bec, plumage gris dense. Niche sous la neige et dans le froid.

Repartition: forêts de conifères du Nord; à l’ouest des États-Unis.

Autres espèces : deux autres mésangeais font partie du meme genre Perisoreus et ont un mode de vie très semblable à celui du mésangeai du Canada :

– le mésangeai imitateur, Perisoreus infaustus, vit dans le Nord de l’Eurasia;

– le mésangeai du Sichuan, Perisoreus internigrans, which is unique in China in the provinces of Sichuan and Xi Jiang; espèce vulnerable aux effectifs en baisse.

Geai bleu (Cyanocitta cristata)

Labeling: oiseau huppé, bleu et mauve, marques blanches aux ailes et au bout des plumes de la queue.

Repartition : forêts, bois, parcs et jardins ; America du Nord and vers le sud, jusqu’en Florida et au Texas.

Geai de Steller (Cyanocitta stelleri)

Identification marks: bleu foncé, dos gris ou brun, huppe pointue assez longue.

Repartition : forêts de conifères ou de feuillus, lisières et parcs ; ouest de l’Amérique du Nord and central.

Geai a gorge blanche (Aphelocoma coerulescens)

Identification: pas de huppe, oiseau gris et bleu. Invite.

Repartition: formations vegetales buissonnantes; east of the États-Unis, de l’Oregon à la California et au Mexique; isolated population in Florida.

Status : vulnerable, effectifs en baisse.

Geai du Mexique (Aphelocoma ultramarina)

Identification: proche du précédent, bleu outremer, pas de sourcil blanc.

Repartition : Arizona and Mexico.

Geai unicolore (Aphelocoma unicolor)

Identification : Entièrement Bleu.

Repartition: sud du Mexique.

Geai buissonnier (Aphelocoma californica)

Identification: ventre et gorge blancs, dos et queue bleus, avec a large marque brun clair au level des épaules, joues et bec noirs.

Repartition : North America (Mexique, États-Unis, Canada).

Geai de Santa Cruz (Aphelocoma insularis)

Identification: similar to au geai buissonnier, mais son bec et plus fort et le bleu de son plumage plus intense.

Repartition : Endémique de l’île de Santa Cruz (California).

Statute : quasi-threatening, effective stables.

Geai nain (Cyanolyca nana)

Identification: taille d’un merle; bleu foncé avec masque noir, plumes de la queue parfois longues et étagées.

Repartition: forêts de chênes et de pins du sud du Mexique.

Geai couronne (Cyanolyca cucullata)

Identification: semblable au précédent; Cap bleu azur avec un trait blanc.

Repartition : forêts d’altitudehumides et baignées de brouillards ; is you Mexique and au Panamá.

Geai indigo (Cyanolyca viridicyana)

identification : très beau bleu vif ; Mask and Necklace Noirs.

Repartition: Forêts de Montagne; Perou and Bolivia.

Geai vert (Cyanocorax yncas)

Identification: comme tous les Cyanocorax, proche des petits corbeaux par the forme du bec et la teinte sombre de la partie antérieure du corps; tête arrondie bleu ciel, huppe de plumes courtes et hérissées, marquées de bleu, lustrées, joues et poitrine noires, dos vert et rectrices externs jaunes caractéristiques. Invite.

Repartition: forêts et boisements plus clairs, steppes; you sud-est you Texas à la Bolivia.

Geai de Cayenne (Cyanocorax cayanus)

Identification: tête blanche, gorge et poitrine noires, dos bleu sombre; un peu de vert.

Repartition : Plateau des Guyanese.

Geai de San Blas (Cyanocorax sanblasianus)

Identification : tête, cou, avant du dos et dessous noirs ; le reste bleu ; courte huppe frontale. Invite.

Repartition : boisements de chênes et de pins, plantations de café ; Mexico.

Geai enfumé (Psilorhinus morio)

Espèce includes specific authors in the Cyanocorax genre.

Distinguishing features: Courte Huppe Frontale, Queue étagée, Plumage Brun or Brun et Blanc. Invite.

Repartition: boisements dégradés par l’homme; du Mexique au Panama.

Geai a face blanche (Calocitta formosa)

Identification : bleu et blanc, grande queue, longue huppe érectile. Invite.

Repartition : boisements variés, plantations de café and zone agricoles boisées ; du sud du mexique in Costa Rica.

Geai a face noire (Calocitta colliei)

Identification : très semblable au précédent, dont il est parfois considered comme une race.

Repartition: forêts, Mexique (ouest).

Geai des pinedes (Gymnorhinus cyanocephalus)

Identification : bleu-gris uni, queue courte, sans huppe, bec allongé. Espèce très gregaire ; invite.

Repartition: forêts de pins pignons; sud-ouest des États-Unis.

Status : vulnerable, effectifs en baisse.

Geai huppé (Platylophus galericulatus)

Identification: Oiseau Trapu, plumage gloomy, de brun olive à brun-gris, longue huppe, grand croissant blanc sur les joues et les côtés du cou. Espece mal connue.

Repartition: Forêts Tropicales; Java, Sumatra, Borneo, Malaysia and South-East of Thailand.

Status : quasi menacé, effectifs en baisse.

Geai ailes blanches (Platysmurus leucopterus)

Identification: taille d’une pie, plumage noir (sous-espèce: P. l. aterrimus de Bornéo) or rehaussé d’une bande blanche sur l’aile (sous-espèce: P. l. leucopterus de Malaisie et de Sumatra) , courte huppe, queue.

Repartition: Jungle buissonnante et forêts; Borneo, Malaysia and Sumatra.

Status : quasi menacé, effectifs en baisse.

Milieu naturel et ecology

De par l’importance de sa répartition géographique (tout l’Ancien Monde), le geai des chênes occupe une grande variété de milieux. Il peut toutefois être considéré comme un oiseau typique des bois, fréquemment associé aux chênes dont les fruits abondants le nourrissent, meme si, dans Certaines régions comme le nord de la Scandinavie, sa répartition n’est pas calquée sur celle des chênes.

La presence du geai des chênes est intimement liée à la proximity des arbres. L’oiseau frequente les hautes et vieilles futaies autant que les taillis sous futaies, occupe les boisements mixtes de feuillus et de conifères, les forêts quasi pures de conifères, les forêts de plaine ou de montagne – il niche à plus de 3 000 m d ‘ altitude sur les pentes himalayennes –, les grands massifs sylvestres ou les lambeaux forestiers accrochés à flanc de vallons ou de ravins escarpés, ou sur les rives des cours d’eau. On le trouve meme dans les petits bois isoles, résidus forestiers qui ponctuent les zone d’agriculture intensive. Craignant peu la presence de l’homme, il people s’établir dans les parcs, les squares et other spaces verts en milieu urbain. In the autour regions of the Mediterranean, the expèce pénètre à l’interieur des oliveraies.

Desfruits soigneusement selected

À l’automne, quand les fruits (glands, mais aussi noisettes, châtaignes et faines) arrivent à maturité, le geai consacre tout son temps et son énergie à stocker cette provende massive, également convoitée par les cervidés, les sangliers, les pigeons ramiers , les écureuils, les petits rongeurs, voire les pics et les sittelles.

Pour constituer ses réserves, le geai va cueillir les fruits sur l’arbre, et, par la suite, les collecte au sol. Il peut alors être amené à effectuer de longs déplacements quotidiens entre son territoire et les zones où fructifient les chênes ou autres arbres en fruits.

L’oiseau choisit de façon précise les glands qu’il ramasse : il faut qu’ils soient sains, non parasités, non déshydratés, gros et lourds, c’est-à-dire les plus riches en matières nutritives, non seulement pour l’oiseau, mais aussi pour le bon développement des plantules.

Dans l’arbre ou sous l’arbre, le geai emmagasine de 5 à 9 glands dans son jabot et dans une poche extensible située sous la langue, ce qui lui gonfle la gorge. Il rejoint ensuite la zone qu’il a choisie pour constituer ses stocks. Veillant constamment à ne pas se laisser surprendre par un congénère, le geai procède fort discrètement : la compétition est âpre. Ainsi, un geai qui vient de cacher un aliment change celui-ci de place lorsqu’un congénère l’a vu faire ou simplement lorsqu’il soupçonne que sa cache a été détectée.

Un semeur de forêts

Le geai cache un à un, et bien espacés les uns des autres, les glands qu’il recueille par milliers. Ce type de dispersion permet d’éviter, notamment, la contamination par les moisissures et les champignons. De plus, l’enterrement des glands les protège de la dessiccation et leur évite les fâcheuses alternances dessèchement-hyperhumidité, qui engendreraient leur décomposition s’ils restaient en surface. L’enfouissement leur évite aussi les attaques des insectes et les préserve des températures trop basses et des gels intempestifs. Un tel mode de stockage conserve au fruit toutes ses potentialités nutritives pendant plusieurs mois.

Le geai sait parfaitement retrouver ses caches, mais il ne les utilise pas toutes. Il connaît et repère très vite les plantules de chêne, en particulier celles qui ont conservé leurs cotylédons, donc leur matière nutritive. Le geai déterre ceux-ci en piochant le sol de son bec ou saisit la plantule entre ses mandibules, la soulève et en exhume les cotylédons, qu’il cueille.

Les cachettes alimentaires constituées par le geai sont précieuses non seulement pour la survie de l’oiseau, mais aussi pour les plantes. En effet, dans bon nombre de caches non utilisées, les glands germent. De plus, lorsque le geai prélève les cotylédons d’une plantule, celle-ci est souvent déjà en état de continuer sa croissance sans ces éléments nourriciers. Des botanistes ont déterminé que le taux de germination des glands est optimal quand ceux-ci pèsent entre 3 et 8 grammes. Or, il a été montré par expérience que le geai des chênes cache justement des glands de cette taille. De plus, en semant sur de grandes surfaces les glands produits par un chêne donné, le geai contribue à disséminer les plantules et à optimiser leurs chances de réussite. Son action diminue les effets de la compétition intraspécifique qui ne manquerait pas d’intervenir si tous les glands restaient sous l’arbre producteur.

Le danger vient du ciel

De par sa taille, le geai des chênes est une proie recherchée par divers rapaces tels que l’autour des palombes, expert lui aussi du vol manœuvrier dans la végétation. L’épervier le chasse aussi, surtout la femelle, qui capture des proies plus grosses que celles du mâle. Même s’il ne fréquente guère les espaces ouverts, le geai est, à l’occasion, surtout en hiver quand les arbres sont effeuillés, attaqué par le faucon pèlerin. De nuit, et surtout au nid, il peut être victime d’un rapace nocturne, chouette ou hibou. Parmi les mammifères, son principal ennemi est la martre, qui tue aussi bien les adultes que les jeunes et gobe les œufs. Ces derniers attirent également d’autres corvidés, comme les pies et les corneilles, et l’on peut même suspecter les geais de se piller mutuellement leurs nids.

Le geai des chênes et l’homme

Un bavard de mauvaise réputation

Le geai des chênes a toujours inspiré l’imagination populaire. Sa volubilité, la beauté et l’harmonie de son plumage chamarré, les relations de mutualisme qui le lient aux fructifications et à la régénération des chênes et enfin son rôle de prédateur épisodique lui ont valu de figurer en bonne place dans les légendes.

Un trop beau pilleur

Il est certain que ses mœurs de prédateur des nids des autres oiseaux ont valu une bien mauvaise réputation au geai des chênes. C’est à ce titre que ce joli petit oiseau fut longtemps, et demeure encore trop souvent, qualifié de « nuisible ». Dans certains endroits où les geais sont nombreux, les mœurs de ceux-ci peuvent menacer d’autres oiseaux, mais d’ordinaire elles contribuent à l’équilibre du milieu.

Traqué à coups de fusil (pour obtenir du même coup un trophée, l’oiseau empaillé, avec ses belles ailes colorées déployées), déniché, alléché par de perfides appâts empoisonnés, le geai a toujours été harcelé par l’homme. Cette volonté de destruction s’est probablement trouvée inconsciemment renforcée par le contraste entre la splendide parure de l’oiseau et ses mœurs prédatrices, le transformant en une sorte de Dr Jekill et Mr Hyde emplumé. Pourtant, le geai ne pille les nids de merles, de grives et d’autres passereaux qu’en mai-juin, lorsqu’il élève ses jeunes. De plus, cette prédation n’a rien de systématique et, si certains geais de chêne se montrent attentifs aux oiseaux qui nichent sur leur territoire, d’autres les ignorent.

Un bavard qui porte bien son nom

Le geai est bavard. Tous lui ont reconnu cette caractéristique : les scientifiques qui lui ont attribué son nom latin de Garrulus (bavard), le poète Verlaine, qui se compare à l’oiseau dans son poème Invectives, lorsqu’il dit de lui-même avoir « garrulé comme un geai », mais aussi la tradition populaire, qui lui a donné en dialecte le nom de « jacque », comme d’ailleurs elle a appelé « jacasse » un autre corvidé tout aussi bavard que lui, la pie. La volubilité de ces deux oiseaux est sans doute à l’origine du verbe « jacasser ».

Les paysans interprètent souvent les cris de l’oiseau qui les observe comme des commentaires, parfois railleurs mais rarement louangeurs, de leurs travaux. Certains s’entendent critiquer dans leur besogne par des « ça traîne », d’autres imaginent que le geai les menace par des « j’les mangerai », lorsqu’ils sèment des petits pois. Et, ainsi que le relatent les ornithologues allemands E. et L. Gattiker, les laboureurs bretons leur prêtent un « ta-hard ! ta-hard ! », c’est-à-dire « plus profond, plus profond ! ».

Plumage et ramage de légende

La combinaison de son plumage coloré, de ses mœurs prédatrices et de sa voix insolite a valu au geai de susciter maintes légendes et croyances populaires.

Dans certaines régions d’Allemagne et de France, on gardait autrefois les plumes de ses ailes pour confectionner des parures de sorcier. Sa chair était réputée soigner la phtisie (tuberculose).

Selon une légende allemande, lors du massacre des Saints-Innocents, l’oiseau aurait cherché à avertir le roi Hérode que l’Enfant Jésus était caché sous des gerbes de blé ; il serait, depuis, condamné à n’être plus jamais rassasié et à se constituer des réserves.

Dans la légende similaire qui circule en France, la punition infligée à l’oiseau fut la perte de son plumage magnifique, dont les quelques plumes bleues qui le parent aujourd’hui ne seraient que des vestiges.

Selon un conte finlandais, le geai fut invité à une noce. L’oiseau se mit en quête d’un bel habit. Or, à cette époque, le coucou était brillamment coloré. Le geai lui emprunta donc sa livrée en lui promettant de la lui rendre ; mais il ne tint pas parole et, depuis, le coucou porte un plumage terne.

Source que soit la taille de votre jardin, meme s’il est petit, vous gagnerez à bien le concevoir afin qu’il puisse attirer et héberger différents oiseaux. Et le printemps voit le return des oiseaux dans les jardins et sur les balconies: le moment est donc venu de leur offer un Refuge et de s’interesser à eux.

Une vegetation adaptée à l’accueil des oiseaux

Ideally, a jardin comprenant des arbres, des arbustes, des haies et des buissons constitute a choix ideal, en plus des fleurs et du gazon bien évidemment pour leur aspect ornamental. L’étagement de la vegetation permis par cette diversité ne peut se recréer partout et notamment pas dans les petits jardins où vous pourrez, malgré tout, installer des arbustes, des plantes buissonnantes ainsi que toutes sortes de vegetation touffue ou grimpante d’accueillir des nids en toute discretion, à l’abri des regards.

Privilege of the essences that produce the grains or the bays that mettront à la disposition des oiseaux un excellent garde-manger. Et pensez à installer une bisannuelle comme la cardère (Dipsacus) dont les feuilles soudées forment un petit reservoir d’eau de pluie attirant les oiseaux qui viennent s’y abreuver.

Par contre, qu’il s’agisse de jouer de la cisaille sur votre haie, d’un arbuste à tailler ou d’un arbre à étêter, n’engagez pas ces travaux du printemps jusqu’à la fin de l’été : Attendez que l’automne puis l’hiver soient là pour entreprendre ces tâches, afin de ne pas suppress toute possibilité d’installation des oiseaux.

Pour ou contre l’installation de nichoir pour attirer les oiseaux?

Certain s’opposent à l’installation de nichoirs dans les jardins, preferring to let les oiseaux libres de s’installer et de nidifier par eux-mêmes. Cela se conçoit mais rien ne vous empêche d’aider les oiseaux en leur mettant à disposition mangeoires et nichoirs, notamment en hiver. Vous pourrez meme construct et installer un nichoir à oiseaux par vous-meme, à l’abri des chats ! Attention à bien l’entretir par la suite, c’est-à-dire le nettoyer régulièrement et de manière plus approfondie à l’automne avant de le réinstaller pour l’hiver, saison durant laquelle il pourra servir de loge nocturne. Au printemps, il servira de refuge sûr.

Pour ou contre nourrir les oiseaux?

Les avis divergent also sur le bien-fondé à nourrir ces petits animaux, pourtant rien ne s’oppose à nourrir les oiseaux de son jardin en hiver. Graines de tournesol et graisse non salée attireront inévitablement les oiseaux, mais veillez à ce que les grands opportunistes comme le pigeon ne viennent pas dévaliser les mangeoires avant que les passereaux n’aient eu le temps de pointer leur bec !

Et puis, n’oubliez pas que les oiseaux ont autant besoin de boire, y compris en hiver, que de manger, alors pensez à prévoir un abreuvoir dans lequel ils pourront aussi se baigner pour entretir leur plumage.

Le guide des oiseaux du jardin* de Guilhem Lesaffre, ornithologue éminent, is currently proposed in a coffret content un nicoir-mangeoire-abreuvoir “3 étoiles” (étage, terrasse, spa!…) justement : parfait pour essayer d’attirer les oiseaux in your garden or on your balcony.

Sources espèces d’oiseaux accueillir ?

Bien des oiseaux peuvent visiter votre jardin comme des petits rapaces diurnes ou nocturnes (chouette hulotte…), des pics (pic épeiche…), des oiseaux d’eau si une pièce d’eau se trouve à proximité (poule d’eau…) , mais les oiseaux les plus utiles et les plus courants restent les passereaux (chardonneret élégant, mésange charbonnière, rouge-gorge, geai des chênes, bouvreuil pivoine…).

A force d’observation, non seulement vous sourez les identifier mais vous noterez que les espèces varient selon les saisons : outre les sédentaires comme les moineaux, vous croiserez forcement des “hivernants” après les “visiteurs d’été” et les “migrateurs” qui ne font qu’une pause à l’autmne ou au printemps.

Start with vingtaine d’espèces parmi les plus faciles à Observer, vous élargirez progressivement vos connaissances et vos découvertes !

* (Larousse editions – April 11, 2018 – box office €15.95)

Moineaux, Mésanges, Pinsons de Arbres virevoltent between your potager and your verger. Vous souhaitez les aider en leur donnant à manger. Faut-il les nourrir toute l’annee ? Sources sont les graines que vous pouvez leur thunder ? Quel oiseau attirer selon quelles grains ? No answers.

Un veritable petit ballet aérien d’oiseaux se déroule sous vos yeux quand vous êtes dans votre jardin. Pour leur donner un coup de pouce pour qu’ils se rassasient, en complément de leur nourriture, voici une liste de graines – qui doivent être non salées et non grillées -, à déposer sur une planche de bois ou dans une mangeoire, en hauteur , for the viewer, at a distance, in a train de picorer.

La Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) recommends this promotion, unique when nature is est moins généreuse and que les resources alimentaires sont plus rares, between November and March.

A cette period, les oiseaux ont notamment besoin d’aliments riches en glucides et en graisses pour mieux surmonter les températures basses. En été ou en cas de forte chaleur, vous pouvez leur deposit un bol d’eau que vous changerez régulièrement.

À lire aussiOiseaux: «On peut donner des graines, mais juste en hiver»

Les Graines de Tournesol

Originally American or Mexican, tournesol grains, protein bomb, rich in lipids, proteins, glucide and vitamins B and E, sous la acide linoleique. Il existe deux categories : striée et noire. Il est conseillé de privilegier cette dernière, moins riche en matières grasses. Elles sont les plus utilisées pour remplir le petit ventre arrondi des granivores, comme les mésanges, les pinsons, les sittelles, les pics, les verdiers ou encore les chardonnerets.

À lire aussi5 oiseaux à Observer dans son jardin au printemps

Les graines de mais

En provenance d’Amérique centrale, en particulier du Mexique, le mais appartient à la famille des graminées. It is rich in vitamins B and C, fiber, proteins and minerals. Ses graines concassées sont utilisées pour nourrir les moineaux, bouvreuils, pinsons, juncos, colombes blanches et bruants qui se rassasiat au leve du sol. Les merles eux, préfèrent les pétales de mais.

Les graines de blé

Composé en majorité d’amidon et de protéines, le ble vient principalement d’Europe, d’Amérique du Nord et du Moyen-Orient. Ses grains, disposés sur un support au sol pour ne pas être en contact avec l’humidité sont appréciés des tourterelles, moineaux, bouvreuils, les faisans et autres pigeons.

Les graines d’orge

L’orge, céréale de la même famille que le blé et l’avoine is rich in soluble fiber and beta-glucan, magnesium, phosphorus and other sources of vitamins B and de energétique importante, de la famille des graminées. Ses graines, deposited sur un support sec au sol font la joie des moineaux, faisans, tourterelles, pinson, bruants et pigeons.

À lire aussiJardin: bien connaître les oiseaux pour mieux les protéger

Les graines d’avoine

L’avoine, de la famille des graminées, est une céréale originaire d’Asie Mineure et d’Europe centrale, qui serait cultivée depuis environ 2500 ans avant Jésus-Christ. Source of proteins, de glucides, d’eau, d’acides aminés et de vitamines B, ses graines sont efficaces pour attirer des oiseaux granivores tels que les pinsons et les rouges-gorges.

Les grains of millet

Originaires d’Afrique et d’Asie, les graines de millet, de couleur jaune, sont riches en magnesium, en proteinines, en vitamines B et E, en minéraux et sans gluten. Moineaux, Verdiers, Chardonnerets, Tourterelles, Accenteurs et bruants en sont friands.

Les Grains de Niger

De forme allongée et de couleur foncée, elle est réputée pour sa légèreté et sa finesse. Originaire d’Afrique, elle est riche en proteins et en matières grasses. Ce qui explique qu’elle soit appréciée des oiseaux de petit gabarit comme les chardonnerets et les juncos.

À lire aussiOiseaux des jardins: comment enrayer leur déclin?

Lesgraines de pavot

Mésanges, Sittelles, Chardonnerets viendront in your jardin si vous y deposez des graines de pavot, de couleur noir or bleu foncé, originaires du Moyen-Orient. Elles provided de la plante Papaver somniferum and sont riches en lipides, glucides, proteins, vitamines et sels minéraux, de preference melangées avec d’autres graines.

Les graines de pastèque et de melone

Pastèque et melon, originaires d’Afrique, sont de la famille des Cucurbitacées. Riches in proteins, acidic amino acids, vitamines and minerals, les mésanges raffolent des graines de pastèque, tandis que les moineaux seront friands des graines de melon, riches en fibers et en vitamines A et C.

Par ailleurs, il est possible de faire des melanges de ces graines, en évitant d’y incorporer des graines de lin oder de ricin qui sont toxiciques ou celles qui sont colorées artificiellement.

description

Le Geai bleu (Cyanocitta cristata) is un peu plus grand que le Merle d’Amérique and mesure environ 30 cm d’une extrémité à l’autre. Il a la face blanche et la huppe, le manteau, les ailes et la queue bleus, parsemés de points noirs et blancs. Les mâles et les femelles are similar to Beaucoup. La huppe, formée des longues plumes de la calotte, que l’on trouve chez de nombreux geais, se dresse ou s’abaisse selon l’humeur de l’oiseau. Lorsque celui-ci est très excité ou aggressive, la huppe se herisse en une pointe saillante. Lorsqu’il est fort surpris ou excité, elle s’incline verse l’avant. Lorsqu’il a peur, elle se déploie comme un écouvillon. Lorsque la huppe du Geai bleu se dresse, son pourtour est accué par une raie noire qui lui couvre l’arrière de la tête et prolonge le large collier de sa poitrine. Toutefois, lorsqu’il se nourrit en compagnie d’autres geais, s’apprête à fuir ou se repose, la huppe est aplatie sur la calotte, ce qui donne à l’oiseau un air tout différent, un air quelque peu ébouriffé.

L’appellation scientifique du Geai bleu réunit des mots grecs et latins qui, dans l’ordre inverse, signifiant “oiseau bleu, huppé, jacasseur” soit une désignation appropriée. Le Geai bleu appartient à la famille des Corvidés, qui compte une centaine d’espèces evidentées dont les corbeaux, les freux, les choucas, les corneilles, les pies et les geais. Certaines de ces espèces comptent parmi les plus grands membres de l’ordre des passériformes, ou oiseaux chanteurs percheurs. La famille, qui est répandue un little partout dans le monde, est le mieux represented dans l’hémisphère Nord. Ses origines remontent à très loin: des fossiles de Corvidés ont été retrouvés dans des dépôts miocènes vieux de 25 millions d’années.

characters and sons

Le cri du Geai bleu est bien connu des promeneurs des forests de l’Est de l’Amérique du Nord. Véritable sentinelle, il avertit de ses cris les autres oiseaux et les mammifères de la présence d’un prédateur. En outre, il crie souvent sans raison obvious. Henry David Thoreau, écrivain du 19e siècle, decrivait le son le plus caractéristique du Geai bleu comme étant un “cri glacial incessant”, interpreted de diverses façon comme ressemblant à thif, à djé et à pir. Le Geai bleu a une grande variété d’autres chants, dont un sifflement serein et musical – klou-lou-lou – et un doux gazouillis Continuel Entendu Pendant La Parade Nuptiale.

Le Geai bleu se reconnaît de loin à son vol aisé : le corps et la queue formation une ligne droite et les battements d’ailes sont lents, mais le font pourtant avancer à une vitesse respectable.

Haut de la page Haut de la page

habitat and habits

Le Geai bleu occupies toute a variété d’habitats dans son aire de répartition, depuis les pinèdes de la Floride jusqu’aux forêts de conifères du Nord de l’Ontario. Il préfère, aux forêts denses, les forêts mixtes et décidues, surtout lorsque s’y trouvent des hêtres, des coudriers et des chênes. La plupart des Corvidés sont sédentaires, mais Certains se déplacent, souvent par petits groups, après la saison de reproduction.

Le Geai bleu s’est vite habitue à la présence des humains. Dans toute son aire de répartition, il research general les régions habitées plutôt que les régions sauvages, pourvu qu’il y ait quelques arbres. Dans les bois, it is general plus circonspect que dans les villes, or it is presque appprivoisé. Le geai qui revient fidèlement chaque hiver se nourrir à une mangeoire qu’il affection pourrait Certainement toujours être le meme individu puisque le baguage a révélé que Certains vivent de dix à quinze ans. Il se peut que ces individus soient plus faciles à apprivoiser que la plupart des autres individus de cette espèce.

Characteristic unique items

La Couleur Bleu de Cobalt or Bleu Azur Intense des Plumes de la Queue and des Ailes du Geai Bleu form a contrasting marqué with le Brun des Feuilles or le vert de l’herbe. Toutefois, ces plumes ne sont pas vraiment bluees. La pigmentation bleue n’existe pas chez les oiseaux. The illusion provided by the reflection of the lumière by one étrange internal structure of the plumes. Si l’on froisse ces dernières, le bleu disparait. Il est frequent de trouver des plumes vers la fin de l’été, car les oiseaux adultes muent complètement de juin à septembre.

Pendant la mue, ou changement de plumage, il se peut que le Geai bleu pratique le “formicage”, terme qui designe l’application de fourmis ou de leurs excrétions sur les plumes pour les soigner et les lisser. Il come souvent que le Geai bleu trebuche sur sa propre queue dans son ardeur à appliquer des fourmis sous ses ailes avec son bec. Selon une hypothèse récente, le formicage s’expliquerait par l’irritation de la peau pendant la croissance des nouvelles plumes. Peut-être les excrétions des fourmis soulagent-elles cette irritation. On said également que les oiseaux peuvent se servir d’une variété de substitutes, tels que les fruits, le tabac, la moutarde et le vinaigre pour le formicage. An amateur who observes the Geais bleus apprivoisé en avait, un qui utilisait various Jus de Fruits, Amers or Aigres, et Même de la Lotion Capillaire; un deuxième geai n’employait que de la lotion. Un troisième Geai bleu, en captivité chez une autre personne, exposait ses plumes à des cigarettes allumées. Cet étrange conportement mérite une étude plus approfondie. Toute observation de formicage de n’importe quelle espèce d’oiseau vaut la peine d’être signalée à une revue d’histoire naturelle de votre région.

Il ne faut pas condamner le Geai bleu en pretextant qu’il dévore parfois les petits des autres oiseaux, car il joue un role important en limitant le nombre de certaines populations d’oiseaux et d’insectes nuisibles. De plus, c’est un séduisant oiseau de nos forêts et de nos villes. Comme le dit si bien Audubon, « Ses mouvements en vol sont des plus gracieux. Alors qu’il voltige d’un arbre à l’autre, ses ailes et sa queue déployées, d’une couleur et d’une forme si belles, ne manquent jamais de réjouir l’observateur. [translated] ”

Haut de la page Haut de la page

Aire de répartition

Le Geai bleu, qu’on retrouve un little partout dans le Sud du Canada et jusqu’au Texas et en Floride, ne fait que de rares apparitions dans les plaines. Il se reproduit dans les forêts mixed du Center de l’Alberta, de la Saskatchewan, du Sud du Manitoba, du Center et du Sud de l’Ontario, du Sud du Québec, de l’île de Terre-Neuve, du Nouveau- Braunschweig, de l’Île-du-Prince-Édouard et de la Nouvelle-Écosse. Aux confins septentrionaux de son aire de répartition, on le rencontre aussi avec le Mésangeai du Canada (Perisoreus canadensis), un oiseau qui se reproduit beaucoup plus au nord, jusqu’à la limite des arbres. In le center de la Floride, le Geai bleu coexist with le Geai à gorge blanche (Aphelocoma coerulescens). À l’ouest des Rocheuses, le Geai bleu est remplacé par le Geai de Steller (Cyanocitta stelleri) qui a presque les memes habitudes que celui-ci. D’ailleurs, les habitants de cette province l’appellent “Geai bleu”. La Colombie-Britannique et l’Île-du-Prince-Édouard ont choisi respectively le Geai de Steller et le Geai bleu comme emblème aviaire.

Le Geai bleu est partial migration et, Certains hivers, il quitte les parties les plus reculées du Nord de son territoire pour s’installer à plusieurs centaines de kilomètres au sud. Il voyage de jour, sans se presser, habituellement en volées de cinq à cinquante oiseaux ou plus. On a déjà aperçu 3,000 Geais Migrationurs en a seule journée au parc national de la Pointe-Pelée, où ils se rassemblent avant de traverser le lac Érié.

Haut de la page Haut de la page

nutrition

A tableau célèbre du naturaliste et auteur américain John James Audubon (19e siècle) illustre trois Geais bleus animés en train de se giver d’œufs fraîchement pondus provenant du nid d’une autre espèce d’oiseau. Les Corvidés sont audacieux et aggressives. Ainsi detruisent-ils souvent les oeufs et les oisillons d’autres espèces d’oiseaux. À certain moments, ces oeufs et oisillons constituting an important party du régime alimentaire des geais. Toutefois, ceux-ci se nourrissent surtout de vegétaux, tels que des fruits sauvages, des glands, des noisettes, des faînes, du maïs et d’autres céréales, et de toutes sortes d’insectes. Ils peuvent ainsi contribuer largement à la lutte contre la chenille connue sous le nom de “livrée”. Au debut de l’été, a couple de Geais bleus peut nourrir ses oisillons de centaines de nymphes de cet insecte nuisible. Les parent rentent les nymphes des cocons résistants et soyeux, et en emportent plusieurs à la fois dans leur bec. En détruisant ces cocons, ils empêchent l’éclosion, au printemps suivant, de milliers d’œufs.

Cyanocitta cristata

Photo: USFWS/Dave Menke

Comme all oiseau à regime omnivore, le Geai bleu possède un gros bec able de percer les Cocons ainsi que les glands, les noix et autres fruits à écorce dure. Il emporte souvent des glands et des faines pour les cacher sous des feuilles, dans l’herbe et dans des arbres creux. Les Geais bleus qui hivernent enraged souvent de la nourriture Prize dans des mangeoires, surtout du pain et des graines de tournesol, afin de les enfouir sous des arbres et des arbustes, et les manger plus tard. Pour les attirer, il suffit de garnir une mangeoire d’arachides, de grains melangés et surtout de graines de tournesol. Les oiseaux semblent prendre plaisir à tenir sous leurs pattes la coque d’une graine ou l’enveloppe d’une arachide pendant qu’ils la brisent avec leur bec pour en pensioner l’intérieur.

Haut de la page Haut de la page

reproduction

Le Geai bleu constructed and not voluminous, around 18 cm in diameter, fait de brindilles et various other materials common to le lichen, la mousse, l’herbe et le papier. Le couple construct le nid et soigne les petits. La cuvette du nid, d’un diamètre de quelque 10 cm, est moulée avec de la boue et tapissée de radicelles et de plumes. Avant de s’établir dans un nid definite, le couple construit plusieurs nids provisoires, un rituel faisant partie de la parade nuptiale. Ces nids sont situés de 3 à 10 m au-dessus du sol, dans an arbre or an arbrisseau. Le Geai bleu niche souvent dans des endroits habités, parfois près des batiments. Pendant la season de nidification, notamment dans les parties les plus isolées de son aire, il peut être tranquille et discret, meme à proximité de son nid.

Comme chez de nombreuses espèces où le male nourrit la femelle couveuse, le Geai bleu pratique lui aussi le nourrissage nuptial. Cela debute avant la construction du nid et Continue Pendant la ponte et l’incubation (réchauffement des oeufs jusqu’à leur éclosion). The arrival que la woman couveuse soit nourrie au nid, mais plus souvent, elle rejoint le male dans un arbre voisin. Elle prend alors la position suppliante d’un oisillon, et le male la nourrit. On a also observé des rituels de groupe où plusieurs geais sautillent d’une branche à l’autre, leurs pattes complètement rigides, mais on n’en sait pas beaucoup plus long sur leur comportement d’accouplement.

Une couvée compte quatre ou cinq oeufs. D’une couvée à l’autre, la couleur des ufs varie du jaune clair au verdâtre ou au bleuâtre, tacheté et marbré de brun. L’incubation dure de 16 à 18 jours. À l’éclosion, les oisillons sont absolutely nus et sans defense. Cela ne les empêche pas, à Certains signaux, surtout au bruit d’un oiseau qui se pose sur le bord du nid, de lever la tête avec le bec ouvert, prêts à recevoir la nourriture de leurs parent. Dix-sept jours plus tard, ils sont couverts de plumes et prêts à quitter le nid. Avant d’avoir 21 jours, ils ont normalment quitté le nid et pris leur premier envol. Environ trois semaines plus tard, ils begins à s’alimenter seuls, mais ils continuent de suivre leurs parent, qui leur donnent la becquée de temps à autre pendant un ou deux mois encore, parfois même jusqu’à quatre mois.

Haut de la page Haut de la page

conservation

Parce qu’ils sont généralement sédentaires, la loi ne protège pas Certains geais, mais le Geai bleu fait habituellement l’objet de mesures de protection provinciales.

Haut de la page Haut de la page

resources

Resources online

Cornell University Ornithology Laboratory

Resources imprimées

BENT, AC Life histories of North American jays, crows, and tits. New York Dover Publications, Inc., 1964.

CRUICKSHANK, H. Thoreau on Birds. McGraw-Hill, Toronto, 1964.

GODFREY, W. E. Les oiseaux du Canada, rév. ed., Musées nationaux du Canada, réimprimé en 1989, La Prairie (Québec), Éditions Marcel Broquet, in collaboration with the Musée national des sciences naturelles, 1986.

LANSDOWNE, J.F., et J.A. LEBENSTON. Birds of the Eastern Woods, Vol. II, Toronto, McClelland and Stewart, 1970.

LONG, W.J. Wings of the Forest, Garden City (NY), Doubleday and Co., 1957.

POTTER, E. F. 1970. Ants in wild birds, their abundance and probable purpose. Au 87:692-713.

SALT, W.R., et A.L. WILK. The Birds of Alberta, Edmonton, Queen’s Printer, 1966.

STOKES, D.W. A Guide to Bird Behavior, Vol. 1, Boston (Massachusetts), Little, Brown and Company, 1979.

© Sa Majesté la Reine du chef du Canada, represented by the Minister of the Environment, 1973, 1979, 1980, 1988, 1992. Tous droits réservés.

Catalog number CW69-4/22-1992F

ISBN: 0-662-97315-1

Texts: Robert W. Nero

Revised by: Robert W. Nero, 1991

Photo: Toni Beck

Garrulus Glandarius

Photo © Philippe Moës

Galerie de photos sur Lelision et Objectif photos nature

Description, cycle biological

La femelle et le male ne se distinctive que par la taille, de 30 to 36 cm de longueur pour une envergure de 45 to 55 cm., plus modeste chez la femelle. Cet oiseau peut peser de 200 to 300 g..

Le Geai des chênes can be recognized by the plumage color, rayé de noir and blanc sur la tête, dont les plumes peuvent se dresser (huppe érectile). Son bec est prolongé par une bande noire sous l’oeil qui donne l’impression qu’il porte des sortes de mustaches noires.

Son Corps is brun rosé sur le dessus et brun plus clair sur le dessous, sa queue est noire, son croupion et son bas-ventre blanc, ses rémiges primaires des ailes sont bleu vif et noir.

Le Geai a une alimentation qui varie selon la saison, mais surtout, il fait partie des rares espèces d’oiseaux (Casse-noix moucheté…) qui “thésaurisent”, c’est-à-dire qui stockent de la nourriture (glands, faines…) pour l’hiver et le printemps. Il peut le faire presque toute l’année, mais c’est en automne qu’il y consacre le plus de temps et d’attention

En savoir plus on Wikipedia or Lelision

Raison de son statute

A cause de sa concurrence avec chasseurs et ses dégâts sur les cultures. Pourtant, sa capacité à stocker de la nourriture le rend essential aux forêts: c’est notamment un planteur de chênes.

Practices of Destruction

Il peut être détruit à tir entre la date de clôture générale de la chasse et le 31 mars au plus tard, sur autorisation individual délivrée par le préfet et dès lors qu’il n’existe aucune autre solution satisfaisante et que l’un au moins internal mentions in article R. 427-6 du code de l’environnement est threatening.

Le tir s’effectue à poste fixe materialized de main d’homme, sans être accompagné de chien. Le tir dans les nids est interdit.

Le geai des chênes peut également être piégé du 31 mars au 30 june dans les vergers et du 15 août à l’ouverture générale dans les les vergers et les vignobles.

July 8, 2022 : Colocataires sauvages #8 : Pies et corbeaux, stop aux idées-reçues !

24 June 2022 : Espèces « nuisibles » : la liste reconduite à l’identique

27 December 2021 : Animaux «nuisibles» : les chasseurs accusés de forcer le trait

October 28, 2021 : Peine prolongée d’un an pour les “nuisibles” !!

July 22, 2021 : Un animal nuisible blessé peut-il être soigné?

July 8, 2021 : Judgment « Nuisibles » : quelques avancées mais beaucoup d’aberrations !

22 June 2021: Les geais qui replantent des forests, or les bienfaits du réensauvagement naturel

January 18, 2021: Le geai des chênes n’est pas un oiseau nuisible

18 October 2019: Le document qui dénonce les Excurions de la Chasse

26 June 2019 : Renard, fouine, geai, pie: 11 animaux «nuisibles» dans le viseur des chasseurs

June 25, 2019 : Renard, putois, geai… des “nuisibles” selon le government

24 June 2019 : Chasse : dites non à la réautorisation du piégeage d’espèces protégées !

June 23, 2019: Le piégeage du renard, you putois et du geai bientôt réautorisé pour trois ans

June 19, 2019: Le government veut autoriser le massacre de centaines de milliers d’animaux, dont certaines espèces menacées

A site dédié aux corbeaux, geais, corneilles et pies

[Jordan Mallon, Ph.D., Chercheur, Paléobiology, Musée canadien de la nature] Vous êtes-vous déjà demandé ce qui serait arrivé si les dinosaures n’avaient pas disparu il y a 66 millions d’années?

[Overture: Naturellement étrange et merveilleux] [Narrator] Lorsque la météorite de Chicxulub a frappé notre planète, elle aradicalement altéré le cours de la vie sur Terre.

Mais que serait-il arrivé si la meteorite avait rate sa cible et permis aux dinosaures d’évoluer sans encombre?

Dale Russell, ancien paleontologue du Musée canadien de la nature, était fasciné par l’idée de l’evolution de l’intelligence chez les dinosaures.

Cette notion d’une évolution ininterrompue était au coeur d’une expérience de pensée controversée qui a secoué le monde de la paleontologie au début des années 1980.

[Jordan Mallon] Dale a eu un impact massif sur notre Musée et sur le domaine de la paleontologie en general.

Il a commencé sa career au Musée en 1965. À cette époque, il a commencé à s’interested à l’intelligence chez les dinosaures.

En 1968, on lui a montré la boîte crânienne d’un petit dinosaure carnivore appelé Troodon, found in le parc provincial des dinosaures en Alberta.

En examinant cette boîte crânienne, Dale s’est rendu compte que le cerveau de cet animal était relativelyment gros pour sa taille, à peu près la meme qu’une autruche.

À cette époque, les scientifiques croyaient que tous les dinosaures avaient de petits cerveaux et étaient probablement juste des lézards pas trop intelligents.

Mais la boîte crânienne de Troodon allait prouver que ce n’était pas le cas de tous les dinosaures.

[Peter Dodson, Ph.D., Professeur émérite de paleontologie et d’anatomie vétérinaire, Université de Pennsylvania] Dale a été le premier à défendre l’idée que sures dinosaures, en particulier les petits theropodes comme Stenonychosaurus, comme on l’appelait à l’époque – maintenant on dit Troodon – était en fait très futé.

Sept fois plus intelligent qu’un alligator de taille équivalente. Ou à peu près also intelligent qu’un oiseau.

[Jordan Mallon] En decrivant le squelette de ce dinosaure, Dale s’est rendu compte qu’il avait plusieurs caractéristiques très particulières, comme un cerveau relativment gros, de grands yeux, une demarche bipede et meme une main avec des doigts opposés.

Ce sont toutes des caractéristiques qu’on associe aujourd’hui aux animaux intelligents.

Ceci a donc poussé Dale à se other…Qu’est-ce qui serait arrivé si Troodon n’était pas disparu à la fin du Crétacé?

[Narrator] Au debut in 1980, Dale Russell, a published article on the theory and commentary on a collaborator with taxidermist and fashion list, Ron Séguin, for the production of the Maquettes de Troodon and as Forme Evoluée: the Dinosaur.

[Ron Séguin, Taxidermiste et modéliste] It’s travaillé around an avec Dale sur a reconstruction of a Stenonychosaurus or Troodon, and you can see it when you arrive at the dinosaur Troodon n’était pas disparu and avait Continue à Evoluer .

Troodon était très actif, un peu comme un loup aujourd’hui, et chassait plusieurs sortes de nourriture, problem des oiseaux, des petits lézards. Pour cette raison-là, il avait un grand cou et une grande queue.

À mesure que la source de nourriture change, les besoins pour un grand cou disparaissent et ainsi disparaît la queue. Une pesanteur avec une intelligence surdéveloppée, c’est plus facile à porter sur une structure perpendiculaire au lieu d’horizontale.

Ça impacte tous les changes dans la cage thoracique et, veux, veux pas, il devient plus humain.

4:08

[Text: Dale Russell in an extrait de Paleoworld – Troodon: Dinosaur Genius] Les yeux sont orientés plus directement vers l’avant que dans le cas du dinosaure, alors il aurait probablement eu a vision stereoscopic, comme nous.

Le visage est raccourci. Il a des mains qu’il use comme outils et pour se nourrir plutôt que de recourir à sa mâchoire.

La Colonne est Verticale. Le bassin est tourné au-dessous de celle-ci.

Nous estimons que c’est une forme corporelle viable et predictable dans notre expérience de pensée.

Et en effet, le dinosaure nous ressemble plus que nos propres ancêtres.

[Jordan Mallon] La reaction de la communauté scientifique à l’exercise intellectuel de Dale fut plutôt mitigée.

Je pense que Certains de ses homologues n’étaient pas all à fait d’accord avec les idées de Dale sur la Reconstruction de l’animal imaginaire.

Mais, plusieurs ont quand me trouvé l’idée très interesting. Par contre, d’autres ont eu une réaction beaucoup moins positive, trouvant le concept d’un dinosaure qui aurait pu évoluer pour ressembler à un humain… plutôt absurde.

[Peter Dodson] Le dinosauroide a été un énorme success culturel. Les gens ont vraiment adoré le découvrir.

Mais même s’il était fondé sur une analyze très minutieuse des données scientifiques, je pense qu’on peut dire qu’il a suscité des déceptions au sein de la communauté scientifique parce qu’il ressemblait au proverbial petit Martien vert.

Et la réaction scientifique a été de dire: “Dale, nous connaissons le petit bonhomme vert depuis les années 1930! ». Je pense que cette réaction l’a blessé.

[Narrator] L’image du dinosauroïde a allumé l’imagination de bien des gens depuis qu’elle a été publiée pour la première fois.

Ce tableau a été paint par Ely Kish, une artiste bien connue qui a travaillé avec Dale Russell pour illustrer of scenes de dinosaures dans ses livres.

[Jordan Mallon] L’image du dinosauroïde est apparue dans la press popular, dans des documentaires sérieux, jusqu’aux tabloïdes.

[Narrator] De nos jours, “Herman”, comme l’appelle impactueusement le staff du Musée, sert de mascotte à l’équipe de recherche et collections au campus du patrimoine naturel à Gatineau.

[Alan McDonald, Technicien des collections, Paléobiologie, Musée canadien de la nature] Herman is a member of the Office of Human Resources.

Il a tendance à se tenir près de la machine à café de recherche et collections, participe régulièrement aux festivités de fin d’année en s’affublant d’un accoutrement festif de circonstance et déambule parfois autour du campus du patrimoine naturel.

Il fait me me une brève apparition dans la photo annuelle du personal de recherche et collections.

[Narrator] Mais au-delà de l’humour, le dinosauroide incarne également la curiosité scientifique et l’esprit brillant du paleontologue Dale Russell.

[Jordan Mallon] Dale était un homme modeste, mais il a laissé derriere lui un grand heritage a la communauté scientific. A legacy that influences a meme eu une grande, sur moi en tant que fan de dinosaure dans mon jeune age à Ottawa.

J’ai récemment eu l’honneur d’être le coéditeur d’un volume special dédié à la mémoire de Dale.

This publication is in fact a collection of research reports, writings by paleontologists and renom estimators, inspiration from Dale’s toils and discoveries.

[Alan McDonald] Le dinosauroïde de Dale is a unique experience and very creative, sort of a habit scheme, and now a great acknowledgment of Notre Propre’s existence.

[Text: À la mémoire de Dale Russell, Ph.D. 1937-2019]

Retrouvez nos réponses archivées. Leur contenu pouvant devenir obsolète, nous vous rendons attentifs à la date de publication.

This article is a coécrit by Roger J. Lederer, PhD. Le dr Roger Lederer is Ornithologue and Fondateur d’Ornithology.com, a website with web information about Sauvages. Le dr Lederer is over 40 ans à enseigner passé, étudier et écrire sur les oiseaux, et il a voyage dans plus de 100 pays pour les étudier. Le dr Lederer is Professor Emeritus of Biological Sciences at the Université d’État de California in Chico. He is also the directeur of the department of biologic sciences and doyen of the College of Natural Sciences. Il a écrit plus de 30 articles de recherche et 10 livres sur les Oiseaux, ainsi qu’un manual intitulé “Ecology and Field Biology”. Le dr Lederer is advised by reputable organizations and publications, listed on the BBC, National Geographic, National Public Radio, ABC News and the Guinness Book of Records. Cet article a été consulté 58 461 fois.

Le Geai des chênes (Garrulus glandarius) is a Grand Passereau of the Corvidés family. C’est un joli oiseau au plumage paré de couleurs vives plutôt discret et timide. Le Geai des Chênes is très répandu en France. Très friand de glands de chênes qu’il stocke abondamment en automne, le Geai des chênes contribue à favoriser l’expansion de cet arbre grace aux très nombreux glands cachés qu’il ne mange pas et qui finissent par germer et donner de nouvelles pousses.

Comment reconnaître un Geai des chênes ?

Le Geai des chênes is reconnaissable par son plumage bigarré aux couleurs vives : son dos est brun, tirant sur le rose, son croupion blanc, sa queue noire et surtout une partie de ses ailes est recouverte d’un bleu vif strié de noir et de White. Le Geai des chênes is also a special property of the hérissées plumes sur sa tête et a sorte de collier noir au niveau de la gorge. Son bec est noir et robust pour casser les glands de chênes dont il se nourrit principalement.

Cris et chant du Geai des Chenes

Le Geai des chênes is un oiseau très bavard et bruyant aux cris et chants différents, dont un cri rauque desagréable très reconnaissable qu’il émet en cas de Danger. À la saison des amours, le Geai des chenes pousse des gloussements bien particuliers et plus doux. C’est un oiseau qui sait meme imiter les cris d’autres oiseaux.

L’habitat du Geai des chenes

On trouve le plus souvent le Geai des chênes dans les forêts de feuillus (hêtres, charmes et chênes). Maize cet oiseau frequente également tous les lieux ou se trouvent des arbres et des buissons comme les parcs des villes ou les jardins deshabitations. Amateur de Fruits, le Geai des Chênes est souvent vu dans les vergers.

Alimentation du Geai des Chenes

Le Geai des Chênes is omnivorous. Son alimentation est composed for moitié de glands de chênes qu’il ramasse et cache l’autmne pour faire des stocks pour l’hiver. Le Geai des chênes est également très friand de fruits, de baies et de graines de céréales qu’il trouve dans les zone cultivées. Il se nourrit also de lézards, de campagnols et d’oeufs de petits passereaux. Quand sa nourriture manque dans la nature l’hiver, le Geai des chênes frequente nos jardins pour trouver au sol de quoi s’alimenter, en particulier des insectes.

Reproduction du Geai des chênes

Pendant la period de reproduction, fin mars debut avril, le Geai des chênes installe son nid composé de brindilles et de tiges sur la branch d’un arbre assez en hauteur pour échapper aux predators. La woman n’a qu’une seule couvée par an et pond entre 3 et 10 o’ufs qu’elle couve pendant 16 jours. Une vingtaine de jours après leur naissance, les petits quittent le nid.

Le Geai des chenes est-il utile ou nuisible au jardin?

Le Geai des Chênes peut ne pas être le bienvenu dans a jardin or poussent des arbres fruitiers. Lesfruits font en effet partie de son alimentation, à côté des glands de chênes. à savoir : l’arrêté du 30 junin 2015 pris pour l’application de l’article R. 427-6 du code de l’environnement et fixant la list, les périodes et les modalités deruption des espèces d’animaux classées nuisibles, indique que le Geai des chênes peut être considered as animal nuisible in France in certain departments apartés à l’article et précise les conditions deruption de l’espèce.

Garrulus Glandarius

Le Geai des Chênes (Garrulus glandarius) is a specialty of the Passereaux of the Corvidae family.

Tete

La femelle et le mâle ne se distinctive que par la taille, 30 to 36 cm, plus modeste chez la femelle. Cet oiseau peut peser de 140 to 190 grams [1].

Le Geai des chênes can be recognized by the plumage color, rayé de noir and blanc sur la tête, dont les plumes peuvent se dresser (huppe érectile). Son bec est prolongé par une bande noire sous l’oeil qui donne l’impression qu’il porte des sortes de mustaches noires.

Son Corps is brun rosé sur le dessus et brun plus clair sur le dessous, sa queue est noire, son croupion et son bas-ventre blanc, ses rémiges primaires des ailes sont bleu vif et noires.

Le plumage des jeunes n’est complet qu’au bout d’une vingtaine de jours, et se révèle plus terne que celui des adultes. Ils ne possèdent que quelques stries blanches et noires au sommet de la tête, alors que les adultes en possèdent une dizaine et la marque noire qui prolonge le bec est moins marquée que chez les adultes.

Les différentes sous-espèces se distinctive notamment par certaines specialités du plumage.

Geai des chenes au Jardin du Luxembourg

In 2015, a team of scientists from the University of Sheffield discovered the course of research on synchrotron le secret of the color that is inalterable in the living room that is still waiting for the temps. En étudiant les couleurs d’un oiseau comme le geai des chênes, ils comprennent que les couleurs vives des plumes sont dues au level d’un poil à la structure spongieuse composée d’orifices et dont la taille et la simple distance entre ces orifices décident de la colour.[2] Ces deux paramètres determined la façon dont l’onde de lumière est renvoyée influençant directement la couleur réfléchie. Au course of research, les scientific discoveries que l’animal est meme able de modifier la taille des orifices de cette structure spongieuse, determinant ainsi la couleur qu’il renvoie. Cette découverte de la disposition de la nanostructure des plumes d’oiseau ouvre de new perspectives industriales dans la creation de couleurs synthétiques pour les paints et les vêtements, qui ne terniraient plus.[3]

Parmi les espèces proches du Geai des chênes figurest d’other passereaux :

la Pie bavarde (Pica pica), un peu plus grande, au plumage noir, au ventre blanc, avec une tache ovale et blanche sur chaque épaule, une queue longue et noire à reflets pourpres et verts;

), un peu plus grande, au plumage noir, au ventre blanc, avec une tache ovale et blanche sur chaque épaule, une queue longue et noire à reflets pourpres et verts ; le Cassenoix moucheté, de la meme taille que le Geai, au plumage brun foncé moucheté de blanc, avec a calotte brun foncé sur la tête et le dessous de la queue blanc.

Un autre oiseau, lui also resemble :

la Huppe fasciée (Upupa epops) qui se distinction du Geai des chênes par un bec beaucoup plus long, un plumage plutôt rose orange, noir et blanc sans trace de noir and une haute touffe de plumes orangées.

Son average is 45 to 55 cm. Deployées, ses ailes révèlent des marques blanches et bleues. Son vol est direct corn irregular.

Le Geai, comme la plupart des espèces, a une alimentation qui selon la saison mais, surtout, il fait partie des rares espèces d’oiseaux (Casse-noix moucheté…) qui “thésaurisent”, c’est-à- dire qui stockent de la nourriture (glands, faines…) pour l’hiver et le printemps. Il peut le faire presque toute l’année, mais c’est en automne qu’il y consacre le plus de temps et d’attention[4].

Geai transportant and gland.

Son regime alimentaire est omnivore : comme les mésanges et les moineaux, il se nourrit de larves et d’insectes, mais il a aussi une alimentation végétale (glands, noix, châtaignes…). Il Affectionne particulièrement les glands des chenes qu’il cache pour l’hiver, et en particulier du chene pedonculé. Il se régale de preference de glands qu’il sélectionne rigoureusement en fonction de leur maturité, de leur taille et de leur qualité, et dont il veille à ce qu’ils soient exempts de parasites. Au printemps et en été, il se nourrit des glands enterrés et qui ont germé, mais aussi d’autres graines diverses, qu’il n’hésite pas à aller chercher dans les cultures à la lisière des bois. Il peut également picorer des grains de raisins sur les vignes. Il apprécie particulièrement le maïs, qui dans Certaines zone est devenu une part importante de sa consumption, mais il n’est pas réellement considered comme nuisible du fait que ses prélèvements sont suffisamment limités et localisés.

[5] . Geai mangeant un oisillon. Plus un milieu (y compris forestier) est “fragmenté”, plus ce type de prédation augmente

Geai des chenes attrapant une groseille

Comme tous les corvidés, et de nombreuses autres espèces forestières[6], il est à l’occasion prédateur d’autres oiseaux (au printemps notamment) ; il n’hésite pas à s’attaquer aux nids de petits oiseaux (fauvettes par example) pour manger leurs oeufs voire des oisillons (plus rarement). Il peut voler un œuf en quelques secondes[6]. C’est l’origine de sa réputation de pilleurs de nids. Le degré de prédation par les geais de nids artificiels contenant des œufs, disposés le long d’un gradient allant de milieux ruraux ouverts à la forêt dense, est lié à la nature du milieu : plus le milieu est ouvert et écologiquement fragmenté, plus cette prédation est importante (ceci vaut aussi pour les autres corvidés). De même en forêt, plus la fragmentation forestière est importante, plus le geai est prédateur de nids[5].

Sous son bec, it is possible to have a small cup in Laquelle, which is made of stocker les graines qu’il récolte. La capacité de cette poche est de quatre à sept glands[7] qu’il peut ainsi transporter avant de les cacher dans le domaine où il niche, car all au long de l’automne, il se constitue des réserves, qu’il dissimule sous des racines, des mousses, à l’interieur de souches d’arbre or même sous le tapis de feuilles. Pour retrouver ses reserves, il a la capacité de memoriser des points de repères qu’il watch soigneusement. Lorsque les points de repères ne sont pas suffisants, il va jusqu’à placer à côté de sa cachette des petits cailloux qu’il utilisera comme autant de balises[8]. Cependant si ses points de repères sont déplacés ou disparaissent, le Geai des chênes devient incapable de retrouver la cachette de ses réserves, la moitié des glands enterrés Germant et donnant une plantule apte à la survie. Il a été estimé qu’un seul geai enfouit chaque année près de 4 600 glands[7], ce qui fait de lui le premier reboiseur européen de chênes et de hêtres.

Dans les parcs et jardins des villes, il se nourrit également d’arachides, verse, légumes, céréales, noix et baies variées[ref. necessary].

Chants puis cris de geai des chenes (Paris, 2016)

Les vocalisations du Geai des Chênes sont très variées, passant de cris rauques, brefs, forts et stridents aux gloussements, sifflements et parfois meme à des espèces de miaulements. On dit que le geai garrule, cacarde, cajole, cageole, frigulote ou jase.

C’est en fait un bon imitateur et il a la capacité de reproduire des chants ou des cris d’autres oiseaux et meme de mammifères comme le chat ou le cheval. À la fin de l’hiver et au début du printemps, il émet une plural de sons inspires de ceux qu’il a entendus dans la forêt ou à sa lisière.

C’est au printemps, fin mars et debut avril lors de la reproduction, que son chant devient le plus melodieux et il l’utilise comme outil de communication avec ses congénères jusqu’à la formation des couples. Des que la couvaison begin, le geai des chênes devient pratiquement silencieux, et n’émet plus qu’un léger gazouillement.

Le Geai est un oiseau “guetteur” dont le cri strident est réputé alerter ses congénères, mais aussi une partie des animaux sympatriques du sous-bois et de la forêt à l’approche d’un prédateur ou d’un intrus (comme un promeneur ). For example Montré que ce cri est bien perçu comme une alerte par l’écureuil roux[9]. De meme, les renards ou les chasseurs savent Exploiter ces information. The high value interspecifique des cris de Geai des chênes justifie le sumom de “sentinelle de la forêt” attribué à cette espèce.

Le geai est general sédentaire et plutôt solitaire, mais en period de reproduction, il vit temporairement en groupe avec ses congénères.

On peut also le rencontrer, en hiver, en petits groups frequentant les mangeoires et réserves de boules de graisse jusqu’aux abord des maisons d’habitation où il se laisse parfois approcher.

L’espèce est très territoriale. Des qu’il est formé, le couple defend son territoire contre ses congénères. Les couples «dominants» cherchent à utiliser les meilleures regions de reproduction (forêt dense), laissant les milieux moins favors aux autres. Cette répartition avec accès inégal aux ressources pourrait jouer un rôle de mecanisme d’autoregulation des populations[10].

La female pond de trois à six oeufs de couleur verdâtre, d’avril à juin.

Il vit dans toute l’Europe, with the exception of the zones les plus nordiques (Islande, Nord de l’Irlande, Écosse et de notables Parties du Nord de la Norvège, de la Suède, de la Finlande and de la Russie), en Afrique du Nord et dans toute l’Asie continental. Dans les zone les plus froides de sonhabitat (Suède, Norvège et Pologne), les populations de geai des chênes migrent, en automne, vers des régions plus au sud.

Le Geai des chênes ne se sent pas à l’aise sur les terrains découverts, il niche de préférence dans les bocages et dans les bois (feuillus aussi bien que conifères, également en height), mais peut aussi vivre dans les parcs et jardins des villes, petites et meme grandes.

L’espèce a été décrite par le naturaliste suédois Carl von Linné en 1758, sous le nom initial de Corvus glandarius[11].

D’après le dictionnaire Gaffiot de poche Latin Français, garrulus mean “qui gazouille” and glandarius mean “qui produit des glands”.

Corvus glandarius Linne, 1758 protonym

Garrulus glandarius glandarius (Linnaeus, 1758) – Europe de l’Ouest

(Linnaeus, 1758) – Europe de l’Ouest Garrulus glandarius rufitergum Hartert, E, 1903 – Grande-Bretagne

Hartert, E, 1903 – Grande-Bretagne Garrulus glandarius hibernicus Witherby & Hartert, 1911 – Irlande

Witherby & Hartert, 1911 – Irish Garrulus glandarius lusitanicus Voous, 1953 – Portugal

Voous, 1953 – Portugal Garrulus glandarius fasciatus (A.E. Brehm, 1857) – Spain

(A.E. Brehm, 1857) – Espagne Garrulus glandarius corsicanus Laubmann, 1912 – Corse

Laubmann, 1912 – Corse Garrulus glandarius ichnusae O. Kleinschmidt, 1903 – Sardaigne

O. Kleinschmidt, 1903 – Sardaigne Garrulus glandarius albipectus O. Kleinschmidt, 1920 – Alpes apenines et autour de l’Adriatique

O. Kleinschmidt, 1920 – Alpes apenines et autour de l’Adriatique Garrulus glandarius jordansi Keve, 1966 – Sicily

Keve, 1966 – Sicily Garrulus glandarius graecus Kleiner, 1939 – Balkans

Kleiner, 1939 – Balkan Garrulus glandarius cretorum R. Meinertzhagen, 1920 – Crete

R. Meinertzhagen, 1920 – Crète Garrulus glandarius ferdinandi Keve, 1943 – Turkey and Bulgaria

Garrulus glandarius brandtii Eversmann, 1842 – Oural, Siberia, Lake Baikal and Altaï

Eversmann, 1842 – Oural, Sibérie, lac Baïkal et Altaï Garrulus glandarius bambergi Lönnberg, 1909 – Mongolia, Sakhalin, Kouriles, Hokaïdo and Corées

Lönnberg, 1909 – Mongolie, Sakhalin, Kouriles, Hokaïdo et Corées Garrulus glandarius kansuensis Stresemann, 1928 – China et Mongolie

Garrulus glandarius krynicki Kaleniczenko, 1839 – Caucase et Asie mineure

Kaleniczenko, 1839 – Caucase et Asie mineure Garrulus glandarius iphigenia Sushkin & Ptuschenko, 1914 – Crimea

Sushkin & Ptuschenko, 1914 – Crimée Garrulus glandarius anatoliae Seebohm, 1883 – Anatolie et îles grecques (Rhodes, Lesbos, Kos), Iraq

Seebohm, 1883 – Anatolie et îles grecques (Rhodes, Lesbos, Kos), Iraq Garrulus glandarius samios Kleiner, 1940 – îles grecques (Samos, Icare)

Kleiner, 1940 – îles grecques (Samos, Icare) Garrulus glandarius atricapillus I. Geoffroy Saint-Hilaire, 1832 – Liban, Syrie, Israel, Jordanie

I. Geoffroy Saint-Hilaire, 1832 – Lebanon, Syria, Israel, Jordanie Garrulus glandarius cervicalis Bonaparte, 1853 – Tunisie et Algérie

Bonaparte, 1853 – Tunisia and Algeria Garrulus glandarius whitakeri E. Hartert, 1903 – Algeria

Garrulus glandarius minor J. Verreaux, 1857 – Atlas

J. Verreaux, 1857 – Atlas Garrulus glandarius glaszneri Madarász, 1902 – Chypre

Madarász, 1902 – Chypre Garrulus glandarius hyrcanus Blanford, 1873 –

Garrulus glandarius japonicus Temminck & Schlegel, 1847 – Japan drinking Hokaïdo

Temminck & Schlegel, 1847 – Japan sucks Hokaïdo Garrulus glandarius hiugaensis Momiyama, 1927 – Péninsule d’Isu, Hondo, Kyushu and Kagoshima

Momiyama, 1927 – Péninsule d’Isu, Hondo, Kyushu and Kagoshima Garrulus glandarius tokugawae Taka-Tsukasa, 1931 – Sado

Taka-Tsukasa, 1931 – Sado Garrulus glandarius orii N. Kuroda Sr, 1923 – Yakushima (Ryukyu)

N. Kuroda Sr, 1923 – Yakushima (Ryukyu) Garrulus glandarius namiyei Kuroda, 1922 – Tsushima

Himalayas, China, Burma, Vietnam

Garrulus glandarius bispecularis Vigors, 1831

Vigors, 1831 Garrulus glandarius sinensis Swinhoe, 1871

Garrulus glandarius leucotis Hume, 1874 – Southcentral, Burma, Indonesia

Groupe à déterminer [ Modifier | modifier code ]

Garrulus glandarius interstinctus Hartert, E, 1918

Hartert, E, 1918 Garrulus glandarius azureitinctus Koelz, 1951

Kolz, 1951 Garrulus glandarius pekingensis Reichenow, 1905

Reichenow, 1905 Garrulus glandarius rhodius Salvadori & Festa, 1913

Salvadori & Festa, 1913 Garrulus glandarius severtzowi Bogdanov, 1871

Bogdanov, 1871 Garrulus glandarius oatesi Sharpe, 1896

Sharpe, 1896 Garrulus glandarius persaturatus Hartert, E, 1918

Hartert, E, 1918 Garrulus glandarius taivanus Gould, 1863

Gould, 1863 Garrulus glandarius haringtoni Rippon, 1905

Le Geai des chênes et l’Homme [ Modifier | modifier code ]

L’observation du Geai des chênes est assez facile, toute l’année, mais plus aisée en zone urbaine qu’en forest. En ville, il semble le plus actif, tot le matin.

Le Geai des chênes est une espèce protégée en Belgique à l’instar des 96 % de l’avifaune et de 100 % des Corvidae (8 espèces), mais pas en France (Liste d’espèces sensitives d’être classées nuisibles en France) ni en Suisse, où, du fait de l’accroissement général des forêts (naturel ou de reboisement), ses effectifs progressent de manière continued. De meme en Belgique, en dépit d’une des densités de population la plus haute d’Europe (avec celle des Pays-Bas), les surface boisées (feuillus et résineux) Continuent lentement de s’accroître au sud du Sillon Sambre-et – Meuse favorisant la progression des effectifs notamment du Geai des chênes (qui n’y a jamais été considered comme une espèce menacée) et le remarquable du Grand Corbeau qui n’a plus à redouter ni les pièges, ni la strychnine.

En France, l’arrêté du 2 août 2012 du ministre de l’ecologie, du Développement Durable et de l’Energie, pris pour l’application de l’article R. 427-6 du code de l’environnement et fixant la liste , les periods et les modalités disruption des epèces d’animaux classes nuisibles est annulé en tant qu’il written on the cette list (…) le Geai des chênes dans le département du Var.

En France, seul un individual de variété opale, issu d’élevage, est considered comme étant un animal domesticated en droit français. Les other forms de cet oiseau relèvent donc de la législationconcernant les animaux sauvages[12].

Notes and references [ modifier | modifier code ]

About other Wikimedia projects: